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Mer 28 Sep - 17:28
« Oui… Bon… C’est vrai que j’y suis allé un petit peu fort pour le coup. Mais, c’est lui qui a commencé le premier ! J’étais tranquille, j’étais peinard et il est venu me faire chier pendant que je jouais à Space Invader. Et en plus, il m’a fait perdre alors que j’allais terminer la partie. » Que je disais avec ma mauvaise foi légendaire.
« Le visage est tuméfié, les côtes sont brisées, le dos est fracassé et il a une jambe qui boite… » Observait mécaniquement notre médecin alors que le petit con était allongé sur la table des opérations du QG. Oui, c’est vrai, je n’y avais pas été mollo avec lui. Je me grattais la joue en allant me fumer une cigarette lorsque Frida me jeta un regard noir. Ah oui ! J’avais oublié ! Pas le droit de fumer dans la salle d’opération. Je rangeais ma clope et soupirais.
« Bon… Euh Gère… Moi j’attends… » Marmonnais-je alors que je sortais du bloc opératoire pour attendre à l’extérieur de la salle médicale. Ça allait durer un petit bout de temps mais bon, j’avais pas grand-chose à faire… Et, au moins, je pouvais fumer et boire comme un con sans qu’on ne me dise rien.
Une bonne heure et demi plus tard,l’infirmière, une humaine, vint me voir pour m’annoncer que tout s’était bien passé. Sa jambe était guérie et opérationnelle, moyennant quelques séances de kinésithérapie au moins pendant trois semaines, un mois. Autant dire que j’allais me traîner un boulet qui pourrait pas aller sur le terrain. Mais, c’était pas pour ça que je le voulais. J’écrasais ma cigarette dans le cendrier et hochais silencieusement de la tête. Ça voulait dire ce que ça voulait dire. Une fois qu’il pourrait se démerder, je l’attendais dans mon bureau…
« En attendant, faites ce qu’il y a à faire… S’il le veut… Sinon, s’il veut pas, vous faites la procédure… Enfin, bon, vous savez quoi faire ! Moi, je vais en bas. » Annonçais-je alors que je pris l’ascenseur pour me rendre vers mon bureau.
Quand l’humain se réveilla, il était allongé dans un lit d’hôpital. Une perfusion à son bras droit et une attelle à sa jambe boitée. Une infirmière veillait sur lui, observant des moniteurs qui surveillaient sa tension, son pouls et son taux d’oxygène dans son corps. Elle se tourna vers le blessé et lui sourit chaleureusement.
« Monsieur Campbell. Ne vous inquiétez pas, vous êtes en sécurité ici. Nous vous avons injecté du sérum de vampire à très petites doses afin que vous puissiez guérir plus rapidement de vos blessures. Je tiens à vous rassurer sur ce point: vous ne serez pas transformé en vampire et vous garderez votre humanité. Votre visage est guéri, votre dos l’est aussi. Pour plus de sûreté, vous portez une ceinture dorsale pour éviter toute forme de complication. Vous devrez la garder pendant deux jours. Vous portez une attelle à votre jambe. Vous ne boiterez plus au bout d’une ou deux semaines. Par contre, veuillez vous déplace avec une béquille et ne jamais enlever votre attelle. Vous aurez quelques séances de kiné afin de vous réhabituer à marcher correctement. » Annonça-t-elle cordialement et mécaniquement.
« Notre Chef, Monsieur Carl Francis, vous attend. Si vous pouvez vous déplacer, veuillez prendre l’ascenseur qui se trouve après la salle, descendez au niveau vingt, passez la salle des opérations et vous trouverez son bureau. Si vous avez besoin que je vous y emmène, n’hésitez pas à me le demander, je serais heureuse de vous aider. » Poursuivit-elle.
« Je me suis permise de scanner vos empreintes digitales et rétiniennes. Monsieur Carl Francis n’est pas une mauvaise personne mais… Il est très impulsif et très colérique… Mais, quand on le connaît bien, il demeure une personne tout à fait charmante. C’est lui qui vous emmené ici et qui a ordonné que l’on vous soigne et qu’on vous guérisse de votre handicap. Maintenant, que souhaitez vous faire ? » Demanda-t-elle, admettant que le fou qu’il avait rencontré était son bienfaiteur.
B. Arthemis Campbell
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Lun 10 Oct - 20:27
Carl & Barbara
i’m awake, i’m alive. now i know what i believe inside. now it’s my time. i’ll stand my ground and never back down.
J'avais un horrible mal de crane. C'est tout ce dont j'avais conscience. Mes paupières étaient lourdes et je ne parvenais pas à les ouvrir. Certaines images me revenait. Moi, boitant jusqu'au comptoir d'une salle miteuse. Puis moi, buvant une bière pénard. Et la soirée pourtant jusqu'alors banale avait dérapé. Ce vieux flic de merde avec son jeu à la con. Aucun humour, mais pas mal de muscle. Une brigade de police pas foutue d’appeler une ambulance. Et puis ma course dans la ruelle. Et le plaquage. Qui m'avait plongé dans cette brume de laquelle j'avais du mal à me sortir. Malgré l’incompétence des flics qui étaient venus plus tôt dans la soirée, j'étais dans une chambre d'hôpital. J'avais passé suffisamment de temps dans ce genre d'endroit pour le deviner sans ouvrir les yeux. D'abord, cette odeur qui me parvenait. Celle des produits d'entretien, du propre, odeur qui me rappelait également la mort. Puis ces bruits réguliers et strident qui écorchent les oreilles au rythme du pouls du patient - moi en l’occurrence. Et enfin, cette gène au bras droit : une perfusion. Je me sentis soulagé. Carl, le flic ripoux, m'avait finalement laissé tranquille et quelqu'un plus sain d'esprit que lui avait dût appeler une ambulance. Le calvaire était fini. Maintenant, de nouveau place à la routine.
Je mobilisai mes forces pour ouvrir les yeux. Les néons du plafond m’éblouirent, mais je me sentis mieux en vue de la lumière. Le plus dur avait été de se réveiller, à présent je me sentais bien. Pas au mieux de ma forme, c'était certain, mais bien. Je ne m'étais pas trompé, j'étais bien dans une chambre d'hôpital. Une infirmière était dans la pièce avec moi, et dès qu'elle m'entendis bouger se tourna vers moi avec un air chaleureux. En l'apparence, tout allait bien. J'étais en sécurité, vivant, et je devais avoir tous les os en place puisque je ne ressentais pas de douleur particulière. Je compris que quelque chose clochait dès les premières paroles de l'infirmière. Du sérum de vampire. Comment était-ce possible ? Beaucoup d'humains étaient au courant de l'existence des créatures surnaturelles suite au désastre du bal de Noël. J'étais moi même au courant, grâce à ce taré de loup qui m'avait attaqué à la plage de la Push. La nouvelle avait été dure à digérer, mais j'avais finis par m'y faire. Cependant, j'étais quasiment sur qu'aucun vampire n'était prêt à donner son sérum, venin ou je ne savais quoi aux hôpitaux. C'était quoi encore cette blague ? Je tiquait également lorsque l'infirmière ajouta que je garderai mon humanité. Je n'y comprenais plus rien... Que s'était il passé pendant le temps ou j'étais resté inconscient ? Mystère.
Je commençai vraiment à flipper lorsque le nom Carl Francis fut prononcé. Je m'étais trompé. Le calvaire ne faisait que commencer. Je n'avais aucune idée de ce qu'il se passait, mais toujours était il qu'ici ce fou était respecté et écouté. Face à cette nouvelle, le fait d'apprendre que ma jambe et mon dos étaient guéris, passa presque inaperçue. Je finissais cependant par m'y intéresser, n'y croyant tout de même pas. Les plus grands spécialistes du pays m'avaient tous donnés le même avis. A savoir que j'étais foutu pour pouvoir courir ou même marcher normalement. Rien à faire. Et là, on m'annonçait tout normalement que tout allait bien. Ouais, et mon cul c'est du poulet.
La colère me brouillait la vue. Tout allait mal. Pour commencer, j'étais toujours sous les sales pâtes de Carl. Ensuite, j'étais dans un endroit inconnu où ce fou semblait régner. Puis on me donnait des faux espoirs sur ma jambe. Et la cerise sur le gâteau, j'allais devoir rencontrer l'homme que je détestai pour l'instant le plus au monde. « Maintenant qu'est ce que je fais ? Je me barre de cet endroit de malades ! » gueulais-je en arrachant ma perfusion et en me redressant sur mon lit. Je fus un peu pris de tournis d'abord, puis parvint facilement à me mettre debout. Bizarrement, mon dos ne me faisait plus vraiment mal. Je ressentais juste une simple gène. Je commençai à marcher. Je ne boitait pas. Aussi fou que cela puisse paraître, je ne boitai pas. Enfin, à vrai dire si, un peu. Mais beaucoup moins qu'avant et ce boitement n'était surement dû qu'à l’attelle qui me serrait la jambe, ainsi qu'à la fatigue qui saisis chaque personne se réveillant d'une opération. L’étonnement, plus que tout autre sentiment, pris le dessus sur la colère. Je n'y comprenais plus rien, mon esprit était confus et tout ce que je désirai c'était des précisions sur ma situation. « Niveau vingt vous dites ? C'est bon je vais me débrouiller. » dis-je avec mauvaise humeur. Pas un merci, rien. J'avais l'esprit trop occupé pour ce genre de chose. Je sortis de la chambre sans me retourner, simplement vêtu de ces sortes de pyjamas bleus qu'ils vous refilent dans les hôpitaux.
Le bâtiment était grand. Mais marcher me fit du bien. Ce qui quelques heures avant - quelle heure était il d'ailleurs ? J'avais l'impression d'avoir dormi des jours - était une corvée était à présent une libération. Je ne grimaçais plus de douleur à chaque pas que je faisais, et c'était un changement inestimable. Je mis quelques minutes à trouver le fameux bureau. Je n’appréhendais plus de voir Carl Francis. La curiosité était plus forte que ma peur. J'avais besoin de comprendre ce qui m'arrivait. Je rentrai sans même frapper dans le bureau. Il était là. Celui qui avait fait de ma soiré un cauchemar. Je pensais qu'en le voyant, je ne ressentirai que de la haine et de la honte, mais ce n'étaient pas les sentiments qui dominaient, enfouis dans un coin de mon esprit, pour l'instant. Mes minutes de marche m'avaient plus remplies de gratitude envers le fou. Je n'en exigeai pas moins avec une voix forte des explications. « Qu'est ce qu'il m'arrive bordel ? Je veux des réponses à toutes mes questions ! Où je suis, pour commencer ? Pourquoi on me parle de vampire et tout le bordel ? Pourquoi tu m'as guéri, et comment ? J'en ai tout un tas d'autre, tu es disposé à les entendre ? »
Carl Francis
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Jeu 27 Oct - 11:52
J’étais tranquille, j’étais peinard, je regardais quelques dossiers sur l’ordinateur en fumant mon joint, une bouteille de Whisky de 75 CL, de la marque Chivas 18 ans d’âge, à côté de moi. Je pouvais entendre les murmures des gens travaillant dans tout le QG. À force, je n’y prêtais plus attention, c’était devenu une habitude. Ils avaient leurs boulot à faire et j’avais le mien à faire. Pas plus compliqué que ça. M’en foutait un peu ! J’avais mon flingue posé à côté de moi sur la gauche. J’étais serein, j’étais bien… Enfin… Un moment de calme quand soudain…
Cet espèce d’enfant de putain de merde vient me faire chier en menaçant dessus avec ses questions à la con. Chose qu’il faut pas faire du tout… Mais alors pas du tout ! J’avais une envie folle de le flinguer cet espèce d’enflure, je ne sais pas comment je me suis retenu. Gloire au Dieu Patience ! Je me bus une longue gorgée de mon whisky et tirait un bon coup sur ma clope. Merde ! C’est de la bonne ! On est toujours un peu stone mais moins que quand on était un humain. Là, pour le coup, j’étais zen… Profitez en ! Ça n’arrivera pas tous les jours !
« Déjà mon pote, tu vas arrêter tout de suite de me casser lesquelles sinon je t’explose la cervelle. Non mais tu te crois où sac à merde ! Putain ! Pour une fois que je j’étais pépère, faut qu’on vienne me péter la rondelle ! Eh merde ! » Gueulais-je alors que je me dirigeais vers l’humain, que je le soulevais et que je le secouais comme un prunier. Après quoi, je le fis asseoir sur une chaise, de manière assez violente, et je retournais à ma place en continuant à maugréer de mon côté.
« Dankirk est le nom d’un projet gouvernementale dont le but est l’harmonisation entre les Dents Pointus et les Clébards. Il faut que tu saches bien que nous ne sommes pas un secret pour les gouvernements de ce monde. Ils savent que nous existons. Dankirk fait partie d’une organisation puissante et secrète, composé d’humains, de vampires et de lycans qui veulent créer un monde parfait. Moi, je suis la branche armée et violente. Je négocie pas, je traque, je flingue, j’extermine, je tue. On est pas dans le monde des bisounours Ici, à Fork, notre but est simple: on doit pacifier cette ville, quelque soient les moyens utilisés. On doit faire régner l’ordre et la loi par tous les moyens possibles. Tous les moyens sont bons pour parvenir à nos fins… Même les plus abjects et le plus brutaux. » Poursuivis-je.
« On t’a guéri parce que je te veux dans mon clan. Et chez moi, j’ai pas besoin d' handicapé et de gonzesses qui chialent et qui pissent dans leur froc. Tu vas ouvrir les yeux sur le monde underground de notre belle petite planète. Tu peux refuser si tu veux. Mais, je serais dans l’obligation de mettre un terme définitif à ton existence. Tu en as trop vu ! Tu as reçu un sérum de sang de vampire. Juste ce qu’il faut pour que tu ne te transforme pas en Dents Pointues et juste ce qu’il faut pour que tu gardes ton humanité. Maintenant, tu vas pouvoir vivre normalement. Enfin, si on peut dire les choses ainsi. Fini ta vie de petit gars qui savait rien ! Maintenant tu vas devoir te battre pour un idéal et pour protéger ce monde. » Annonçais-je d’une voix posée.
« Si tu as d’autres questions, vas-y ! On a tout notre temps ! » Conclus-je.
B. Arthemis Campbell
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Lun 7 Nov - 15:40
Carl & Barbara
i’m awake, i’m alive. now i know what i believe inside. now it’s my time. i’ll stand my ground and never back down.
Je n'avais donc toujours pas retenu la leçon... Après m'être fait défoncer la gueule par un fou sur la plage de la Push parce que j'avais trop parlé, après m'être pissé dessus de peur et de douleur suite à une bonne raclée parce qu'une fois de plus, j'avais encore oublié de tourner ma langue sept fois dans ma bouche, je recommençai mes conneries. J'étais incapable de changer cette partie de moi qui ne cessait de se prendre pour un gros dur invincible. Dans ces moments de folie - parce que c'en était presque, non ? - je me sentais comme un de ces héros de film qui se font toujours buter la gueule mais qui reprennent toujours le dessus avant de rencontrer l'amour de leur vie et avoir beaucoup d'enfants. Mais je redescendais vite sur terre : quand je commençais à me faire tabasser en général. Toujours était il que je me retrouvait là, à gueuler devant celui qui m'avait fait passer le pire quart d'heure de toute ma vie. Celui qui m'avait fait mouiller mon pantalon comme un gosse de six ans. Mais je n'étais même plus maître de mes paroles. J'étais tellement en colère, tellement dérouté... Il s'était passé trop de choses en à peine quelques minutes. J'avais failli crever sous les coups d'un flic fou, je m'étais réveillé dans ce qu'il m'avait semblé être une chambre d'hôpital, on avait commencé à me causer de vampires et toute la merde qui va avec, et je m'étais rendu compte que ma jambe était guérie.... Insensé, improbable, irréaliste, fou, déroutant, tous les adjectifs de ce goût décrivaient très bien la situation. Alors oui, j'avais perdu la tête et lancé pleins de questions à tord et à travers. Mais qui n'aurait pas fait cela à ma place ?
Lorsque je me rendis compte de la gueule que tirait Carl, je regrettai tout de suite mes paroles. C'était certain, j'allais revivre exactement la même chose que lors de notre dernière rencontre. Mais alors que je m'attendais à ce que le ripoux se lève et se jette sur moi, il se contenta de boire un peu du whisky qu'il tenait à la main et tirer une bouffée de sa clope. Mon estomac se desserra un peu : la raclé n'était pas pour tout de suite.
Ah, en fait si. C'était prévisible après tout... Pour une simple partie perdu j'avais manqué atterrir aux urgences - en quelque sorte, j'y était vraiment atterri, en fait - alors pour avoir gueulé sur le grand manitou Carl Francis, j'étais définitivement mort. Mais là encore, je fus surpris. Je n'eu droit qu'à être secoué comme un pommier et jeté sur une chaise devant le bureau du flic fou.
Carl me fit un discours plus insensé encore que la situation dans laquelle j'étais fourré et le seul mot qui me vient à l'esprit fut 'canular'. Qu'est ce que ça pouvait être d'autre ? Ok, ok, j'avais admis avec du temps que les vampires et les loups existaient, mais fallait pas abuser non plus, merde ! Pourquoi je devais toujours être impliqué dans les histoires les plus folles et farfelues ? Dankirk, organisation secrète, gouvernement, traque, ouais et mon cul c'est du poulet. Trop de mots incompatibles en même temps pour que tout soit réel. Je devais être dans le coma dans une chambre d'hôpital de Forks entrain de délirer ou je ne sais quoi, c'était pas possible. Mais trop de détails m'affirmaient le contraire. Ma jambe, tout d'abord. Ma jambe et mon dos qui ne me faisaient pas un mal de chien. Et celle odeur d'alcool qui me titillait les narines, jusqu'au frottement de ma chemise-pyjama pour infirme contre mon torse au fur et à mesure de mes inspirations. Rien n'était flou, tout était net. Ça ne ressemblait en rien à un rêve.
Je pris plusieurs secondes pour assimiler tout cela, et pendant peut être une minute, sinon plus, je fus incapable de prononcer un mot, et Carl quant à lui se contentait de m'observer calmement. Je pris une grande inspiration, ne sachant que dire, que faire, que croire. Tout était à la fois clair et confus dans mon esprit. Comme si je comprenais la situation mais que j'étais incapable de l'accepter. «De toute façon je n'ai pas le choix, hein ? » Et aussi aberrant que cela puisse paraître, ça ne me dérangeait pas. J'avais encore une fois cette impression d'être un super héros sur le point de changer le monde. Tout ce qui m'arrivait en ce moment, aussi fou que c'était, et bien j'aimai ça. Vivre des choses plus incroyables les unes que les autres. J'avais trop longtemps été dans l'inactivité, coincé dans ma vie morne de drogué. Les choses devaient changer. Elles allaient changer.
« Pourquoi moi ?» Questions plus que flou pour moi. J'avais pas cessé durant cette soirée de prouver ma lâcheté et ma petite nature. Et tout plein d'autres interrogations venaient s'imposer dans mon esprit, nécessitant une réponse au plus vite. « Est-ce que... est-ce que c'est une blague ? Et comment je pourrai te faire confiance après ça ? Quel serait mon rôle ? Combien êtes vous à Dankirk, et qui est au courant ? Avez vous quelque chose à voir avec le bal de noël ? Ou on est, à Forks ? Et tu... enfin... tu es... un vampire ? ou un loup ou je ne sais quoi d'autre ?» J'avais l'impression de passer du coq à l'âne. Enfin, c'était plus qu'une impression, mais j'étais incapable d'organiser mes idées tant le choc était grand.
hors jeu:
Pardon du retard, et désolée pour les fautes j'ai pas le temps de me relire x)