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Mar 16 Aoû - 9:01
Moi ! Vieux Schnoque de Clébard qui, pour éviter de s’emmerder, n’hésites pas à squatter n’importe quel endroit pour passer le temps. Et, me voilà dans la salle de jeux de Fork. Je traînais dans le coin quand, soudain, ce qui devait être le gérant me toisa du regard et fit son petit con avec moi. Quoi ? J’avais pas le droit d’entrer là ? Tenue correcte exigée ? Il se fout de ma gueule, il y a la moitié des jeunes délurés dans ce bazar de merde ! Tous en short et les gonzesses en mini shorts, avec une petite tenue dévoilant leurs petits seins de merde que même un vieux pervers voudrait pas toucher ! Il regarde avec insistance mon jean troué, ma chemise à manche courte et mon holster avec mes deux flingues.
« Petit Connard ! Tu te crois où là ? La loi, c’est moi ! Je fais ce que je veux, quand je le veux et où je le veux. Je peux très bien exploser ta salle de merde si j’ai envie ! Je peux même la fermer en trouvant n’importe quel moyen ! Maintenant, fiche moi la paix ! Va relire tes revues pornos portugais et laisse moi tranquille ! Enculé de connard de petit gland de merde » Gueulais-je comme un putois alors que tout le monde se retournait et me regardait.
Bon, c’est vrai… j’en étais à ma dixième ou onzième bouteille de whisky et je devais puer comme un saoulard. M’en fiche ! Je marche pas bizarrement et j’ai encore tous mes réflexes ! D’ailleurs, j’allais le prouver en foutant quelques pièces sur une borne d’arcade. Mais lequel ? Du coin de l’œil, je voyais le jeune appeler , il devait causer au flic… M’en fous, ça m’empêcherait pas de faire une ou deux parties ! Je cherchais le petit jeu qui pourrait m’éclater. Au milieu des courses de voitures ou de motos complètement high tech, il y avait aussi des jeux vidéos avec des personnages qui se bastonnaient. J’entendais les jeunes qui se motivaient ou qui pestaient contre la partie. Moi aussi, j’étais comme ça à l’époque, je pouvais pas trop dire grand-chose. Et, puis là, à même pas cinq mètres devant moi, je trouvais mon trésor. Le jeu que j’avais fini un milliard de fois quand j’étais môme… Space Invaders ! Ni une, ni deux, je fonce et je mets une pièce et je me mets à jouer. Nostalgie quand tu nous tiens ! J’ai pas trop perdu la main, je m’éclate toujours sur ce jeu.
« Agent Carl Francis… Code 565... Votre présence dans le lieu… Game Center… Pas en adéquation avec votre travail… Veuillez reprendre votre patrouille… » Que disait la vieille pute de régulation.
Je savais d’où ça venait… J ’éteignais l’émet et me mettait indisponible pour le coup. Ils pouvaient toujours m’appeler, j’entendrais plus rien. Mais, ça ne m’empêcherait pas d’aller m’expliquer avec ce petit trou du cul de merde quand j’en aurais fini avec mon jeu. Pour le moment, je jouais , je m’éclatais comme dans ma jeunesse et ça valait le coup…
B. Arthemis Campbell
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Mar 16 Aoû - 19:26
Carl & Barbara
Bouge de ta retraite, ta conduite est trop parfaite ! Relève la gueule, je suis là, t'es pas seul. → Antisocial ; Trust
Besoin de sortir. Besoin de voir du monde, de rencontrer de nouvelles personnes. Besoin de prendre l'air. Besoin de changer d'habitudes. Je n'en pouvais plus de rester là, sans rien faire, sans aucune motivation, sans aucun objectif. J'en avait assez de rester enfermé chez moi, à ruminer toujours et encore les mêmes pensées. Mais Forks était une bien petite ville, et pas vraiment animée, il fallait le dire. Je sortis de mon petit studio puant le renfermé, vêtu d'une veste : depuis un mois que j'étais là, j'avais bien compris qu'il faisait toujours froid dans cette vieille ville de merde. Mais l'air frai avait le don de me revigorer et de me redonner un peu de tonus. Je marchais d'un pas rapide dans les rues de la ville, presque désertes, juste pour me dégourdir les pattes, sans idée de lieu précis. Je crois que c'était la première fois depuis ma chute et mon hospitalisation que je marchai aussi longtemps sans ressentir de douleur au dos, et sans que mon boitement ne s'amplifie de manière conséquente. Mais bien entendu, les douleurs finirent par venir, quelque chose genre vingt cinq minutes après mon départ. J'avais presque atteint le bout de la bourgade. J'avais été idiot d'aller aussi loin. Il fallait que je pose mon cul sur une chaise en attendant que mon dos se calme. Et puis il faudrait refaire le chemin inverse, et pire encore monter ces saletés d'escaliers de mon immeuble, l'ascenseur étant continuellement en panne. Je ne pu retenir un juron. Je n'avais pas fais attention, en marchant, à la distance que j'avais parcourue, perdu comme je l'étais dans mes pensées. Toujours la même rengaine : je me rappelai ma rencontre avec Blue, nos bons moments, et par dessus tout son enterrement. C'était le souvenir qui me revenait le plus souvent ces temps ci.
Je connaissais la rue où j'avais atterri - pas très difficile de connaitre Forks : en un après midi, tout est visité de fond en comble - et je savais qu'il y avait une salle de jeu, la seule de la ville, pas loin. Parfait. Je clopinait donc jusque là bas, et entrai dans la salle. Quelques tables de billard, un baby-foot, un vieux Jukebox, des machines à sous et des consoles de jeux proposant surement des jeux vidéos plus nuls les uns que les autres. Et un bar, tout au fond. Je m'y dirigeai aussitôt, et m'assis avec difficulté - j'étais vraiment pathétique à ce moment là - sur une des chaises hautes. Je demandai simplement une bière au gérant qui me jeta un regard critique avant de décider que oui, j'avais bien l'âge légal pour en consommer. A peine avait-je eu le temps d'en savourer une gorgée qu'un éclat de voix dans mon dos me fit tourner la tête. Ma colonne vertébrale protesta à ce mouvement trop brusque et une étincelle de douleur me fit plisser le nez. Je ne captai donc qu'une partie de la conversation, ou plutôt de l'engueulade. « ...et où je le veux. Je peux très bien exploser ta salle de merde si j’ai envie ! Je peux même la fermer en trouvant n’importe quel moyen ! Maintenant, fiche moi la paix ! Va relire tes revues pornos portugais et laisse moi tranquille ! Enculé de connard de petit gland de merde » Un flic, apparemment. Un espèce de vieux ripoux qui profitait de son autorité. Le gérant ne répondis rien, tout rouge - de honte ou de colère, je ne saurai le dire - retourna se poster derrière son bar en grommelant quelques injures à propos de l'homme à l’origine de tout ce raffut. Je souri. Enfin un peu d'action. Le protagoniste de cette prise de gueule s'assis derrière une console, et démarra un jeu. Je n'ai jamais été un amateur des jeux dans ce genre. Enfant, je n'avais pas le temps pour ces sottises, mon emplois du temps étant monopolisé par les entraînements et les compétitions de gymnastique. Je me retournait vers le bar, bu encore une gorgée de ma bière, et me dirigeait vers l'homme.
A ce moment, un message brouillé sorti de cette sorte de talki walki dont seuls les forces de l'ordre se servent. « Agent Carl Francis… Code 565... Votre présence dans le lieu… Game Center… Pas en adéquation avec votre travail… Veuillez reprendre votre patrouille… » J'eu un sourire amusé. Pas en adéquation avec son travail ? Sans blague ? C'est fou ! Il était totalement absorbé par son jeu, et éteignit distraitement son appareil, surement pour ne plus être dérangé davantage. Je m'approchai encore en boitant, jusqu'à être juste à côté de lui. J'étais d'humeur à faire des conneries ce soir, j'en avais assez de ma routine, assez de cet ennui perpétuel qui régnait ici. « Hey, Carl, oui il me semblait bien que c'était ça son nom : la radio l'avait crachoté assez distinctement, alors, on est censé faire régner l'ordre et on fout le bordel ? Merci, vous venez d'égayer. ma journée. » J'eu un petit rire ridicule. J’espérai ne pas l'avoir trop dérangé dans sa partie. Non, en fait je n'espérai pas, je m'en tapai royalement. C'était mon moment 'je me fous de tout'.
hors jeu:
Désolée, c'est pas fameux... C'est fou ce que ton personnage me fait penser à Antisocial de Trust quoi
Carl Francis
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Jeu 18 Aoû - 13:24
Je claquais mes derniers dollars dans la salle de jeu. Bof ! Tant pis ! Si j’ai plus de monnaie, je me ferais un petit crédit un peu partout dans la ville. Je suis pas un mauvais payeur, je règle toujours ce que je dois. Donc, de ce côté, j’ai pas de souci à avoir…Et, pour la peine, je retrouve mon plaisir d’antan. Quand j’étais môme… je sais, ça ne me rajeunit plus cette histoire…
Je m’excitais sur la manette, tapais comme un taré sur les boutons, bougeais de gauche à droite… Ah ! Y a pas à dire: ce jeu est bien meilleur que les merdes actuels. C’est alors qu’un jeune blanc bec vient me casser les noix. Je m’allume une clope que je coince dans la bouche tout en continuant à jouer sur mon jeu. Au début, je faisais pas attention. En fait, j’essayais de me calmer. Il ne fallait surtout pas que j’explose la gueule de ce sale con de petit merdeux qui m’avait dénoncé aux miens. Je devais rester flic pour avoir un œil sur Fork. Mais, pour le reste, je m’en fichais. De toute façon, je tenais le Commissaire par les couilles, j’avais des infos sur lui qu’il voudrait surtout pas que je divulgue.
Première erreur, ce jeune con m’appelle par mon prénom. Deuxième erreur, il me prend pour un con. Troisième erreur, il me déconcentre et je perds ma partie. Action, réaction, conséquence et tout ce que tu veux… Je me retourne vers le jeune con, le saisit par le col et le soulève comme une vieille merde. Puis, je le colle contre le mur de la salle et le regarde droit dans les yeux. Je suis mauvais là: ce petit tâcheron de mes deux couilles de saperlipopette m’a fait perdre. Il va payer ça très cher !
« Espèce de petit connard ! À cause de toi, j’ai perdu parce que tu as ramené ta sale petite gueule de fiente mal baisé ! Je vais t’apprendre le respect moi ! » Que je lui disais dans la gueule en lui crachant de la fumée en pleine tronche.
« Alors première leçon mec ! Moi, c’est Monsieur Carl ! Ou Monsieur le Policier ! Mais, recommences encore une fois à m’appeler par mon prénom sans que je t’y autorises et je t’explose ! » Déclarais-je d’une voix sinistre en le secouant comme un prunier de gauche à droite et en lui faisant rencontrer le mur.
Je me déchaînais sur le coup mais c’était de sa faute, il n’avait pas qu’à jouer le con avec moi. Je lâchais une de mes mains et sortis mon flingue. Je l’armais et mis le canon entre ses jambes.
« Deuxième point. Tes leçons à la con, tu te les gardes car, sinon, la prochaine fois, je te castre et je te fais un gros trou à la place de ta queue ! » Poursuivis-je en crachant encore de la fumée sur sa tronche tout en appuyant légèrement sur la gâchette pour qu’il croit que je vais tirer.
« Sinon, ça va petit con ? Tu t'éclates toujours ? Parce que moi, je rigole ! AH AH AH AH ! » Simulais-je en faisant semblant de rire alors que j'avais le regard et la voix des mauvais jour.
D’ailleurs, c’est ce que je comptais faire. Mais bon… Tirer à vue sur un simple petit connard parce qu’il avait voulu jouer au branleur avec moi aurait été de mauvais goût. Et, ça m’aurait encore attiré des emmerdes. Bien que j’en ai eu strictement rien à foutre, je ne devais pas flinguer à tout va… Même si des fois, c’est vrai, je réfléchis pas… En tout cas, je restais dans cette position: main gauche serrait le col du jeune con et le soulevait avec aisance tandis que ma main droite tenait le flingue qui visait les couilles de l’impertinent. Eh oui Petit ! T’as choisis la mauvaise personne pour faire le gus !
HRP:
Spoiler:
Trop fan de ce titre ! Tu as bien choisi et ça colle pile poil au perso
B. Arthemis Campbell
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Dim 21 Aoû - 9:36
Carl & Barbara
Je crache à la gueule de tout ce système. Quand je marche dans la rue je ne porte pas d'emblème. Je vais où je veux je pense comme je veux. → Préfabriqués ; Trust
D'abord, le ripoux ne m'accorda aucune attention, passionné par son jeu et s'acharnant sur les manettes. Toujours fixant l'écran, il prit une clope qu'il alluma et se la glissa au coin des lèvres. Jusqu'au moment où deux mots fatidiques apparurent sur l'écran : game over. Je réprimai un petit ricanement. Le prénommé Carl se leva brusquement, et vint vers moi, les yeux fous, sa cigarette toujours à la bouche. Et soudain, mes pieds ne touchèrent plus le sol, et mon dos et ma tête vinrent heurter brusquement le mur, m’assommant presque en un éclair de douleur. Je ne compris tout d'abord rien, puis je le vis, avec son visage rouge de colère. Bien évidement, c'était ce soit disant flic qui me tenait, suspendu dans les air. Ma première pensée, après avoir compris cela, c'était qu'il avait énormément de force. Je n'étais pas obèse, mais je pesai mon poids, on va dire. D'autant plus que mon passé de gymnaste m'avait laissé pas mal de muscles. Ma deuxième pensée cohérente fut que je m'étais foutu dans une sale merde. «Espèce de petit connard ! À cause de toi, j’ai perdu parce que tu as ramené ta sale petite gueule de fiente mal baisé ! Je vais t’apprendre le respect moi ! » Son visage était à quelques centimètres de moi, et la fumée de cigarette qui s'échappa de sa bouche lorsqu'il gueula ces paroles vint tout de suite s’engouffrer dans mes narines. Si il y avait quelque chose que j'avais conservé de ma carrière en sport, c'était bien ça : jamais de cigarettes. Ça bousille les poumons, et on deviens incapable de rester en activité physique longtemps. Je ne sais pas pourquoi, cette habitude m'était restée. La fumé m'irrita donc les poumons, et je me mis à tousser. Chose qui ne me gêna pas plus que cela : ça me permettait de pouvoir cracher à la gueule de ce connard de ripoux avec un excuse valable. « Alors première leçon mec ! Moi, c’est Monsieur Carl ! Ou Monsieur le Policier ! Mais, recommences encore une fois à m’appeler par mon prénom sans que je t’y autorises et je t’explose ! » Repris le flic. Et là encore, malgré la situation plutôt critique pour moi, je dû m'empêcher de pouffer. C'était absurde.. Je n'avais jamais vu ça... Mais pour qui il se prenait l'autre ? Réagir aussi brutalement pour une simple partie d'un jeu de merde, fallait vraiment être cinglé. Et il ne m'inspirait pas du tout du respect. Il était plus ridicule qu'autre chose, en fait. Même s'il m'avait à sa merci, ce mec était vraiment un idiot.
J'eu moins envie de rigoler l'instant suivant. Peut être Carl remarqua t-il mon sourire moqueur, mais en tout cas, il sorti son flingue. Et là, fallait vraiment plus que je fasse le con. Pire encore, je le sentis, appuyé contre mon entrejambe. Je déglutis difficilement, prenant soudain véritablement conscience du pétrin dans lequel je m'étais fourré. « Deuxième point. Tes leçons à la con, tu te les gardes car, sinon, la prochaine fois, je te castre et je te fais un gros trou à la place de ta queue ! Sinon, ça va petit con ? Tu t'éclates toujours ? Parce que moi, je rigole ! AH AH AH AH ! » J'ouvrai de grands yeux terrorisés. Touché, Barbara. Qu'est ce que je pouvais bien foutre maintenant, hein ? Répondre dans sa gueule, essayer de le toucher à mon tour, mais avec des mots, ou m'incliner en lâche que j'étais ? Les deux solutions me paraissaient à chier. J'avais conscience de tous les regards affolés des clients portés sur moi, et la seconde solution me parut trop déshonorante. De toute façon jamais il ne tirerait, hein ? Il aurait pas les couilles, surement. La question était de savoir si moi j'aurai les couilles de lui cracher à la gueule. C'était ce qu'on allait vérifier tout de suite. «Hé, Pépé... Quatre vingt dix ans et on réagit toujours au quart de tour, hein ? Tu sais que t'es ridicule ? Va voir un psy, gars, conseil d'ami : faut apprendre à te contrôler, là tu passes pour un gros con qui n'a aucune répartie, juste des bras un peu musclés. Et si tu espères t'en tirer avec l'honneur sauf, c'est loupé : menacer avec un flingue un mec pas armé , je trouve ça un peu lâche, tu crois pas ? » Je venais de signer mon arrêt de mort, c'était certain... Et même si j'avais essayé de parler avec une voix assurée, je m'étais bien aperçut qu'elle était pleine de tremblements et de peur. Faut dire que le pistolet contre mes bijoux de famille n'aidait pas, ainsi que le fait que mes jambes pendent dans le vide...
hors jeu:
On reste sur du Trust, alors
Carl Francis
× Avertissements : 0/3 × Points RP : 72 × Niveau : 7 × Atout : Force × Âge du perso : 40
Lun 22 Aoû - 11:13
Ah faut pas me chercher ! Faut pas me prendre la tête quand je suis dans un de mes rares moments de paix intérieur. Et là, le pauvre connard m’avait pris la tête juste à ce moment là ! Si encore il m’avait pris pour un crétin, peut être que je l’aurais pas détruis… Mais là, il avait fait l’erreur de me faire chier et de me faire la morale. Pendant que les autres regardaient, le propriétaire allait prendre le téléphone pour appeler la police. Rapide comme l’éclair, à cause de mon état de clébard mais aussi de mes nombreuses expériences passées, je dégageais l’arme de l’entrejambe du petit con et visais le téléphone. Le coup partit, la détonation fut bruyante, les gens crièrent, le jeune blanc bec fit un sursaut et tomba à la renverse. Pendant que je raffermissais ma prise sur ma cible, je lançais un regard noir au petit con de propriétaire.
« Tu veux que je te fasse la peau merdeux ? Fous moi le camp ! TOUT DE SUITE !!!! » Gueulais-je alors que je reposa mon flingue entre les jambes de l’éclopé.
J’allais pouvoir m’occuper du petit con. Et bien même ! J’allais lui foutre une raclée dont il se souviendrait. À un moment, j’avais même envie de le flinguer. J’étais vraiment tenté. Mais, ça valait pas le coup: même si j’étais un ripoux pourri jusqu’aux os de la moelle, j’avais quand même quelques principes. Il tremblait, il avait pris conscience de la merde dans laquelle il se trouvait. Il essayait de se donner bonne conscience mais ça ne marchait pas avec moi. Il crachait sa merde devant moi mais ça donnait rien. Il pissait dans son froc et je rigolais intérieurement…
« Tu causes bien pour un gars qui va dérouiller sévère ! La loi c’est moi ! Je fais ce que je veux, où je le veux et quand je le veux Et surtout de la manière dont je le veux. Tu vas souffrir… » Annonçais-je comme une promesse. Problème pour lui, je tiens toujours mes promesses.
Je rangeais mon flingue lentement, histoire d’avoir ma main libre. Plutôt mon poing alors que je le balançais dans le visage du jeune con. En pleine face, entre son nez et sa bouche. Puis, je le pris par le col et j’explosais sa face contre les écrans de toutes les bornes d’arcades. J’étais décidé à ne pas m’arrêter en si bon chemin.
« Allez ! On est reparti pour un tour ! Qu’est-ce que je m’amuse ! J’adore taper les jeunes branleurs de ton espèce ! » Annonçais-je en riant comme un véritable sadique.
Je lui balançais un violent coup de poing dans l’estomac, suivi d’un coup de genou dans le menton. Je le tenais toujours par le col, j’étais pas décidé à le lâcher. En fait, il fallait que je calme mes nerfs et que je tablasse quelque un. Manque de pot: c’était tombé sur ce petit péteux. J’aimais pas les flippers. J’éclatais son corps en le balançant contre les flippers. Puis, je le jetais à terre. Je m’acharnais à le frapper au sol en lui filant des coups de pieds sur son corps. Je savais qu’il avait une jambe en moins, je fis exprès de pas lui briser l’autre jambe même si l’envie me tarabustait comme si une vieille pute m’invitait à lui tailler une pipe avec son dentier. Lorsque je me calmais, je m’assis à une chaise et je le regardais en fumant une clope. J’étais sûr que la cavalerie allait se ramener. Au loin, j’entendais les sirènes de mes potes qui allait intervenir. Qu’ils tentent et je les éclate tous. Fork était une petite bourgade où la police était une petite frappe qui parlait mais n’agissait jamais. Avec moi, tout allait changer. j’allais ramener de l’ordre ici. Et, à ma manière… Que ce soit humain, clébard ou dents pointues, tout le monde allait savoir que s’ils commettaient une connerie, je serais toujours dans les parages pour faire régner l’ordre et la justice. Quelles que soient les manières…
« T’as compris la leçon où on recommence petit con ? » Demandais-je en fumant tout en le regardant.
B. Arthemis Campbell
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Dim 28 Aoû - 8:18
Carl & Barbara
Tu galères, tu espères, face contre terre comme une bête primaire. Serre les poings, serre les poings → Serre les poings ; Trust
Soulagement, quand je sentis le flingue du ripoux quitter mes bijoux de familles. Soulagement de très courte durée. A peine le pistolet avait il quitté mes parties, qu'une explosion retenti, me faisant siffler les oreilles. Il avait tiré. Avec une précision hors du commun. Le gérant avait tenté de prévenir la police par téléphone, et alors même qu'il venait tout juste de prendre le combiné, que déjà le flic fou avait tiré atteignant le boitier en plein dedans. Il n'avait même pas pris le temps de viser... Ce mec était vraiment habitué à se servir de son arme, c'était certain. Et après cette performance, j'avais de quoi être persuadé qu'il ne me raterai pas si je tentais quoi que ce soit. J'étais vraiment, vraiment, dans la merde. D'autant plus que ma seule chance de m'en sortir avec plus de peur que de mal venait d'être réduite en morceau. Bien entendu, les clients avaient surement un téléphone portable, mais qui oserait s'en servir après ce qui venait de se passer ? Pourquoi j'avais pas pu rester assis au bar en sirotant ma bière au lieu d'aller faire la conversation à ce malade mental ? C'était bien moi, ça... Toujours dans le merdier jusqu'au cou. « Tu veux que je te fasse la peau merdeux ? Fous moi le camp ! TOUT DE SUITE ! » Et aussitôt cette phrase gueulée, le flingue vint reprendre sa place dans mon entrejambe, me faisant grimacer. Cette fois ci, il allait tirer. Bien évidemment. J'allais me retrouver castré tout ça parce que ce connard avait perdu à sa stupide partie de jeux vidéos par ma faute. Je sentis un liquide chaud couler entre mes jambes. Du sang ? Non, aucun coup n'était encore parti. Avec honte et désespoir, je compris ce que c'était. De la pisse. J'avais fait dans mon froc, tant la peur me prenait. Et c'était tellement humiliant. A peine deux minutes avant, j'essayer de remettre ce ripoux en place, et maintenant je me pissai dans mon froc. J'avais tout gagné. La honte et la peur étaient telles que je sentis mes yeux s'emplir de larmes. Toute trace d'honneur et de courage m'avait totalement déserté. Il ne restait plus que la peur et l'envie de rentrer chez moi et de dormir pendant un an pour oublier toute cette histoire disproportionnée. Je nageais en plein cauchemar.
« Tu causes bien pour un gars qui va dérouiller sévère ! La loi c’est moi ! Je fais ce que je veux, où je le veux et quand je le veux Et surtout de la manière dont je le veux. Tu vas souffrir… » Cette fois ci, les larmes débordèrent, mouillant mes joues rouges de honte et de colère, aussi. Colère de m'être laissé humilier de la sorte. Mais je ne pouvais rien faire, j'étais tétanisé de la tête aux pieds. De la morve commençait à couler de mon nez, et je reniflai bruyamment. Comme j'étais pathétique et misérable. C'était tellement injuste. Injuste que ça tombe sur moi. Enfin, pas si injuste que ça, en fait, peut être bien. Il me semblait que toutes les merdes qui me tombaient dessus depuis que j'étais à Forks - et Dieu sait que j'en avait eu des tonnes - étaient comme une sorte de punition pour ce que j'avais fait à Blue. Peut être bien que tout ce qui m'arrivait je l'avais mérité, mais là s'en était trop. Vraiment trop. J'avais remboursé ma dette, pitié, pas plus. On avait peut être entendu ma prière, parce que le flingue quitta mon entrejambe. Avec un peu de chance, ce connard allait me laisser tranquille, avec un peu de chance, il avait juste voulu me faire peur. Ah, comme j'étais naïf. Le fou rangea son arme dans son étui accroché à la ceinture, et de la main qui ne me tenais pas par le col, me mis un bobard en plein dans la tronche. La première chose que je me suis dit, c'était que j'allais avoir la lèvre et le nez explosés, des dents en moins, et que j'aurai l'air d'un débile mental. Après, je ne pensai tout bonnement plus. Ma tête aussi explosa. Une sorte d'éclair me brouilla la vue et j'étais tellement sonné que je ne ressentais même pas la douleur de mon dos et de ma tête défigurée. Puis, vol plané. J’atterris en plein dans une table ou un truc dans le genre. Toujours est il que cette fois ci, je la sentis, la douleur. Douleur qui, en énorme vague vint me submerger et m'enfoncer encore plus dans le brouillard. « Allez ! On est reparti pour un tour ! Qu’est-ce que je m’amuse ! J’adore taper les jeunes branleurs de ton espèce !» C'est à peine si j'entendis la voix du fou, et les mots, je ne les compris même pas. Tout ce que j’entendais avec précision, c'était ce rire. Sadique, plein de méchanceté et de bonheur. Ouais, il était bien content ce connard de pouvoir casser la gueule à quelqu'un.
Tout ce qui se passa ensuite, je ne le compris même pas. Juste un mélange de douleur, de vols planés, et d'os brisés. Coups, coups, encore et toujours des coups. Et la douleur. Infâme, brûlante, cruelle. Je chialait à même le sol, et à chaque sanglot un peu trop violent, mon corps protestait, criait, et je retombai dans la brume. Au bout de ce qu'il me sembla des heures, des années, même, ma vision commença à s'éclaircir. La première chose que je vis, ce fut les énormes pieds du fou, juste à côté de mon visage. Et en levant les yeux, son visage souriant, comme si il venait de faire une bonne blague. Il avait l'air parfaitement détendu, sa clope à la bouche. Sur une échelle allant de un à dix, je classait la rage que je ressentais pour lui à vingt trois. « T’as compris la leçon où on recommence petit con ?» Oh, oui, c'était plus que clair dans mon esprit. Je ne permettrai pas de recommencer à faire le gros dur, ça s'était certain. Au loin, si loin, trop loin, j’entendais les sirènes de la police comme une libération. On venait m'aider. Enfin un peu d'espoir. Mais elles semblaient se rapprocher si lentement. « Tout ça pour une partie ratée... Va te faire soigner, vraiment.» Je ne sais pas pourquoi j'avais sorti cela. Surement parce que je pensai que, les flics arrivant, je pouvais dire ce que je voulais, jamais le fou n'aurait le temps de me faire quoi que ce soit d'autre. Pourtant, la peur me repris au tripe. Il aurait le temps de recommencer. Et je serai mort avant d'avoir eu le temps de dire ouf. « Non ! Non non, c'est bon j'ai compris ! J'arrête. Je me tais. Mais par pitié, ne recommence pas.» J'avais honte, tellement honte, disant cette phrase en chialant comme un gosse, suppliant de me laisser tranquille là où j'étais.
hors jeu:
Impossible de trouver Serre les poings sur youtube Et désolée, c'est caca
Carl Francis
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Dim 4 Sep - 10:15
Et merde ! J’y suis allé un petit fort sur ce coup… Mais il m’avait énervé ce petit con ! Encore un fois, je m’étais laissé emporter par mes émotions et j’avais pas réfléchi aux conséquences. Résultat: le petit avait la gueule défoncé et il avait pissé dans son froc. Tu parles d’un homme ! Ce mec était une tapette ou quoi ? Il savait pas se défendre ou quoi ? S’il devait se prendre une raclée et qu’il chialait à chaque fois, il arriverait à rien. Je regardais tout autour de moi, c’était pas un désastre mais une apocalypse. Je m’allumais une clope et regardais le petit merdeux en soupirant.
« Eh ! Petit con ! Tu chiales et tu pisses dans ton froc à chaque fois que tu te fais tabasser ou quoi ? Tu supplies comme une gonzesse à chaque fois que tu te prends une raclée ou quoi ? » Demandais-je d’un air dégoûté.
La cavalerie allait arriver et ce serait reparti pour un tour. Mais cette fois, j’avais pas envie de m’expliquer avec eux. Il se démerderait avec tout ce bordel, j’avais déjà ma petite réputation de shérif intraitable dans le coin. Tant mieux ! Les merdes de Fork devront savoir qu’il faut se tenir à carreau dans la ville sous peine de s’en prendre plein la gueule. Par contre, allez savoir pourquoi, mais je devais m’occuper de ce petit connard afin qu’il ne montre plus une image pitoyable de sa personne. En parlant de cavalerie, voilà deux agents qui se ramènent: il suffit de voir leur mine déconfite pour se rendre compte du bordel que j’avais faite. Ils osaient pas s’approcher de moi tandis que l’un commençait à vouloir appeler une ambulance pour soigner le petit con.
« C’est bon ! Pas la peine d’appeler une ambulance, il est pas mort et il respire toujours. C’est bon, retournez à votre patrouille, je gère le reste. » Annonçais-je de ma grosse voix , teintée d’ordre et de moquerie.
Ils obtempérèrent sans rien dire. À je sens que je vais avoir des feuilles de rapport aussi gros qu’un bouquin de dictionnaire.
- Et, pour la salle, le mec est dardé de pognon, il se démerde avec son assurance ou je sais pas quoi d’autre. C’est pas mes oignons.
- On peut savoir ce qui s’est passé quand même… C’est pour notre rapport.
- Oh… Insulte à agent en exercice on va dire… Maintenant, cassez vous ! Vous me faites chier !
Ce qui signifie, à demi mots, que je suis pas d’humeur à causer et que je vais faire parler la foudre. Quand les flics partirent, je me retour nais vers le petit con et l’entraînais dans la ruelle adjacente de la salle de jeu à moitié détruite.
« T’es qu’une fiente ! Tu sais te battre ou quoi ? Relèves toi et montre moi comment tu sais te battre. Te gènes pas ! Défoules toi ! » Lui ordonnais-je en croisant mes bras, la clope dans ma bouche. S’il savait pas se battre, j’allais lui offrir un cours gratuit !
B. Arthemis Campbell
× Avertissements : 0/3 × Points RP : 114 × Niveau : 1 × Atout : Intelligence × Âge du perso : 23
Lun 12 Sep - 16:57
Carl & Barbara
After the fall , we'll shake it off. → Blow me away ; Breaking Benjamin
Et j'étais là, chialant comme un gosse, affalé par terre, le froc tout trempé de pisse. Et tout le monde me regardait. Je sentais les regard des clients posés sur moi, petite chose pathétique, le nez collé contre le carrelage froid de la salle de jeux de Forks. Je sentais leurs regards pleins de compassion. Et j'avais tellement honte. Jamais je n'avais connu ça. Oh, la honte de soi même, oui, je savais ce que c'était. Mais la honte d'être dans une situation fâcheuse avec des témoins, ça non. Toujours, les gens m'avaient regardés avec admiration et respect. Et là c'était tout le contraire. Les clients me regardaient avec pitié et compassion. Et c'était encore pire qu'une nouvelle rouée de coup de ce cher bon vieux de ripoux de Carl Francis. Lui aussi avait l'air dégoûté aussi, et surtout plein de mépris. Tout comme son ton lorsqu'il s'adressa à moi. « Eh ! Petit con ! Tu chiales et tu pisses dans ton froc à chaque fois que tu te fais tabasser ou quoi ? Tu supplies comme une gonzesse à chaque fois que tu te prends une raclée ou quoi ? » C'est vrai, j’agissais comme une gonzesse. En un sens, j'avais été conditionné pour ça. Barbara, gymnastique. Lorsqu'on prononce ces deux mots, on s'attend pas a trouver un mec là dessous. Mais le fait était que j'avais mal. Mal et peur. Pire que mal, mon dos me torturait. Pire que peur, j'étais terrorisé. Alors peut être que c'était pas très glorieux d'agir comme ça pour moi, je ne pouvais tout simplement pas faire autrement.
Mais enfin, le calvaire était finis. J'entendais les flics qui arrivaient, et d'une seconde à l'autre ils seraient là, dans la pièce, prêts à foutre ce connard de fou de Carl en taule. Et alors, tout ça ne serait qu'un mauvais souvenir.
Et ce qui se passa après, je ne le compris même pas. Il n'y eu pas de menottes, pas d'ambulance, pas de mots de réconfort, rien. Strictement rien. Que dalle. Nada. Désolée, Barbara. Ciao. Les flics, après avoir vu dans quel état j'étais, étaient repartis, sous les ordres du fou. Comme si ce qu'il avait fait était complètement légal. Pas choquant du tout. Finalement, c'était ces deux mecs, les gonzesses. Pas capables de se rebeller. Pas capables de faire leur boulot. Ces putains d'égoïste me laissaient agoniser là. Des sortes de gargouillis mono syllabiques sortirent de ma gorge alors que j'essayai de gueuler. Gueuler que j'étais là. Gueuler que j'avais besoin d'aide. Mais la déception était tellement forte que seuls quelques sont étouffés s’échappèrent de ma bouche. Et c'est toujours en marmonnant des onomatopées et les yeux exagérément écarquillés que le fou me pris par le colle, me souleva sans effort et m’emmena dans une ruelle juste derrière la salle de jeux, mes pieds traînant sur le sol. On aurait dit une scène dans un film de baston avec la mafia ou un truc dans le genre. Totalement cliché. Et pourtant tout était vrai. Et a mon grand malheur, c'était moi le protagoniste de cette histoire de merde.
« T’es qu’une fiente ! Tu sais te battre ou quoi ? Relèves toi et montre moi comment tu sais te battre. Te gènes pas ! Défoules toi ! » gueula le fou, sa clope à la bouche, un rictus - de rage ? - sur le visage. Je ne savais pas quoi faire. Je tenais déjà à peine debout. Et si je me défoulais, comme il disais, je me récolterai une nouvelle raclée. Et si je ne faisais rien, ce serai surement la même chose. Il y avait aussi la solution de fuir - ce qui était très lâche, mais je n'étais plus à ça près - avec le risque de me faire carrément butter si je me faisais rattraper. Ce qui serait surement le cas à cause de ma jambe boiteuse et de l'état dans lequel le fou m'avais mis. De toute manière, en forme ou pas, j'avais toujours été pacifiste. Je me qualifiais moi même de hippie, de cool, de peace and love. Me battre, ça n'avais jamais été mon fort. Même quand en primaire on se foutai de ma gueule à cause de mon prénom. Je préférai me battre avec des mots. Mais que pouvais je dire qui pourrait atteindre un gars aussi mentalement atteint que Carl ? Rien. Trou noir. Néant. Du moins c'est ce qui me semblait.
« Je... je ne peux pas. Je ne suis pas une brute, j'ai une cervelle personnellement. » J'avais tenté. Mais c'était tellement petit, tellement nul comme réplique. J'avais une chance sur un million d'atteindre ce connard avec ce genre de phrases. Je ne pouvais donc rien faire. J'étais foutu. Quelque soit mon choix, j'étais bon pour l'hôpital. A moins que... à moins que j'ai le talent Usain Bolt. C'était loin d'être le cas, et là aussi j'avais une chance sur un million de m'en sortir, mais je ne voyais aucune autre alternative. J'avais pas la carrure d'un bâtant, je ne savais pas me servir de mes poings. Alors tout ce qui me restait, c'était la fuite.
Et c'est ce que je fis. Je me mis à courir. Je n'avais aucune idée de la direction que j'avais prise, peut être même que je courrais vers un cul de sac. Mais il fallait que je tente. Je trébuchais un peu au début, puis commençai à prendre un peu de vitesse. Mon dos gueulait encore et encore mais je n'y prêtait même plus attention. J'attendais simplement le plaquage qui me foutrait à terre suivit d'une nouvelle raclé de ce putain de fou.
hors jeu:
Pardon pour le retard et pour ce rp pourri >w<
Carl Francis
× Avertissements : 0/3 × Points RP : 72 × Niveau : 7 × Atout : Force × Âge du perso : 40
Mer 28 Sep - 8:59
D’accord…Je crois que j’ai fait une toute petite bévue… Quoi ? Bon…OK… Une grosse bévue ! Ça vous va ? Je me suis laissé emporter encore une fois. J’avais affaire à une fiente qui savait pas se bastonner et qui préférait causer plutôt que d’envoyer des baffes dans la tronche de minable. Et là, je lui avais envoyé une sacré raclée. Putain ! Mon impulsivité me perdra toujours. J’avais frappé un humain sans me rendre compte. Oui, je l’avoue, qu’est-ce que je peux être con des fois ! Et tout le monde qui le regardait. Nom d’un caniche ! Y a pas à dire, ça m’énervait vraiment. Je sortais mon flingue et le levais à l’air. Je tirais. Tout le monde se dispersait. Bon, les petites merdes de Fork commençait à comprendre. Bon point pour eux.
Il fuyait, amoché comme une vieille loque, sa jambe boiteuse de merde le traînant comme un pauvre clodo miteux. Je haussais un sourcil en rengainant mon arme. Puisqu’il préférait la parole à la baston, il pouvait peut être me servir à quelque chose. J’avais pas le temps de réfléchir à un plan d’action pour m’en emparer: puisque j’avais été bourrin avec lui, autant l’être jusqu’au bout. Avec ma vitesse surhumaine, je le rattrapais et, d’un solide coup du tranchant de ma main su sa nuque je l’assommais.
Je regardais l’heure. Ma patrouille était finie. Je reprendrais mon service demain. Je décidais de me barrer pour rentrer chez moi. J’emprunterais la voiture de fonction. Pour l’heure, avec le corps inanimé de l’emmerdeur, je quittais Fork en voiture, direction mon petit chez moi.