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Lun 22 Aoû - 18:34
Ce qui est vraiment génial, c’est avoir des contacts. L’Organisation, qui est derrière moi, a vraiment des moyens. Je lui avais communiqué toutes les informations dont je disposais. J’avais dis six heures mais j’appris que la chasse avait été plus courte que prévu. Tant mieux ! J’aimais ça: ordre, mission, réussite ! Je détestais l’échec ! J’aimais quand un plan se passe sans anicroche. Théola était avec moi. Je lui avais bandé les yeux et je la faisais naviguer au cœur de mon antre. Ça me faisait chier de prendre une fille par les mains mais je pouvais pas faire autrement. Il ne manquerait plus qu’elle marche sur une des nombreuses mines cachées dans la forêt et dans les alentours. Je marchais doucement en fumant ma clope, j’étais pas pressé et j’avais tout mon temps. Soit dit en passant, il n’y avait que dans mon domaine où je me sentais bien. C’était peut être l’atmosphère paisible qui me détendait.
Nous entrâmes dans le manoir. J’ouvris la grande porte et conduisait mon invité vers l’entrée secrète, menant au grand complexe. Scanner de mon empreinte biométrique génétique en posant ma main sur une console où elle épousait parfaitement l’empreinte d’une main digitalisée, scanner digitale de mes empreintes rétiniennes et accès au sous sol via un code que moi connaissait. Nous entrâmes dans le Complexe. Une voix masculine se fit entendre. C‘était le centre d’ordinateur qui m’accueillait avec sa voix chaleureuse et monotone qui me prêtait déjà les couilles. Il fallait que je lui file un nom d’ailleurs à ce con…
Théola ne pouvait rien voir et c’était tant mieux: le lieu devait rester secret tant qu’elle ne serait pas devenue un membre du clan. Et si ce n’était pas le cas, je devais m’assurer pour qu’elle n’en réchappe pas. Je la menais vers un grand ascenseur et nous descendions de plusieurs étages. Là, les portes s’ouvrirent et je me rendais avec la mioche vers une des trois salles de prisons. J’ouvris la porte, fis entrer la miss et referma la porte derrière moi. Je lui enlevais le bandeau. Nous étions entouré d’une dizaine de cellule et on entendait gémir quelqu‘un. Je m’allumais une clope et fis signe à Théola de me suivre.
« Viens. Il est là. Touche à rien tant que je ne te dirais pas de le faire. » Lui recommandais-je, la clope coincée dans ma bouche, marchant les mains dans les poches.
En effet, le responsable du malheur de Théolia était là. Sonné, enchaîné, une jambe coupé net. Il y avait du sang sur son visage et sa face avait été sacrément massacré. Hématomes et rayures profondes parsemaient son visage. Mais il était là. Toujours vivant. Je souris et commanda à Big Voice de libérer les cages de la cellule 137. Puis, je me retournais vers mon invité.
« Maintenant, fais ce que tu as à faire. La vengeance est une salope ! Elle aime se faire attendre mais quand ça arrive, ça dépote ! » Déclarais-je en m’adossant au mur de la salle de prison. Je croisais les bras. Je baisais la tête. J’avais rempli ma part de contrat. Maintenant, c’était à Théolia de jouer. Pour moi ce n’était qu’un commencement… Et pour elle ?
Théola O. Malik
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Lun 22 Aoû - 19:37
→ Théola && Carl.« La vengeance est un plat qui se mange... Glacé. »
Le noir complet. J'avançais à taton bien que l'homme avec qui j'avais rendez-vous me tienne les mains. Sa peau était rêche et chaude, c'était à la fois agréable et à la fois horriblement gênant. Je trébuchais quelles fois mais je continuais d'avancer tant bien que mal. J'étais venue, après 6 longues heures à attendre, à tourner en rond et à courir en tant que louve dans les bois tous plus nombreux les uns que les autres de Forks. J'avais encore surement l'odeur des pins sur moi mais je m'en fichais, j'avais aussi les cheveux en batailles et les ongles sales, mais je m'en fichais, pour ce que j'allais faire, je n'avais pas à être la plus belle du coin. Il marchait avec lenteur et moi, j'accordais mes pas aux siens pour ne pas tomber. Je me concentrais sur ma respiration et sur la sérénité du lieux.
Nous entrâmes dans quelque chose, je n'y voyais rien, me contentant d'attendre et de marcher quand il le fallait. J'avais l'impression d'être une prisonnière et cette sensation me remuait. Je ne pouvais m'empêcher de faire dix milles pas sur place tellement mon besoin d'espace me rongeait. La voix masculine qui raisonna me fit frissonné et si bien que je me retrouvais collé contre l'homme à mes côtés. Je me raclais la gorge et me reculais aussi tôt. Nous passâmes dans une autre pièce, l'odeur des vampires m'emplirent les narines si bien que j'en tremblais. Je poussais un grognement animal, sans pouvoir me retenir. Mon corps entier tremblait quand je reconnaissais son odeur à lui. Il gémissait, il agonisait et ça, c'était le pied. Quand il retira mon bandeau, mes yeux balayèrent la pièce du regard, le cherchant, lui l'être responsable de mon malheur. Je posais mes yeux sur l'homme qui venait de s'allumer une cigarette.
« Viens. Il est là. Touche à rien tant que je ne te dirais pas de le faire. »
Je hochais la tête alors que je calmais mes tremblements, m'enfonçant dans le couloir, derrière le flic. Quand je me retrouvais face à cette enflure, je ne pus m'empêcher de grogner une fois de plus, les yeux brillants de haine. Il était vivant bien que bien amoché, une jambe en moins, son adorable minois de sale con détruit. Je ne pus m'empêcher de sourire avant de lui glisser un clin d'oeil alors que la grille s'ouvrait devant moi, m'offrant la possibilité de me jeter sur lui et de lui arracher la vie.
« Maintenant, fais ce que tu as à faire. La vengeance est une salope ! Elle aime se faire attendre mais quand ça arrive, ça dépote ! »
Et telle un animal affamé, je m'approchais de lui, un large sourire sadique sur le visage. Premièrement, je lui collais un bon coup dans les valseuses et je le vis grimaçais sous le coup. Mon sourire se développa un peu plus. Il allait souffrir, il n'avait pas qu'à me prendre mon bonheur. Je me baissais lentement et lui montrais à quel point je me réjouissais de le voir ainsi impuissant.
« Alors petit connard, c'était bon de voir un enfant te suppliait de lui laisser la vie sauve? C'était bon de le voir mourir sous tes yeux?! Écoutes moi bien sale enfoiré, cet enfant c'était mon protégé, t'y touches, tu crèves, c'est simple... »
Et je lui collais mon poing dans le visage, avec toute la force que je pouvais avoir ainsi que toutes ma haine. Je me retrouvais avec son sang sur les mains, mais je m'en foutais, je voulais me venger, je voulais venger mon protégé. Il posa ses yeux suppliants sur moi et je ne pus m'empêcher d'exploser de rire avant de lui attraper la gorge et de le serrer très fort. Je plongeais mes yeux dans les siens, mon sourire sadique sur le visage. On inversait les rôles, ce n'était pas lui le tueur, mais moi. Il n'était que la victime suppliante, que le tueur qui pleurait parce qu'il se retrouvait sur la chaise électrique. Je lui en collais une avant de me reculer et d'attraper un briquet dans ma poche. Je vis le vampire reculer à la vue de la petite flamme qui se dégageait de l'objet. Je me mis à rire.
« Crèves. Crèves et vas en enfer. »
Je m'approchais et sans remords, je lui brûlais le visage. Il hurlait si fort que c'était la seule chose que je pouvais entendre. Je me reculais et admirais le spectacle. Mon protégé était vengé et moi aussi. Je me retournais et regardais l'homme dans les yeux.
« J'ai finis. »
J'avais du sang pleins le visage, mais j'étais vengé. Petit à petit, les cris s'estompaient, plongeant la prison dans le plus grand silence. Un silence de mort.
Carl Francis
× Avertissements : 0/3 × Points RP : 72 × Niveau : 7 × Atout : Force × Âge du perso : 40
Mer 24 Aoû - 11:01
Je pensais que la Miss allait prendre son temps et faire davantage souffrir ce petit enfoiré. Quelques baffes et elle lui a cramé la tronche, le laissant agoniser dans une souffrance indescriptible, entre cris et hurlements. Pas mal… Même si on lui avait mâché le boulot. Mais, j’étais pas là pour juger, tout au plus haussais-je un sourcil en la regardant s’approcher de moi et en m’annonçant qu’elle en avait terminé. J’hochais de la tête et balançais la clope sur le corps calciné de la victime. Un de moins… mais il en restait tant à massacrer: j’avais tout mon temps, la traque ne faisait que commencer…
Des quatre coins de la cellule, apparut quatre jets d’eau qui nettoyaient la place pour le prochain. Ça sentait le cramé mais j’en avais rien à foutre. Je quittais la pièce et nous étions dans le couloir lorsque Frieda Jodoreswki nous attendit. Elle était une vampire et une de notre spécialiste scientifique. Elle avait de longs cheveux blonds et des yeux verts. Elle mesurait un bon mètre soixante et paraissait avoir une trentaine d’année. En vérité, elle avait cent cinquante ans.
« Fais la totale et qu’elle me rejoigne en bas… » Lui ordonnais-je en me retournant vers Théola. « Tu la suis et tu fais ce qu’elle te dit. Tu me rejoindras après… » Décrétais-je alors que je me dirigeais vers le ce que j’appelais le Grand Tube. C’était l’ascenseur. Je descendais au douzième étage. La suite ne me concernait pas… Pour le moment…
Frieda invita Théo la rejoindre le secteur 08 du QG: c’était une salle médicale des plus perfectionnée technologiquement parlant. Il y avait tout le matériel nécessaire pour soigner les malades ou les blessés. Mais, surtout, c’était ici qu’on mettait en place les systèmes d’acceptation par le biais d’objets technologiques. Au fond de la salle, il y avait un scanner rétinien. À sa droite, il y avait un scanner digitale. La Scientifique invita la future membre à la suivre.
« Veuillez poser votre visage dans le scanner rétinien s’il vous plaît. Un faisceau lumineux parcourra votre visage afin d’identifier votre empreinte rétinienne dans l’ordinateur central. Cela sera votre premier code d’accès. Lorsque ceci sera fait, vous voudriez bien poser votre main sur la console digitale afin de scanner les empreintes de vos doigts. Lorsque vous aurez terminé avec ce procédé, je vous conduirais vers le Secteur 12 où vous rencontrerez Notre Chef. » Déclara Frieda d’une voix professionnelle et simple. « Veuillez accéder à ce secteur en empruntant l’ascenseur principal qui se trouve à la sortie de la salle. Descendez au douzième niveau, il vous attendra. Bon courage mademoiselle Théola O Malik. » Indiqua-t-elle avant de replonger dans ses recherches.
En fait, il y avait treize niveaux dans le QG. Le treizième niveau était le Hangar à armement. Il n’y avait que moi qui y avait accès. Pour le reste, il y avait douze niveaux, réparti en différentes salles. Le Douzième Niveau était une vaste salle où des employés travaillaient sur des ordinateurs. Au fond de la salle, il y avait un écran géant qui coordonnait tout le QG. Sur cet écran, se dessinait un visage masculin qui ne bougeait pas. À un moment donné, il posa son regard sur celui de Théola avant de reprendre son air impassible d’antan. Une vingtaine de rangée d’ordinateur était disposé et on pouvait y voir des humains, des lycans et des vampires travailler en toute sérénité. Au fond de la salle sur la droite, il y avait un escalier menant à une salle surélevée. C’était mon bureau. Je vis arriver la Mioche. D’un claquement de doigt silencieux, j’ordonnais au subalterne le plus proche d’inviter la Gamine à me rejoindre en haut. Ce fut un loup garou qui prit la main de Théola et qui me la conduisit.
Mon local ne me correspondait pas tant que ça: je n’aimais tout ce qui était technologique mais j’étais bien obligé à m’y mettre pour pas paraître con. Je connaissais les bases et je laissais les spécialistes s’en charger. J’avais mon bureau avec une chaise bien confortable. Un écran d’ordinateur et un clavier sur la gauche posé sur mon bureau. Mon fameux cendrier avec mes clopes et un petit frigo, dans le fond, avec quelques bouteilles. Une moquette grise, quelques tableaux me représentant avec des potes de l’armée etc… ici, on était dans le nerf central du QG et j’étais censé y être en permanence. Autant vous dire que ce n’était pas le cas: j’aimais ma liberté et j’étais un homme de terrain. Elle était en face de moi, je l’invitais à s’asseoir. J’avais un havane coincé dans ma bouche, je crapotais comme je fumais. C’était un putain de délice. Une bouteille de Rhum était posé sur la droite de mon bureau, elle était à moitié entamée. Je décidais de faire mon speech…
« Bienvenue au QG de Dankirk ! Parlons peu mais parlons bien: Dankirk fait partie d’une puissante organisation qui comptent des humains, des vampires et des loup garou avec un but et un seul: pacifier ce monde. La seule différence qu’il y a entre eux et moi, c’est que je suis prêt à utiliser tous les moyens nécessaires pour parvenir à ce but. Je ne cause pas, j’agis. Quelque soit la méthode, tous les moyens sont bons parvenir à mes fins… Même les pires atrocités que tu peux imaginer. Il va falloir t’endurcir ! À Fork, il y a une quantité de Clébards et de Dents Pointus qui sont susceptibles d’apporter le malheur dans cette bourgade de merde. On doit tous les éliminer et pacifier ce secteur. On est une organisation armée, on est pas ici pour jouer les Bisounours. » Commençais-je alors que je posais le cigare et que je me bus une gorgée de Rhum.
« Ici, c’est le secteur invisible de notre organisation. Il y a douze étages et tu trouveras tout ce dont tu désires. Au dessus de nous, c’est le secteur visible de notre QG. C’est un manoir avec toutes les protections que tu peux imaginer. Quand tu seras officiellement des nôtres je te filerais un plan et un code qui te permettra d’avoir tes accès ici. Bien sûr, tu ne devras jamais mentionner l’existence de ce lieu à personne. Ici, chacun bosse selon ses compétences et sa motivation. Tu te choisiras un métier et tu travailleras pour moi. Il va falloir que tu oublies toutes forme de sentimentalisme: on explose hommes, femmes et enfants s’ils représentent un danger pour Fork. Maintenant, je n’attends plus qu’un mot de ta part. Si tu es prête à nous rejoindre , dis le moi. Si tu as des question poses les avant que tu ne puisses plus. Ici, c’est l’enfer et moi je suis le diable en personne ! » Poursuivis-je en la regardant attentivement.
Je tenais ma première recrue et même si c’était une mioche, j’avais pas trop le choix. Et puis, elle me plaisait cette petite. Même si c’était une gonzesse et que je pouvais pas les supporter…
Théola O. Malik
× Avertissements : 0/3 × Points RP : 70 × Niveau : 3 × Atout : La défence × Âge du perso : 17 a
Jeu 25 Aoû - 11:22
→ Théola && Carl.« La vengeance est un plat qui se mange... Glacé. »
J'avais eu ce que je voulais. Ses yeux suppliants braqués sur moi, ses pitiés s'échappant de ses lèvres tremblantes. C'était bon de le voir me supplier de lui laisser la vie sauve alors que comme une sans cœur, je lui avais ôtée. J'avais fais exactement la même chose que lui, j'avais regardé ma victime me suppliait et je m'étais délectée de ce spectacle. Surtout en sachant qu'il avait fait la même chose avec mon protégé, pourquoi m'en serais-je priver? J'étais maculée de sang, j'en avais plusieurs taches sur les joues et l'odeur des vampires me chatouillait les narines, c'était atroce. J'aurais bien voulu me plonger sous une bonne douche tiède et effacer toutes les traces de mon meurtre. Je ne l'aurais pas sur la conscience bien longtemps, une nuit et tout est oublié. L'homme quitta la pièce et nous finissons dans un couloir où une vampire s'approcha de nous. Elle semblait inoffensive si bien que mon instinct premier se mit de côté. L'homme lui parla mais je n'y prêtais pas attention jusqu'à ce qu'il se tourne vers moi pour me parler.
« Tu la suis et tu fais ce qu’elle te dit. Tu me rejoindras après… »
Je hochais la tête et le regardais s'éloigner vers l'ascenseur alors que la vampire blonde m'entraina dans un autre secteur. A première vue c'était une sorte d'hôpital moderne, tout était là pour soigner les éventuels blesses ou encore les malades. Je me faisais discrète et d'un pas de velours, je la suivais, restant à quelques mètres d'elle. J'avais du mal à supporter l'odeur des vampires, c'était comme ça, de plus j'étais sur la défensive, au cas où. Elle m'entraina vers deux scanners et sa voix cristalline et professionnelle retentie.
« Veuillez poser votre visage dans le scanner rétinien s’il vous plaît. Un faisceau lumineux parcourra votre visage afin d’identifier votre empreinte rétinienne dans l’ordinateur central. Cela sera votre premier code d’accès. Lorsque ceci sera fait, vous voudriez bien poser votre main sur la console digitale afin de scanner les empreintes de vos doigts. Lorsque vous aurez terminé avec ce procédé, je vous conduirais vers le Secteur 12 où vous rencontrerez Notre Chef. »
Je faisais tout ce qu'il fallait et posais mon visage crade sur le scanner rétinien, laissant le faisceau lumineux détailler le moindre recoins de mon visage. Je me relevais quand l'analyse fut terminée et je posais ma main sur la console digitale. J'attendis quelques minutes puis retirais ma main que j'enfonçais dans la poche avant de mon jeans.
« Veuillez accéder à ce secteur en empruntant l’ascenseur principal qui se trouve à la sortie de la salle. Descendez au douzième niveau, il vous attendra. Bon courage mademoiselle Théola O Malik. »
Je bafouillais un " merci " avant de me diriger vers l'ascenseur principal. Je pénétrais dans la cabine d'ascenseur et j'appuyais sur le bouton 12. Il se mit en route. En attendant, j'attrapais l'élastique que j'avais autour du poignet et m'attachais les cheveux en une queue de cheval assez haute pour éviter que quelques mèches se mettent devant mon visage. Je passais aussi ma main sur mon visage et retirais les taches de sang en me regardant dans le miroir présent à côté des boutons. J'étais plus présentable qu'avant, même si j'avais l'air d'une claudo. J'arrivais au 12eme niveau et je balayais la salle du regard avant qu'un loup garou preine ma main et m'invite dans le bureau de l'homme. L'homme assit derrière son bureau m'invita à m'assoir, ce que je fis.
« Bienvenue au QG de Dankirk ! Parlons peu mais parlons bien: Dankirk fait partie d’une puissante organisation qui comptent des humains, des vampires et des loup garou avec un but et un seul: pacifier ce monde. La seule différence qu’il y a entre eux et moi, c’est que je suis prêt à utiliser tous les moyens nécessaires pour parvenir à ce but. Je ne cause pas, j’agis. Quelque soit la méthode, tous les moyens sont bons parvenir à mes fins… Même les pires atrocités que tu peux imaginer. Il va falloir t’endurcir ! À Fork, il y a une quantité de Clébards et de Dents Pointus qui sont susceptibles d’apporter le malheur dans cette bourgade de merde. On doit tous les éliminer et pacifier ce secteur. On est une organisation armée, on est pas ici pour jouer les Bisounours. »
Je hochais simplement la tête.
« Ici, c’est le secteur invisible de notre organisation. Il y a douze étages et tu trouveras tout ce dont tu désires. Au dessus de nous, c’est le secteur visible de notre QG. C’est un manoir avec toutes les protections que tu peux imaginer. Quand tu seras officiellement des nôtres je te filerais un plan et un code qui te permettra d’avoir tes accès ici. Bien sûr, tu ne devras jamais mentionner l’existence de ce lieu à personne. Ici, chacun bosse selon ses compétences et sa motivation. Tu te choisiras un métier et tu travailleras pour moi. Il va falloir que tu oublies toutes forme de sentimentalisme: on explose hommes, femmes et enfants s’ils représentent un danger pour Fork. Maintenant, je n’attends plus qu’un mot de ta part. Si tu es prête à nous rejoindre , dis le moi. Si tu as des question poses les avant que tu ne puisses plus. Ici, c’est l’enfer et moi je suis le diable en personne ! »
Je le regardais, c'était vrai qu'il avait l'air d'être le diable en personne, il me faisait affreusement froid dans le dos. Enfin, non, pas vraiment. La seule chose dont j'ai vraiment peur, c'est de la mort, le reste ne me fait pas peur.
« En effet, j'ai une question. Vous me parliez de mes capacités, de mes manies d'aimer mener la danse avec les gens, n'y-a-t-il pas un poste qui conviendrait à ses capacités? Je veux dire, je suis assez douée pour amadouer les gens, vampire, loup ou simples humains, il parait que mon visage inspire confiance, je vois pas pourquoi. Bref, il y a une contrat à signer ou je dois écrire sur une feuille de papier avec mon sang? »
Je lui faisais un large sourire innocent avant de plonger mon regard dans le sien.
« Vous pouvez me faire confiance, même si j'aime jouer avec les gens, je ne suis pas quelqu'un qui trahit les siens, je suis une personne dévouée et je laisse mes sentiments de côté quand il le faut. Je ne suis pas une chialeuse, bon là c'était une situation délicate... Je sais géré la solitude et l'isolement, je sais me fondre dans la masse et toutes ses choses qui pourraient vous être utiles. »
Je marquais une courte pause avant de reprendre.
« Au fait, c'est quoi votre nom? »
Carl Francis
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Dim 4 Sep - 17:30
J’étais assis dans mon bureau à l’écouter parler. D’un œil distrait, je regardais les autres s’affairer pour faire tourner la machine. Tout roulait. Elle me posait sa question: qu’est-ce que je pouvais bien faire d’elle ? Je la regardais tout en crapotant mon havane. Putain ! Qu’est-ce que ça faisait du bien ? Elle me confirmait le fait qu’elle pouvait se faufiler partout où elle voulait avec sa jolie petite gueule d’ange. Quelque part, ça m’arrangeait. Puis, elle me demandait où elle devait signer ou s’il y avait un contrat ou quelque chose d’autre. La paperasserie administrative était une foutue corvée pour moi, je préférais la parole donnée. Ouais, je sais ! Je suis un vieux con qui compte sur l’oral plutôt que sur l’écrit. Ça me regarde…
« Je m’appelle Carl Francis et je suis le Mâle Alpha de ce clan comme tu as pu t’en douter. À partir du moment où on a toutes empreintes, ça signifie que tu fais partie du clan. Donc, pas besoin de signer des papiers. Pour le reste, il y a un poste d’espionne au sein de notre clan. Si tu es intéressée, tu n’as qu’à accepter ta première mission… » Commençais-je alors que je tapais un mot sur l’ordinateur. Puis, je fis pivoter l’écran en sa direction. Il y avait un mot d’écrit.
« Je veux tout savoir sur eux… » Déclarais-je simplement. Puis, je tapais quatre chiffres sur le clavier et ils apparurent sur l’écran.
« Voilà ton code d’accès. Tu prends l’ascenseur, tu vas arriver dans un manoir, souviens toi de ton code d’accès, il est unique et il t’appartient. Si tu l’oublies, t’es virée du clan. Ne le divulgues à personne. Souviens toi, aussi, de l’accès du manoir à la cachette. Ce serait con que tu cherches… Maintenant, si tu n’as plus d’autres questions, mets toi au boulot. Je veux tout savoir sur eux… » Conclus-je en la regardant.
Théola O. Malik
× Avertissements : 0/3 × Points RP : 70 × Niveau : 3 × Atout : La défence × Âge du perso : 17 a
Lun 5 Sep - 12:22
→ Théola && Carl.« La vengeance est un plat qui se mange... Glacé. »
« Je m’appelle Carl Francis et je suis le Mâle Alpha de ce clan comme tu as pu t’en douter. À partir du moment où on a toutes empreintes, ça signifie que tu fais partie du clan. Donc, pas besoin de signer des papiers. Pour le reste, il y a un poste d’espionne au sein de notre clan. Si tu es intéressée, tu n’as qu’à accepter ta première mission… »
Je hochais la tête en regardant l'écran. Je faisais donc partit du clan et j'étais une espionne et étrangement, je sentais déjà l'adrénaline du moment venir me chatouiller la colone vertébrale. Cela n'allait pas être facile certes, mais je pouvais y arriver. Ce nom me disait déjà quelque chose et je savais que je pouvais être à la hauteur de ses attentes. Bien sûr que j'étais intéressée, même si je me jetais dans la gueule du loup; oui, j'étais plus qu'intéressée.
« Je veux tout savoir sur eux… »
Et il saurait tout. Quitte à y laisser des poils de mon pelage derrière, il saurait tout ce qu'il y aurait à savoir. Je mémorisais rapidement le code.
« Voilà ton code d’accès. Tu prends l’ascenseur, tu vas arriver dans un manoir, souviens toi de ton code d’accès, il est unique et il t’appartient. Si tu l’oublies, t’es virée du clan. Ne le divulgues à personne. Souviens toi, aussi, de l’accès du manoir à la cachette. Ce serait con que tu cherches… Maintenant, si tu n’as plus d’autres questions, mets toi au boulot. Je veux tout savoir sur eux… »
Je me levais et le saluais d'un geste de tête avant de sortir lentement du bureau, au dernier moment, je me retourne et le regarde.
« Merci et oh, pour la mission, je me demmerde. »
Je lui fis un clin d'oeil avant de partir pour de bon et d'emprunter l'ascenseur. J'étais désormais seule, bien plus que jamais, mais c'était tellement excitant!
Une Volturi se serait éprise d'un hybride lycano-vampire... info ou intox ? 
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Lun 22 Aoû - 18:34
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