Une Volturi se serait éprise d'un hybride lycano-vampire... info ou intox ? Le corps de Fenris aurait été retrouvé sur une plage de Miami... info ou intox ? Il parait que le chef de Dankirk est responsable d'abus sexuels sur ses Dankirkettes... info ou intox ? Le roi des Volturi ferait souvent des virées en solitaire à Forks... info ou intox ? La reine des Volturi aurait ouvert un club, le Croquemitaine... info ou intox ? |
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| Face to face and heart to heart, we’re so close yet so far apart [privé] | |
| B. Annabeth Viene × Avertissements : 0/3 × Points RP : 12 × Niveau : 3 × Atout : La vitesse × Âge du perso : 158
| Sam 23 Juil - 18:53 | |
| Je suis forte et fragile à la fois. Je me souviens comme si c'était hier de la première fois où j'ai ouvert un livre. Mon père était assit près de moi tant dit que ma mère se pouponner devant sa coiffeuse. C'était la première version de Alice aux pays des merveilles de Lewis Carroll. Evidemment a l'époque les traductions de livre était peu fréquente alors c'était la version anglaise, oui j'ai appris a lire avec un livre écrit en anglais. J'avoue tout a fait de n'avoir pas compris de suite l'histoire, je commençais a peine à apprendre l'anglais. Bref, ce livre représente un souvenir de mon passé. Les souvenirs sont partout, ils sont toujours avec moi que cela me déplaise ou non. C'est un calvaire de vivre dans un endroit où tout vous fait pensez à votre vie antérieur. Cependant j'aime bien la ville de Forks, si calme et paisible (du moins d'apparence), ces grand espaces, ces bois, ces clairières et aussi le temps qu'il fait ici. Il vrai que lorsque je suis arrivé à Forks il y a seulement deux ans, je n'étais pas enfanté de la pluie et du froid qu'il faisait, mais quand le soleil reviens les paysages sont sublime. Cette ville est un vraie coup de coeur, bien que je préfère loin de là Paris et ses ruelles pavés.
Aujourd'hui, il pleut à Forks c'est une journée typique, parapluie et chawé sont de rigueur. Je n'ai pas envie de rester chez moi a rien faire et a me morfondre comme une pauvre fille (pure métaphore). Je m'ennuie tout le temps, j'ai beau essayé de m'occuper rien ne marche et tout m'ennuie. J'ai appris à faire du piano et de la guitare en un rien de temps. La lecture m'ennuie, j'ai déjà tout lus, tout vus. Je ne sais plus quoi faire de mon temps "libre". De plus ma vie de solitaire me paisse sur la conscience, ce n'était pas un si bon choix finalement, je m'ennuie deux fois plus. Alors pour une fois j'allai sortir de mon trou et bouger ailleurs qu'à Forks. Direction Port Angeles avec ces boutiques et surtout ces librairie, je comptai bien trouvé quelque chose de neuf !
Port Angeles est une ville tout a fait fascinante, bon un peu moins que Paris, Barcelone, Volterra, Rome et pleins d'autre mais elle a tout de même du charme. Au moins c'est une ville plus vivante que Forks. J'avais un programme précis, je devais rentré pas trop tard pour ne pas louper How you meet my mother ?. Oui, j'ai pris des petites habitudes et j'aime regardé la télévision enfin uniquement lorsque ce sont des épisodes ou films que je n'ai pas déjà vus (même si cela se fait de plus en plus rare). Dans un premier je devais me rendre à la librairie pour tanter de trouver quelque chose de neuf à lire.
Je me baladais dans les allés éclairé de la librairie. Il y avait un peu partout de jeune humains en train d'étudier sur des tables ou en train de chercher désespérément un livre en particulier. Je n'avais aucune idée de type de livre dont je cherchais juste quelque chose que je n'avais pas encore lus. Je marchais alors avec errance, comme un zombie les yeux fixé au loin. Puis je tourna a l'angle d'une allée et vis une femme assez grande, fine et blonde devant une étagère. Je m'approcha d'elle et lui demanda d'une voix douce et froide à la fois: « Excuser moi ? Vous savez où sont les livres parus dernièrement ? ». La femme en question ne dit rien sur le moment, par la suite en se tourna doucement vers moi avec un sourire aux lèvres. Je la regarda bouge bée. Ce n'était pas qu'une simple femme, elle était bien plus que cela. C'est une vampire.
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| | Aubrey R. De Marzo × Avertissements : 0/3 × Points RP : 174 × Niveau : 2 × Atout : la vitesse. × Âge du perso : 20
| Lun 25 Juil - 11:22 | |
| Les lettres s’envolent, elles dansent autour de moi et me comptent leurs histoires. Je courrais. Le plus vite possible, frôlant l'écorce des arbres, soulevant des feuilles desséchées lors de ma course, faisant gicler des éclats de terre en l'air. Je le suivais de près, je le voyais bondir à toute allure juste à quelques mètres devant moi. Il ne m'échapperait pas, il était coincé et officiellement mort. J'avais soif et c'était cette soif qui dirigée le moindre de mes mouvements. Je filais à toute allure dans la pénombre de la forêt, observant tour à tour devant moi et la magnifique lune qui trônait dans le ciel. Elle était bien ronde ce soir, signe que je n'allais surement pas être la seule à chasser dans la forêt. J'étais une proie facile, facilement maîtrisable aussi. La force, ce n'est pas mon point fort. Je dirais plutôt la vitesse. Enfin, tous les vampires sont rapides mais je ne sais pas pourquoi, j'ai l'impression d'aller plus vite que jamais. Je le vois enfin, ce cerf que j'ai pourchassé des heures durant. En une dernière foulée, je m'élance un peu plus, soulevant des milliers d'odeurs différentes alors que mes pieds caressent le sol. Je me lance à corps perdu sur l'animal et il s’étale au sol, poussant plusieurs petits cris. Nous roulâmes quelques minutes puis je le plaquais au sol sans qu'il puisse sans sortir. Je voyais ses yeux suppliant portés sur moi, me dévisageant. Je détournais le regard, un poil hésitante. J'avais de la peine à faire ça, mais je devais me nourrir. Après tout, on mange bien de la viande, viande qui est tirée d'animaux morts, non? Je le regardais un instant, mes yeux courant le long de sa colone vertébrale frémissante, détaillants ses pattes embouées. Je me penchais sur lui et lui arrachait tristement la vie. M’abreuvant de son sang, me nourrissant. Mes pupilles étaient dilatées quand j'avais soif, c'était donc plus dur à camoufler que d'ordinaire. Et cette soif, enfin elle s'était tue. Je me levais lentement, essuyant mes lèvres ensanglantées d'un mouvement rapide et bref de manche. Puis je partis. Laissant le corps inerte derrière moi, m'enfonçant dans la noirceur de la nuit.
Sifflotant, assise à la fenêtre de ma pseudo cuisine, je lis tranquillement. Le ciel est grisâtre encore une fois sur Forks, un temps qui ne donne en aucun cas l'envie de sortir se mouiller. Un vent frais caressait la petite ville, ne m’atteignant pas le moins du monde. C'était pratique d'être un vampire en fin de compte; la fraîcheur et la chaleur ne nous atteignent pas, notre corps restant à la même température, encore et encore. J'ai enfilé l'un des rares pulls qui se trouvent dans mon armoire. Une longue tunique en laine, ne couvrant pas mes genoux. J'avais enfilé mes bottes légendaires que j'avais toujours gardées. Elles étaient noires avec des talons d'aux moins 10 centimètres couleur bois. Je m'amusais à les faire claqués alors que j'étais plongé dans la lecture de mon livre. Je n'étais pas le genre de fille qui aimait passé des heures un livre à la main, pourtant depuis ma transformation je m'y étais sérieusement mise. J'avais trouvé un passe temps quand le temps n'était pas idéal pour sortir. Le son de la radio baissée, résonnait tout de même dans la petite pièce, parvenant à mes oreilles attentives. J'avais mis l'une des rares radios internationales, donc j'avais droit à beaucoup plus de variétés et de nouveautés que les radios que l'on pouvait entendre et qui étaient directement enregistrées à Forks. Pas que la musique folklorique ne me plaisaient pas mais... Si. Je détestais ça. Tournant rapidement la dernière page de mon livre, que je dévorais avec une facilité enfantine, je reposais mon bouquin à mes pieds. D'un geste machinal je m'étirais, pensant à mes os qui craquaient dès que je faisais ça autre fois. Rapidement, je sautais en bas de la fenêtre, retombant dans les lauriers qui étaient plantées juste en dessous. Je m'époussetais rapidement et pris la direction de ma voiture. J'avais finis mon livre, il m'en fallait donc un nouveau.
Port Angeles avait une très grande bibliothèque et surtout très variée. Il y avait beaucoup d'ouvrages, autant sur les rumeurs communes que sur les classiques de la littératures française. Tous les livres étaient traduis en anglais bien sur, mais c'était souvent mieux de lire les originaux, c'est tellement plus vrai. Je n'avais aucune idée du livre qui allait être mon coup de coeur cette fois si, mais j'étais déjà dans ma sublime Mercedes noire, fonçant dans la campagne de Forks, que je sentais déjà l'odeur des livres frais chatouillée mes narines. Ma voiture pouvait être un peu voyante pour certains mais je m'en fichais, j'adorais ma voiture. C'était l'une des rares choses chères que je m'étais permise à acheter après ma transformation. Je voulais une voiture rapide, ne tenant plus en place comme avant.
J'étais arrivée rapidement dans la bibliothèque et d'un pas enjoué, je parcourais toutes les étagères remplies de somptueux livres tous plus interressants les uns que les autres. Je ne connaissais pas bien Forks ni Port Angeles, mais pourtant cette librairie était l'endroit le plus commun que j'avais entre ses deux villes. J'y passais beaucoup de temps vu que je finissais mon livre en un rien de temps à tous les coups. D'un pas gracieux, je me baladais entre les grandes allées de livres, mes doigts parcourant chacun des ouvrages. Je savais où se trouvait chaque type de livres, c'était presque un jeu d'enfant de se repéré ici. Je passais devant les ouvrages les plus récents et m'y arrêtais un instant alors qu'un livre attira mon attention. Je le saisissais entre mes doigts fin et parcourait rapidement les pages. Le tintement de la porte me fit relever la tête vers une jeune brune qui venait de pénétrer à l'intérieur. Le vent m'apporta toutes les odeurs extérieures en plus de celle de la jeune fille qui n'était pas comme celle d'un humain. C'était un vampire, c'était sur. Reportant mon attention sur mon livre, je ne me rendis pas compte qu'elle était arrivée à mon niveau bien que son odeur s'était fait plus précise et collante. « Excuser moi ? Vous savez où sont les livres parus dernièrement ? ». Je relevais lentement la tête, un large sourire aimable sur le visage. J'avais toujours essayée d'être polie depuis ma plus tendre enfance et à vrai dire, je m'en sortais plutôt bien, du moins, personne ne s'était plains de mon comportement. « Vous les avez justement devant vous, je vous conseillerais vivement celui si... » Je pointais le livre du doigt. « Il est vraiment super et l'histoire est passionnante. Les personnages sont tous étroitement liés, c'est très intéressant à lire. » Mon sourire s'élargissait un peu plus en repensant à l'histoire de ce livre. C'était l'un des rares qui avait réussi à capter vraiment toute mon attention.
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| | B. Annabeth Viene × Avertissements : 0/3 × Points RP : 12 × Niveau : 3 × Atout : La vitesse × Âge du perso : 158
| Mar 26 Juil - 11:23 | |
| Je suis forte et fragile à la fois. Marcher ainsi dans ses grande allées remplie de livre me rappelle l'époque où Père n’emmenait par tout avec lui. Nous avions toujours eu une relation très fusionnel et un lien fort nous liais. Quelques fois, malheureusement, il devait partir pour un long voyage a l'étrange. D'ailleurs, il me semble si mes souvenirs son correct, qu'il a voyagé jusqu'aux Amérique et qu'il est revenus quelques mois plus tard avec des nouveaux domestiques. A l'époque je ne comprenais pas tout ce qu'il se faisait, tout le trafic des esclaves, pour moi ce n'était que de simple domestique. Bref, avant chaque voyage il aimait passé toute une journée en ma compagnie. Il n’emmenait au zoo dans le parc des Buttes-Chaumont où nous y passions toute une partie de la journée. Puis comme toujours, il n’emmenait aux archives de Paris pour m'offrir un cadeau. Lorsque j'étais enfant, j’aimais beaucoup lire. Ma mère n'était que rarement avec moi, bien trop occupé a suivre l'Impératrice Eugénie. Je lui en veux tout de même de n'avoir pas passé un peu plus de temps avec moi. Mes seuls souvenirs d'elle seront lorsqu'elle me réveillait chaque Dimanche pour aller à la messe. J'avais besoin d'une mère et tout ce que j'ai eu c'est des gouvernantes et un petit chien venant d'Angleterre. C'est en partie a cause de cela que j'aimais lire, ça me permettais d'entrer dans un nouveau mon: mon monde, ma bulle et d'oublier quelque peu ma triste vie dans un sens. Là où je voulais (a la base) en venir, c'est que dans une librairie il y cette odeur si particulière qu'il y avait également aux archives de Paris. Les vieux libres ont cette odeur répugnante de moisi et de vieux qui me fait penser (pour ma part) à la mort, ils paraissent si froid et fragile. Tant dis que l'odeur des livres récent ont cette odeur de sorti d’imprimerie, toute fraîche, l'odeur du neuf j'adore. J'aime beaucoup les librairie et tout ces odeurs qui se mélange ( sans oublier celle des humains et de quelques vampires qui se balade).
J'observai avec attention la femme vampire qui se tenait là, devant moi. Elle n'avait pas du tout l'allure d'une vampire, si je n'avais pas senti son odeur jamais je m'en serai douter. Cependant, d'un côté les vampires ne doit pas être découvert donc c'est un peu normal qu'elle paraisse si humaine. Tout se mélange dans ma tête, tout devient flou et il faudrait que sa change ... Elle feuilletai un livre que j'avais déjà lus et dont j'ai étais déçus. Puis elle releva la tête et sourit aimablement et dit d'une voix posé : « Vous les avez justement devant vous, je vous conseillerais vivement celui si..» Et me montra un livre du doigt. Je le pris de l'étagère et regarda brévement la quatrième de couverture. La femme vampire continua : « Il est vraiment super et l'histoire est passionnante. Les personnages sont tous étroitement liés, c'est très intéressant à lire.» Je la regarda a nouveau, elle souriait, je fis de même et la remercia. « Merci du conseil. Si je peux vous en donnez un en retour, ne prenez pas ce livre la fin est pathétique et l'histoire n'a ni queue ni tête. Si vous aimez les livres avec une histoire passionnante je vous conseil tout les livre de Marc Levi. C'est un très bon auteur français. » Je souriais tout fière d'avoir pour une fois conseiller quelqu'un. Habituellement je suis plutôt timide alors je n'ose pas donner des conseils a des inconnus. Mais je ne sais pas si c'est le fait qu'elle soit vampire ou non, pour une fois je me suis lancé. C'est une petite victoire ! Que sera la prochaine étape ? désolé c'est un peu court :/ je me rattraperais sur celui d'après promis ♥ |
| | Aubrey R. De Marzo × Avertissements : 0/3 × Points RP : 174 × Niveau : 2 × Atout : la vitesse. × Âge du perso : 20
| Mar 26 Juil - 15:44 | |
| Les lettres s’envolent, elles dansent autour de moi et me comptent leurs histoires. Ce que j'aimais le plus dans cette librairie, c'était toutes les odeurs des livres. Dès lors qu'on posait un pied à l'intérieur, on était envahis par toutes les senteurs différentes des livres. Certains sentant le frais et le neuf, d'autre un peu plus vieux, signe qu'ils étaient là depuis déjà un bon moment, comme si personne n'avait pris la peine de l'ouvrir et de le parcourir l'espace de quelques secondes pour voir si l'histoire était passionnante ou non. J'avais toujours laisser une chance même aux pires livres, surtout ceux que personne n'apprécier parce que la plupart du temps, moi je les aimais. J'aimais les vilains petits canards, c'est vrai. Ceux que peu de personnes s'étaient risqués à appréciés mais que finalement ils avaient recalés à cause de ce côté mal aimer qui les suivaient un peu partout. On m'a toujours dis que ce genre de chose pouvait finir par me coûter cher, j'avais toujours eu un faible pour les gens que personne ne se risquaient à apprécier de par leur style de vie ou autre. J'avais déjà fréquenter des lesbiennes ou bien des gays, ou encore les pires cons que l'on puisse croisé dans une vie et pourtant, j'étais toujours bel et bien vivante, sans écorchures. J'étais plutôt quelqu'un qui laissait sa chance à chaque personnes présentes sur terre, je ne balayais pas les différences, au contraire. Être ouvert au monde et aux changements est par fois mieux que de rester bloquer sur les stéréotypes que notre époque fait si bien. Les filles ne sont bonnes qu'à baiser et les hommes sont les plus forts du monde. Mon cul oui.
La plupart des livres que j'avais déjà lu étaient adaptés aussi au cinéma et j'aimais bien voir le résultat sur écran. Je lisais d'abord le livre et ensuite, je voyais si il existait en film pour pouvoir voir la différence. Des fois, les scènes étaient toutes reprises, faisant ainsi du film la réplique parfaite de ce que je m’imaginais du film, les acteurs en plus. Mais d'autres fois, c'était tout le contraire, il n'y avait rien tiré du livre et tout était inventé, changeant ainsi toute l'idée merveilleuse que je me faisais du long métrage. Certes, les moyens n'étaient toujours là, ou alors il fallait faire attention aux nombres de minutes qui pouvaient être diffusées etc. Ce que j'aimais aussi, c'est m'imaginer la tête des personnages en les comparant avec les acteurs. Je m'amusais à donner telle ou telle personnalité au personnage et ainsi, toute l'histoire prenait un sens.
« Merci du conseil. Si je peux vous en donnez un en retour, ne prenez pas ce livre la fin est pathétique et l'histoire n'a ni queue ni tête. Si vous aimez les livres avec une histoire passionnante je vous conseil tout les livre de Marc Levi. C'est un très bon auteur français. » Je regardais mon livre et hochais lentement la tête. Elle devait sûrement avoir raison, il avait pourtant l'air bien, enfin, pour un début de livre il était bien. Certes, c'était la fin qui était pathétique, comme beaucoup de livres. On trouve un bon livre dans laquelle on arrive à s'identifier et on se retrouve avec un livre nul et une fin sans queue ni tête. On finit par se demander comment nous on l'aurait finit. On imagine un suite aussi et puis finalement, on est content d'avoir lu le livre, aussi nul soit il. J'allais le prendre quand même, même pour perdre mon temps, c'était tout de même un bon moyen de passer le temps et puis, lire reste lire. « Merci » J'esquissais un léger sourire alors que je fourrais mon livre dans le petit panier que j'avais pris à l'entrée. Aujourd'hui, je comptais prendre plusieurs ouvrages pour ne pas avoir à faire des allers-retours entre la librairie et chez moi, bien que cela ne me déranger pas tellement. Je la regardais un instant et lui demandais « Si je puis me permettre, vous êtes anglaise ou d'une autre nationalité ? » Je lui demandais cela car je décelais un petit accent dans sa manière de parler que peu de personnes on ici . Étant américaine pure souche, mon accent passait très bien mais quand on croisait une personne venant d'un autre pays, on l'entendait tout de suite bien que son anglais soit irréprochable.
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| | B. Annabeth Viene × Avertissements : 0/3 × Points RP : 12 × Niveau : 3 × Atout : La vitesse × Âge du perso : 158
| Mer 27 Juil - 11:54 | |
| Je suis forte et fragile à la fois. Depuis ma transformation je ne suis jamais retourné en France, à Paris sur les traces de mon enfance et de tout un chapitre de ma vie. Pourtant je reste attaché à toute ses traditions, plat et culture française. La France restera a jamais mon pays natal. Ça pourrait être bien d'y remettre les pieds un jour. Paris a dû tellement changé, lorsque j'ai quitté la capital elle était encore en plein travaux réalisé par Hausmanne. Cependant, je ne sais pas comment je réagirai lorsque je marcherai sur les pavé de Pairs, ma baladerai prés des Buttes-Chaumont et irai visité le Louvre. Sans bien évidement ne pas oublié d'aller faire un petit tour dans les catacombes où ma vie a basculer. Je ne pense pouvoir y aller seule, mais dans ce cas y aller avec qui ? Ici je n'ai pratiquement aucun amis, je ne suis qu'un fantôme, une personne sans fond qui vit sous une autre identité. Mais comment faire ? Je ne peux pas aller voir des gens en disant: « Bonjour ! Je m'appelle Blanca, je suis française et j'ai 158 ans ! YOUHOU ! » Les gens me prendraient pour une folle et m'enverrai illico chez les gens. De toute manière la famille Viene n'est pas vraiment connu, nous étions que des amis de la famille impérial rien de plus après tout.
La femme vampire me regardait avec son sourire si particulier que je ne pouvais m'empêcher de l’observer sans arrêt. J'avais cette impression de faux semblant et de fond hypocrite, avais-je raison, avais-je tord je ne le serais jamais. Elle me remercie avec toujours le sourire et rangea dans son petit panier le livre. Je voyais bien qu'elle en avait rien a faire de mes conseils, tant pis j'aurai pour une fois essayer. De toute manière elle verra bien que j'avais raison lorsqu'elle aura terminé de le lire. Puis alors que j'étais repartis dans mes pensées, je vis qu'elle me regardait comme figer un instant et me demanda: «Si je puis me permettre, vous êtes anglaise ou d'une autre nationalité ? » J'ai hésité un instant a mentir, mais je ne suis une bonne comédienne. Je laissa un blanc pendant a peine une minute avant de reprendre: «Non, je suis française » Je souris légèrement un peu gênée avec cette folle envie de me retourné et de partir comme une voleuse. Oui j'ai honte d'être française puisque pour moi sa signifie mon passé et mes fantômes du passé me hante toujours. Je regardais ailleurs pour éviter a tout prix de croiser son regard. Alors je regardais les livres disposé sur l'étagère devant moi et dit: « Tiens je vais prendre celui-là » Je lui souris a la va vite et pris chemin opposé, en espérant que celle-ci ne me suive pas.
Je marchais a grand pas dans l'allée principal. Je voulais a tout prix éviter la vampire. Je ne voulais tout simplement éviter les questions gênante, non en réalité toute question sur moi ou sur mon passé. Je vis au jour le jour et ne regarde jamais vers le passer. J'essaye de ne rien regretter, mais c'est difficile. Je m'étais réfugier au niveau des ouvrages étranger ancien, tout au fond de la librairie. Je m'étais assise a une table au milieu de plusieurs étudiants humain. Leurs odeurs ne m'attirai pas vraiment avec le temps j'ai appris a contrôler mes pulsions et je vis presque normalement. J'avais pris un ouvrage au hasard totale et était tombé sur la Grèce antique tout ce que j'ai toujours détester. Je n'ai jamais aimé le grec et pourtant ! Chaque jour, j'avais une leçon de deux à trois heure de grec, une vrai torture ! Cependant, il faut croire que je n'ai rien perdu, je comprend tout ce qu'il y a dans ce maudit bouquin. Je regardais chaque personne qui venait au fond de la librairie en espérant de tout mon être que la vampire ne vienne pas. Je me cachait derrière ce gros et vieux livre de grec.
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| | Aubrey R. De Marzo × Avertissements : 0/3 × Points RP : 174 × Niveau : 2 × Atout : la vitesse. × Âge du perso : 20
| Jeu 28 Juil - 12:56 | |
| Les lettres s’envolent, elles dansent autour de moi et me comptent leurs histoires. J'avais toujours été très fière d'être née à New York. C'était l'une des rares choses de ma vie passé qui me suivait encore et dont je ne me gênais pas pour m'en vanter. J'étais fière d'être née dans cette magnifique ville et j'étais fière d'avoir l'accent américain qui harmonise mes paroles. Je me fichais complètement de ce que les gens pouvaient penser du fait que je venais de NY, du fait que j'avais grandis dans la mal-bouffe des États-Unis et toutes ses conneries que les gens peuvent nous sortir rien que pour pouvoir se sentir important de juger une personne. On me demandait souvent pourquoi j'étais partit. Je ne savais pas vraiment quoi répondre, après tout Forks ne surpassait pas NY et ne la surpasserait jamais, c'était un fait. Ils ignoraient souvent le fond de ma pensée quand je disais que j'avais de la famille ici et que je voulais à tout prix la rencontrée. C'était vrai, j'avais de la famille ici mais indirectement. J'étais une vampire et je recherchais mes semblables, c'est tout. Je n'en avais d'ailleurs pas vraiment croiser depuis mon arrivée, du moins, je faisais l’ermite alors bien sur, je ne pouvais pas les rencontrer. J'avais un peu peur à vrai dire. Peur d'être déçue peut-être, je m'attends sûrement à des êtres impressionnants et me retrouvais en face de gens tout à fait banals, comme moi. A vrai dire, je n'avais jamais vraiment réfléchis à quoi pouvait ressembler un vampire avant d'en être moi même un. Je ne voyais pas vraiment de changement mais peut-être que les humains eux, en voyaient. Moi je n'avais trouver que ma peau luisante et mes yeux pourpres. Mais c'était déjà assez comme détails.
«Non, je suis française » Oh, une française ! J'ai toujours été fascinée par la France. C'était un pays qui semblait magnifique et sûrement beaucoup plus calme que l'Amérique. Je n'avais jamais eu l'occasion d'y aller mais pourtant, j'en rêvais. Je l'avais survoler par contre, en avion alors que je me rendais en Italie pour voir ma famille du côté paternel. J'aspirais à pouvoir visiter un jour ce magnifique pays, mais pas maintenant, plus tard peut-être. J'ai l'éternité devant moi après tout. Je portais mon regard sur la brune qui croulait sous le malaise de la situation, je ne comprenais pas pourquoi, ce n'était pas une honte d'être française, au contraire. Alors que j'ouvrais la bouche pour parler, elle me coupa. « Tiens je vais prendre celui-là » Elle attrapa un livre coincé entre deux énormes romans américains. Elle me sourit puis s'éloigna rapidement. Je fronçais les sourcils en la regardant s’éloigner, sans comprendre pourquoi elle s'était enfuie de la sorte. Bien sûr, je ne la suivais pas. Je n'allais pas la suivre si elle ne voulait pas de ma compagnie, après tout c'était sûrement pour cela qu'elle s'était évaporée à la vitesse de l’éclair. Je parcourais encore les étalages de livre, cherchant le livre qu'elle m'avait conseiller. Une fois trouvait, je le fourrais dans le panier avec l'autre bouquin que j'avais pris. Je m'assis alors au milieu d'une allée et commença à lire un livre qui se trouvait là.
Près d'une heure et demi passèrent. La bibliothécaire était même venue me dire que la boutique allait bientôt fermée pour que je puisse enfin me sortir de ma lecture. J'ignorais si la vampire que j'avais croisé tantôt été elle aussi encore ici bien que son odeur flottait toujours dans l'air. Je me levais donc le plus lentement possible pour ne pas affoler les humains encore présent. Oui, c'était étrange de voir une personne à toute vitesse, la voir en suite bondir en avant pour courir à la vitesse de la lumière aux caisses. Ce n'était pas normal, même pour le plus idiot de tous les humains. C'était un fait, on est lent en tant qu'humain mais quand on passe vampire, plus rien ne nous arrête. D'un pas gracieux, je me rendais aux caisses où je donnais les trois livres que j'avais pris pour pouvoir payer. Une fois chose faite, je sortais. Les odeurs de la ville m'envahirent puis le souffle frais du vent sur mon visage. Je fermais un instant les yeux, laissant toutes ses sensations m'envahir puis les ré-ouvraient lentement quelques minutes après. Je repris ma marche en direction de ma voiture quand je rentrais malencontreusement dans quelqu'un. Je me retournais et m'excusais rapidement puis esquissais un sourire quand je découvrais la vampire croisée dans la librairie. « Tiens, Spidi Gonzales... » Un rire s'échappa de mes lèvres.
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| | B. Annabeth Viene × Avertissements : 0/3 × Points RP : 12 × Niveau : 3 × Atout : La vitesse × Âge du perso : 158
| Mer 24 Aoû - 19:03 | |
| Je suis forte et fragile à la fois. Je me souviens qu'il y a quelque temps (enfin plutôt quelques dizaine d'années) j'avais rentré un vampire française de l'époque Victorienne. Durant plusieurs heures nous avions conversé sur la France, Paris et ses belles campagnes. Il m'avait raconté que pour lui, il était important de retourné sur la terre de son enfance et retrouvé les traces de ses parents. Il s'est même rendu sur leurs tombe. Pour ma part, je ne pourrai pas même si bien évidement les pavés de Paris et côtes Basque me manque. Je ne sais même pas si j'ai été mentionné disparut ou morte, ce que son devenus mes affaires, mes bijoux et ce cher Alexander. Parler avec ce vampire m'avais fait du bien, j'avais pu pour une fois parlé avec quelqu'un qui comprenait ma douleur et se que je ressentais. Malheureusement je ne l'ai jamais revus ...
Je feuilletai le livre de Grec sans grande conviction. Je ne sais même pas si je comprenais réellement le texte, je regardais une enfant uniquement les visages puisque tout décrypter m'énervai. Tout ceci me fit songer que je n'ai pas vraiment voyager durant ce dernier siècle. J'ai fait uniquement l'Angleterre et les Amériques. Maintenant que j'ai tout mon temps je partirai peut être pour un tour du monde, mais bien évidement seule ce n'est pas franchement très marrant.
La bibliothèque allait bientôt fermer, pour éveiller aucun soupçon et regard je me déplaça en douceur et lentement. Je déteste la lenteur pour marché lentement, se pavaner devant des centaines de gens a quoi sa rime ? Désormais j'adore la vitesse, courir, ma voiture de course la vitesse et partout. Enfin bref j'allais à la caisse afin de payer le livre que j'avais un peu pris au hasard et sortie de la librairie. J'e me tenais toute droite, d'un pas léger, fière de me diriger vers ma porche chérie gris métallique. J'avais le sourire aux lèvres, j'adorai se petit bijoux. Alors que j'allais ouvrir ma voiture une personne me bouscula, rien de très grave, et celle-ci s'excusa. Je me retourna et dit d'une petite voix « ce n'est pas grave. » et me revoilà avec la vampire de tout a l'heure qui tout en échappant un léger rire dit : « Tiens, Spidi Gonzales... » Sans rien dire je détourna le regard sur le côté tout en jouant avec mes clefs de voiture. La présence d'autre vampire ne me rassure pas du tout, on ne sait jamais qui ils sont vraiment et tout ceci me trouble. Je ne suis pas social c'est bien pour cela que je vis seule dans une modeste maison alors que je pourrai me payer une superbe villa en Californie ..
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