B. Annabeth Viene × Avertissements : 0/3 × Points RP : 12 × Niveau : 3 × Atout : La vitesse × Âge du perso : 158
| Ven 22 Juil - 20:37 | |
| Règle n°1: Ne jamais s'amuser avec mes nerfs. Une journée normale et a vrai dire ennuyeuse se termine en douceur. Pour une fois je suis à la maison et non en train de courir a droite et a gauche. Je suis seule comme toujours. J'aime vivre seule, être solitaire. J'ai trop été dessus part des gens qui m'étais chère. Malheureusement je vivrais encore bien des siècles avec cette plait ouverte et toute sanglante. Je n'oublierai jamais les douloureuse paroles de ma mère, le regard perçant de mon père qui me traitait alors comme une meurtrière. Pour une fois George avait raison, je n'aurai pas dû aller les voir. Pourtant, moi qui croyais naïvement qu'ils m'aimaient. J'étais dans la bibliothèque, ma grand bibliothèque, plongé dans un livre que j'avais déjà lus plus d'une centaine de fois mais qui était toujours aussi passionnant. Lorsque j'ai terminé ce livre pour la énième fois, je retrouvas à la dernière page une dédicace: A ma princesse Blanca, A toi qui ensoleille toute mes journées, m'a prunelle de mes yeux. Je suis tellement fière de ce que tu es et je sais qu'un jour tu deviens une femme magnifique.Mais au fond tu restera ma petite fille qui courait dans champs, qui riait tout le temps. Reviens nous voir le plus souvent possible. Félicitation pour ses fiançailles. Avec tout mon amour, Papa. Je suis resté là, sans bouger pendant quelque minutes les yeux rivé sur cette page, cette dédicace écrite a la plume. Puis en fixant encore cette page les souvenirs revennèrent au galop. C'était seulement quelques mois après ma transformation, je dirai pas plus de deux. Paris avait bien changer, les gens avait peur puisqu'une bête semait le trouble dans la capitale. J'avais, quelques jours auparavant, supplier George d'allé rendre visite à mes parents. Ils me manquaient terriblement, je n'avais jamais été séparer d'eux aussi longtemps. Pour cette occasion qui étais alors pour moi grande, j'avais acheté une robe violette très belle et qui ressemblait à la Blanca d'avant. A travers une lettre "anonyme" je leurs avais donné rendez-vous dans un square assez loin du Louvre. Je souhaitais y aller seule, arrivé au bras de George aurait fait mauvaise impression et ils auraient eu des illusions. J'arriva a l'heure prévus, armée d'une ombrelle pour me cacher du soleil et assise sur un banc à l'ombre. Ils arrivèrent avec le sourire, normale ils allaient enfin avoir de mes nouvelles ! Les retrouvailles fût joyeux pendant quelques minutes puis lorsque je leurs raconta ce qu'il m'était arriver la joie descendis vers le néant. Ensuite il y a eu ses mots qui vous arrache le coeur, bien pire que toute les souffrance enduré pendant la transformation. « Qu'es-tu devenus ? Ce n'est pas ma fille qui se tiens devant moi, ce n'est pas ma Blanca ... Ce n'est qu'un monstre ! Un monstre sanguinaire ! » « Non ! Papa je n'ai pas changé ... C'est toujours moi ! » « Elena, on s'en va .. » « PAPA ! » « Je ne suis pas ton père, étrangère ! » . Ces paroles, ce dialogue fait toujours aussi mal. Je ne l'ai jamais revus, je me doute bien qu'ils sont morts et y a de sa un bon bout de temps désormais. Rien de penser à tout cela, a cette époque de ma vie me donne les larmes aux yeux. Puis il y a la colère, j'en voudrais toute ma vie à George de m'avoir transformé. Ce n'est pas un cadeau, être éternelle est un vrai cauchemar. Voir ses amies, sa famille et tout être chère mourir, ce n'est pas un cadeau, c'est un cauchemar. Pendant bien longtemps, a mes débuts, j'ai pensé à mourir, mourir vraiment. Alors (en pensant que cela fonction) j'ai arrêté de m'alimenté, mais malheureusement sa ne faisait rien. Si on me donnait l’occasion de mourir une bonne fois pour toute, je ne la refuserais pas. Après ses émois je devais a tout prix me changer les idées et le meilleur moyen est d'allé courir en forêt. La vitesse, depuis que j'ai cette atout j'adore sa. Il faut toujours que j'aille plus vite. Il faut dépasser les limites. Je crois que sa s’appelle l'adrénaline, mais je ne suis pas sur que cela fonctionne sur nous autres vampire. J'aurais aimé vivre a cette époque de "nouvelle technologie", c'est tellement différent de mon époque et puis les jeunes ! Les jeunes eu aussi ont bien changé et heureusement ! Ont été complètement fou a mon époque a côté. Bref, lorsque j'arrive près du lac (endroit très sympathique pour mes petites promenades quotidienne) tout est calme, la nuit commence a tombé peu à peu. Le crépuscule, mon moment préféré de la journée. Tout ces couleurs dans le ciel, cette atmosphère calme et paisible de fin de journée. Je marche alors doucement autour du lac, en regardant le ciel, et je rêvasse comme a mon habitude. Je suis quelqu'un qui rêvasse presque toute la journée, qualité ou défaut ? C'est a vous de voir ... Au bout de quelques minutes a peine, je suis détendu et sereine. Enfin jusqu'à que quelqu'un vienne tout gâché. Je crois que je commence a avoir la poisse, maintenant dès que je me balade en forêt ou ailleurs il y a toujours quelqu'un qui viens me mettre de mauvaise humeur. Cette odeur est familière, ce n'est pas un humain, non a cette heure ci ils sont tous en train de manger devant la télé. Je me suis arrêté et resté statique pour entendre la personne et mieux la sentir. « Pâris .. ne te cache pas, je sais que tu es là » J'avais ce sourire nié accroché à mes lèvres. Cette présence n'était nul autre que celle de Pâris, un vampire "cannibale" malgré lui. Je ne peux pas vraiment dire que je l'aime, on ne se connait pas plus que cela ...
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