♣️ Une Volturi se serait éprise d'un hybride lycano-vampire... info ou intox ? ♣️
♣️ Le corps de Fenris aurait été retrouvé sur une plage de Miami... info ou intox ? ♣️
♣️ Il parait que le chef de Dankirk est responsable d'abus sexuels sur ses Dankirkettes... info ou intox ? ♣️
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 Le coeur à ses raisons ... [Jude/Théo]

Twilight RPG :: Remember that day... :: Fin de Partie
Jude Rose
Jude Rose

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Le coeur à ses raisons ... [Jude/Théo] EmptyMar 28 Juin - 19:47

>> Musique ICI <<

Ce matin là, je me réveillais dans le plus paisible silence. C’était la première fois depuis une éternité que j’étais aussi sereine au réveil et Maël m’avait que très peu réveillé pour ces tétés norcturnes. La veille, j’avais convenue avec Maria, la nouvelle gouvernante de la maison, que j’irais me balader dans la forêt la nuit qui allait venir et elle avait tout de suite proposé de me garder Maël pour me permettre de chasser plus longtemps. Ainsi j’avais voulu me lever tôt, en ce jour pluvieux, pour pouvoir consacrer le plus de temps possible à ce fils que je ne voulais que couver.

Toute la journée passa à la vitesse de la lumière. Les moments passés avec mon fils me semblaient avoir durés qu’une fraction de seconde et cela était assez troublants. Mais je ne le regrettais pas. Il était à peine seize heures et demie quand je montais dans ma chambre que j’avais refaite décorée. Cette pièce était ma pièce favorite de toute la maison grâce à l’atmosphère qui y reignait. Les murs étaient peints et drapés de velours dans les tons chocolat, crème et or. D’énormes rideaux en un lourds velours italien couleur chocolat et brodés de dessins dorés ornementaient l’immense fenêtre donnant sur un tout petit balcon sur lequel je n’allais jamais. Le sol avait été lui aussi refait et était à présent recouvert d’un lourd parquet de bois cirés en chêne rouge. Au centre de la pièce trônait un énorme lit à baldaquin drappé de tentures crèmes brodés de roses chocolat, les draps qui couvraient le matelas étaient fait dans une soie magnifique de couleur dorée et le couvre lit était lui aussi cacao. Sur le mur qui faisait face à la tête de lit, une belle coiffeuse stylisée comme au temps de louis XIV se tenait là, droite et belle, et laissait entrevoir tous mes bijoux précieux qui sortaient de leur boite. Je passais sur la droite de mon lit et ouvrit un porte à double battant et pénétrais dans un gigantesque dressing dont les étagères et les penderies étaient renplies à craquer. Au fond, une autre porte à double battant permettait d’atteindre la salle de bain. Je traversais la grande pièce secrete et entrais dans la salle d’eau où je me dévêtis avec prudence. Je n’avais plus les courbes d’une femme enceinte, je n’avais plus le ventre rond de femme enceinte, j’avais retrouvé les courbes fines d’avant ma grossesse et j’en étais heureuse. Je fis glissé mon bas jusqu’au sol et entrais dans la douche. L’eau coula sur mon corps un long moment et lorsqu’il n’y en eut plus, je sortis de la douche et m’enroulais dans une serviette pourpre. Je m’approchais de la glace qui était accroché au dessus d’un lavabo et commençais à coiffer mes longs cheveux roses. Une fois la tache réalisée, je me dirigeais dans le dessing et y attrapais un maillot de bain deux pièces zébre, un débardeur blanc un peu transparent et un short aux bords déchiquetés. J’enfilais le tout et ne pris pas la peine de mettre des chaussures et retournais dans ma chambre où je récupérais une petite bourse je savais que j’allais pouvoir mettre tous mes vêtements. Je sortis de ma chambre et longeais le couloir qui donnait sur toutes les chambres de mes loups et descendais le grand escalier de chêne. Maria était assise dans un canapé avec Maël dans les bras et je m’approchais à pas de loups pour venir embrasser le front de mon fils alors qu’il dormait paisiblement.


- Bonne soirée mademoiselle Rose
- Merci Maria, dors bien chéri, bientôt tu pourras venir avec moi, bientôt …


Maria me sourit avec une douceur telle que je ne pus que lui en vouloir et cela éveilla mes envies de crimes et ma soif. Si je détestais les humains c’était bien à cause de leur bienvieillance et de leur douceur. C’était très dur pour moi d’être douce avec n’importe qui et le seul avec qui j’exellais c’était bien mon fils mais les autres n’avaient droit qu’à ma douleur et ma méchanceté comme si je leurs faisait payé. Pendant c’est huit mois j’avais peut être gagné mon fils et toutes les merveilleuses choses qui allaient avec mais j’avais perdu Théodore, l’homme pour qui mon cœur battait, Paul , le père de mon fils qui avait pris la descision de partir un peu pour mettre au point ses sentiments et ses envies et Morgan qui ne m’aimerait jamais. Je finis par secouer la tête pour faire fuir ses idées douloureuses et je me sortis de la maison.

Mes pattes foullaient la terre humide de la forêt à intervalles réguliers tandis que je trottais à travers une végétation des plus denses. Les feuillages des buissons laissaient des trainées d’eau sur mon pelage ébène, il n’avait pas changé malgré mon changement de couleur de cheveux, et les ronces s’aggrippaient à moi pour m’empêcher le passage mais cela ne m’arrêtait pas, ni ne me relentissait. J’avais trouvé une piste, plutîot fraiche d’un humain se prommenant dans la vaste étendue d’arbre bordant la Push et les territoires avoisinants. Je biffurquais sur un chemin de terre et continuais de trotter avec plaisir. Je finis par m’arrêter pour prendre une bouffer d’air. Les odeurs et les effluves animales se mélangeaient pour ne former qu’un elixir olfactif. J’aimais ces odeurs de cervidés mouillés, de terre humide, d’écorce et de mousse, ces odeurs de fougères et de fleurs qui ne poussaient que dans la forêt. J’aimais cette sensation annimale et ennivrante, j’aimais être sous ma forme de louve plus que tout mais Maël réduisait mes envies de façon significative. En reprenant une bouffée d’air je repérais à nouveau l’odeur de l’homme, un mélange de miel, de musc et de poivre, je me mis très vite à trotté continuant d’humé le fumet alléchant. Cela dura sur une centaine de mettre puis une nouvelle odeur vint chatouiller mon odorat surdéveloppé, une odeur acre, animale … une odeur que je connaissais pour l’avoir repérée des mois plus tôt. Mais ma mémoire n’étant pas très fiable ces temps-ci, je me jetais sur cette piste abandonnant celle de l’humain que je voulais dévorer tout cru. Je rebroussais chemin puis pris un sentier à l’opposé de celui que j’avais pris auparavant et suivait les signaux olfactifs qui flottaient dans l’air. Cette effluve me tirraillait, je voulais être sûre de pas me tromper, je voulais savoir s’il s’agissait bien de lui… Je me mis à courrir comme une dingue suivant toujours l’odeur qui ne faisait que s’emplifier, signe que j’approchais du but. Je courrais encore et encore. Je traversais des fourrés, des buissons, sautais un ruisseau, évitais des troncs d’arbres encore debourt ou couché, évitais les racines qui voulaient ma peau puis je déboulais comme une furie dans un petite perçée au milieu des arbres. C’était un grand cercle de taille moyenne où on ne voyait pas le ciel à travers la ramure des arbres qui l’entouraient. Je m’avançais doucement au centre tout en respirant l’air où l’odeur y était entêtante. Je tournais en rond en observant les alentours sentant sa présence… Il ne devait pas être loin. J’étais sur la defensive, prête à attaquer quiconque s’approcherait de trop prés … J’observais encore et encore puis je hurlais à la lune comme pour lui dire que j’étais là,que j’attendais, comme si je le provoquais … allait-il venir ? Je n’en savais rien mais je préférais essayer … et attendre de voir.
Théodore A. Kankowsky
Théodore A. Kankowsky

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Le coeur à ses raisons ... [Jude/Théo] EmptyMar 28 Juin - 20:37

La maison de Nikkita était délicieuse. Un mélange subtile de fantaisie et de romantisme, résultat d'une personne toute sauf ordinaire. Elle m'avait ouvert sa porte alors que j'étais le frère de son ennemi. Quelle douce énigme jamais résolue. Malheureusement pour le clan Solaris, elle était morte lors d'une altercation de la main de Fenris. J'étais donc devenu contre mon gré Alpha, rôle qui ne m'allait pas du tout. Particulièrement en ce moment, où j'étais rongé jusqu'à l'âme de souffrance, mais la meute avait besoin de moi donc je me montrais brave. Ce n'était pas un rang qu'on repousse en secouant la tête et si c'était le vœux de Nikkita, je ne pouvais que courber l'échine sous mes nouvelles responsabilités. Mes journées qui étaient déjà si longue, n'en était que rallonger. L'absence de Jude en était le plus grand facteur et je passais mes journées à penser à elle, à Morgan.. A la guerre. Nous étions devenus ennemi alors qu'ils étaient les membres les plus importants de mon cœur. Que faire ? Devenir Parjure ? Et mourir sous la main d'Hunter de plus en plus nombreux ou sous celle des Vampire ? Un long grognement roula dans ma gorge contre ma volonté. Sortant enfin de mon lit, je regardais par la fenêtre. Sortir maintenant ou de nuit en même temps que les autres clans étaient stupides, mais ma soif de sang et de chaire torturait mon estomac. Hors de question de repousser une fois de plus une partie de chasse qui délivrerais mon esprit quelques heures. J'attendrais la nuit pour partir, ainsi je serais surement plus discret qu'à la lumière du jour.

La journée passa tellement lentement que je crue abandonner mes résolutions. Pourtant, je tiens bon et à l'heure où le soleil se couchait sur la mer, je sortis. J'avais rapidement prévenu un des membres pour qu'ils se s'inquiètent pas inutilement. La nuit m'apporterait une véritable jouissance lorsque mes lourdes pattes lupins baigneraient dans le sang humain et que mes dents arracheraient la chaire gorgée du même liquide vermeille. Je soufflais un bon gout avant de partir au pas de course et de me transformer. A peine quelques instants plus tard j'étais un véritable monstre de plus de trois mètres, la bouche grande ouverte sur d'immenses crocs. De mes puissantes pattes arrières je me remis à courir jusqu'à ce que je sente l'odeur d'un homme d'une trentaine d'année. Son odeur poivrée flottait dans l'air avec force, il était surement passé par là peu de temps avant mon arrivée. Accélérant le pas, je m'approchais de ma proie. Mon esprit de traqueur balayait le reste, j'allais presque l'attraper quand brutalement une nouvelle flagrance m'assaillit. Un prénom s'imprima dans mon esprit et mon corps ne pu que réagir violemment en me renvoyant, nu, sous ma forme humaine. Jude. Elle était là, proche.

« Merde ! »

J'espérais deux choses totalement contradictoires, qu'elle continue de traquer ma proie et qu'elle vienne me rejoindre. Je voulais qu'elle s'approche, que je puisse la toucher mais.. Nos retrouvailles m'inspiraient de la crainte. Peut être, que cet enfant me remplaçait très facilement et qu'elle m'avait oublié ? Mille scénarios plus douloureux les uns que les autres se montèrent dans ma tête. Cependant, elle continuait d'arriver vers moi à pleine vitesse et si elle m'attaquait ? En serait elle capable ? Je rassemblais mes esprits pour me transformer mais rien à faire. Mon corps ne voulait plus réagir, il avait besoin d'elle. Jude s'était arrêtée dans la clairière, elle savait que j'étais là, elle m'appelait. Que faire ? M'approcher où rester là ? Mes jambes n'en firent qu'à leur tête et me firent rentré dans champs de vision.

« Salut »

{Je suis désolé, je commence mal, c'est super nul --"}
Jude Rose
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Le coeur à ses raisons ... [Jude/Théo] EmptyMer 29 Juin - 10:58

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Rien ne se passe jamais comme dans les films, personne ne vit heureux at vitam eternam, personne et moi la première. J’étais là à attendre, je ne savais quoi puisque lui et moi avions perdus tout contact … Je m’étais résolu à l’avoir perdu définitivement pourtant j’étais là … assise au beau milieu de cette clairière qui n’aurait jamais due exitée. Tout autour de moi était calme, les animaux vaquaient à leurs occupations, trop habitués à la présence des nôtres pour s’en effrayer … Les craquements des arbres, le bruissement des feuilles et les gouttes de pluies qui frappaient le dru feuillage, parce qu’elles n’arrivaient pas à le traverser pour venir me couvrir de leur froideur, étaient une symphonie si douce, si calme, si belle qu’elle calma un peu les battements de collibri de mon cœur qui s’affolait dans ma cage thoracique. Je n’hurlais plus, j’attendais là, quasi inerte … si je tremblais ? Oh oui je tremblais de revoir l’homme qui hantait mes rêves la nuit. J’avais peur… J’humais l’air afin de retrouver le fumet de l’humain mais rien à faire … il s’était évaporé tandis que celui de Théodore, mon théodore, se faisait encore plus tenace. Ne voyant personne arriver, je me relevais doucement et marchais vers la lisière des arbres, la queue basse et les oreilles un peu tombante, déçue … Mon esprit m’avait certainement joué des tours jusqu’au moment où un craquement plus distinct, plus proche se fit entendre et mes oreilles se quillèrent d’un trait alors que je me retournais d’un bond prête à attaqué l’intru dans le cas où se serait l’un de mes ennemis mais … c’était lui … là, devant moi, totalement nu. Je plantais mes yeux gris dans les siens en campant sur mes pattes tout en abaissant un peu ma garde. Je le voyais qui avançait vers moi à pas mesuré en me saluant et pour seule réponse … je pris la fuite. Je sautais dans les fourrés et partais en courrant le plus vite possible, m’arrêtant de temps à autre pour vérifier qu’il ne me suivait pas … je courrus aussi vite que je pus. Pourquoi le fuyais-je au juste ? Parceque je savais … je savais que c’était fini, qu’il n’y avait plus aucun espoir … il était l’ennemi… mais je ne pouvais me résoudre à le tuer. Je finis par arrêté ma course tant les tremblements de tristesse qui me secouaient étaient violents. Je n’eus d’autre choix que d’opérer une transmutation inverse. Je repris ma forme humaine en quelques minutes et enfilais les vêtements que j’avais mis dans ma bourse plutôt. Je ne pus empêcher les larmes de couler le long de mes joues d’albâtre et je tombais à genoux en état de choc. Je ne m’étais pas trompée, c’était bien lui, là bas, qui certainement ne devait plus savoir quoi faire. Je restais là, protrée à même le sol. Je ne savais pas si je devais y retourner ou non mais mes jambes ne voulurent pas attendre la fin de mes tergiversations et je me relevais. Je repris le chemin que j’avais emprunté dans ma course en écartant les branchages qui m’empêchaient de passer. Je faisais attention à ne pas me prendre les pieds dans les racines qui jonchaient le sol pareilles à des pièges tendus pour vous agripper. J’avais la respiration courte, le cœur battant, les larmes aux yeux … Pourquoi réagissais-je de cette façon ? Il n’était pas mort, au contraire, il était là, il m’attendait. Je continuais ma marche jusqu’à ce que j’arrive au bord de la clairière … Je m’adossais au tronc d’un énorme chêne dont l’écorce était humide et dont la ramure s’étendait dans le ciel pour former, avec les autres arbres, un toit végétal. Je regardais Théodore trônant nu au milieu de la perçée. J’observais ses muscles parfaitement dessiné, ses longues jambes légèrelent maculée de boue, je m’attardais sur ses abdominaux scultural puis j’observais son visage, n’ayant que faire de ses parties misent à nue devant mes yeux. J’imprimmais ses traits fins dans ma mémoir tout en respirant fort pour me convaincre que je pouvais aller le voir sans crainte pourtant cela m’était difficile. Le clapoti de l’eau sur l’étendue verdâtre qu’était ce toit de feuillage était le seul bruit qui maintenant s’entendait. Les animaux semblaient avoir arrêté de s’adonner à leurs occupations pour nous laisser se moment d’intimité … Je baissais le regard et pénétrais dans la trouée à nouveau, mais je restais un peu dans l’ombre des arbres. J’étais certaine qu’il me regardait comme si j’étais un fantôme de son passé… J’inspirais une bouffée d’air et m’avançais un peu plus dans la clairière. Mes longs cheveux roses tombaient en cascade sur mes épaules dénudées et dégoullinaient d’eau à cause des buissons et des arbres qui avaient laissé des trainées de perles d’eau sur ma fourrure … Je semblais craintive de m’approcher de trop prés et je décidais finalement de répondre à son salut :

« Salut … »

Je le regardais et gardais une distance dite de sécurité au cas où il se tranformerait à nouveau en sa forme lupine. Je savais que la lune était entrée dans son cycle de lune pleine et je savais aussi, par mon expérience, que c’était le moment que les lycans aimaient le plus pour se tranformer et faire des ravages dans la population humaine. Je le regardais encore et encore, et plus je le regardais, plus mon cœur se serrait dans ma poitrine comme s’il me criait qu’il l’aimait mais qu’il mourrait à petit feu sous cet amour irréel. Je m’approchais un peu plus toujours sur mes gardes tout en l’observant.

« Que fais-tu ici ? »

Mon regard trahissait la tristesse de mon cœur et de mon esprit. Il trahissait les sentiments que se réveillaient dans ma poitrine et de façon si douloureuse que j’essayais de bayonner mon cœur pour me laisser un peu de répis. Je tremblais mais je me contenais pour ne pas qu’il voille à quel point sa présence m’atteignait et me faisait mal. Après tout, pour moi le fait qu’il fasse partie de clan Solaris avait signé la fin de tout et surtout la fin de mon amour pour lui puisque je n’avais pas le droit de trahir mon clan, ni même mes alliés. Mais mon cœur refusait l’évidence puisqu’il continuait de le chérir depuis la première fois que nous nous étions rencontré. Il le réclamait dans mon someil et dans tous les autres moments de liberté que je me procurais. Même quand je m’occupais de mon fils, mon cœur réclamait la présence de Théodore à mes côté au détriement de Paul qui était le père de mon fils. Mon fils allait-il être un obstacle à ma relation dans le cas où elle reprendrait ? Comment allais-je faire … puisqu’il était hors de question que j’abandonne le seul être que j’aimerais toute ma vie, mon fils , et que mon conscient , mon inconscient, mon cœur et tout mon être réclamé Théodore depuis plus de huit mois déjà … Je divaguais. Je secouais la tête et plantais mon regard gris bleuté dans celui de Théodore qui se tenait là, devant moi, tout en attendant une réponse à ma question.

Théodore A. Kankowsky
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Le coeur à ses raisons ... [Jude/Théo] EmptyMer 29 Juin - 15:57

Jude s'enfuyait au même moment ou je prononçais mon salut. J'avais raison, elle ne voulait plus me revoir. Morgan avait comblé le vide en un clin d'œil, ou alors c'était le gamin qui s'en était occupé. Ou bien, il n'y avait jamais eu de vide et elle se moquait de moi depuis le début. Cette pensée me tordit le cœur, alors qu'au même instant mon corps libérait enfin ma douleur en tremblant. Une larme acide coula le long de ma joue, puis se perdit dans l'humus. Non, Jude m'avait aimé, c'était sûr ou alors, j'étais vraiment qu'un crétin. Un soupire de désespoir troubla le silence de la clairière. Le temps s'était arrêté, pour nous laisser une chance, une dernière chance de raccrocher le présent et le futur, d'oublier le passé. De prouver au monde que notre amour l'emmerdait. Je commençais à m'élancer à sa poursuite, mais à quoi bon ? Si elle était partie c'était qu'elle ne voulait plus me voir ou alors elle allait chercher du renfort pour me détruire. Peu importe, si elle ne voulait plus de moi, la vie n'était qu'un monde désert sans but.. La vie, ma vie serait minable sans elle. Je préférais encore mourir de ses mains, elle serait ainsi la dernière chose que je verrais.

Une goutte de pluie remplaça la larme qui s'était enfuit aussi lâchement que moi. J'étais parti sans même être sûr que l'enfant était de Morgan, mais de qui pouvait-il être d'autre ? Le clapotis de l'eau sur le feuillage était un son paisible. Dans d'autre circonstance, je me serais couché dans l'herbe pour me faire bercer doucement, mais pas là. La situation était bien trop déchirante, je fis deux pas dans la direction qu'elle avait prise, décider de la suivre, de lui parler, de lui expliquer, de l'aimer.. Cependant, je n'en n'eu pas besoin, car elle revenait je l'entendais. Revenait-elle pour me tuer ? Je reculais, légèrement cacher dans l'ombre des arbres. Ma nudité était le cadet de mes soucis, mais lorsque son regard se posa sur moi, je ne pue m'empêcher de frissonner. Comme elle ne semblait pas se gêner de me regarder j'en fis autant. Une certaine satisfaction naquit au creux de mon estomac, j'avais craint que la grossesse laisse des marques sur son sublime corps mais rien de cela. Elle était aussi belle que la dernière que je l'avais croisé, seule sa chevelure était devenue rose ce qui ne me fit aucun effet. Au bout de ce qui me parue une éternité, elle osa légèrement s'approcher. Pourtant, une crainte dansait dans ses yeux, confirmer par le périmètre de sécurité qu'elle laissait entre nous. Je ne m'attendais surement pas à ce qu'elle se jette à mon cou, moi, son ennemi, sauf ben sûr pour m'étrangler, mais quand même. Sa voix légèrement enrouée retentit dans la clairière. Mes yeux me brûlèrent, tandis que j'essayais de garder mon calme pour ne pas explosé, du moins en apparence. Mon visage devait rester indifférent tant qu'elle ne m'expliquera pas sa grossesse.

« Je chassais mais.. je t'ai senti approcher. Et toi ? »

J'avais l'impression d'être un étranger avec l'amour de ma vie. Que notre complicité avait été balayer tel un brindille face à Morgan. Tel un tsunami, il avait détruit notre relation et moi je n'avais pas montré de signe de résistance je l'avais laissé faire. Enfin, j'eue le courage de croiser le regard de Jude. J'aurais mieux fait de continuer à le fuir, car ce que je voyais me piétina le cœur. J'étais sur le point de craquer, sur le point d'aller la serrer contre moi et de lui demander pardon mais l'image vive de Nikkita, de la meute.. De ma meute maintenant me revint. Je devais tenir bon et exaucé son souhait. Je ne devais pas faiblir face à mes sentiments, si forts soient-ils. Pourtant, seul Dieu savait à quel point ils étaient forts. Même moi, je n'en voyais pas l'étendue.


Jude Rose
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Le coeur à ses raisons ... [Jude/Théo] EmptyMar 19 Juil - 14:14

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« Je chassais mais … Je t’ai sentie approcher. Et toi ?

Sur le coup, je ne répondis pas, trop choquée par son timbre de voix et de la neutralité qui suintait de tous les pores de sa peau, peau contre laquelle je rêvais de me blottir mais qui tout à coup m’empêcher d’avoir ce type de souhait. La pluie retentissait tout autour de nous et je me laissais bercer quelques secondes par ce son, à la fois reposant et douloureux car il ne faisait que rendre plus triste la scène qui se déroulait devant nous, sous nos yeux éteints. Mon cœur lui continuait de se déchirer sous mes côtes et sous mon plexus solaire et un sentiment d’étouffement commença à envahir mon corps tout entier comme pour me dire de stopper là toute tentative de mise fin au processus qui s’était mis en route à l’instant même où j’avais posé les yeux sur le corps magnifique de l’être que j’aimais le plus après mon fils : Théodore. Même Morgan, à côté, ne me faisait pas ressentir pareille douleur et pareil fouillis fouilla de sensations et de sentiments en un instant donné. Sans m’en rendre compte j’avais baissé les yeux sur mes mains tremblantes que j’observais comme si je ne les reconnaissais pas. En fait, j’avais l’impression d’être un monstre. Après tout, je l’avais trahi en tombant enceinte, en éprouvant ce que j’éprouvais pour Morgan. Je l’avais trahi avant même de l’avoir rencontré. Au fond, ce n’était pas lui le coupable de tout ce drame, ce n’était pas Morgan non plus … le seul et l’unique coupable, c’était moi, moi et ma fichue personnalité, ma fichue complexité, moi et mes fichus sentiments … J’étais un véritable monstre, une créature sans nom pour qui il n’aurait jamais dû rien éprouver et en même temps je voulais la même chose que lui, je voulais aimer, l’aimer lui. J’avais tellement souffert tout au long de ma vie que maintenant je faisais souffrir à mon tour tous les gens que j’aimais… et cela m’effrayait de plus en plus. Je relevais finalement les yeux que je posais sur Théodore. En leurs seins, on pouvait y voir toute la souffrance que je ressentais, toute la douleur que j’éprouvais, tout l’amour, toute la rancœur, tout le dégout que j’éprouvais pour mon être et ma stupidité. Je voulais abdiquer, je voulais qu’il soit heureux enfin, je voulais qu’il oublie le mal que je lui faisais et en même temps je le voulais, je voulais que nos sentiments se renforcent pour ne faire qu’un. A force de penser et de me tourmenter, mes larmes se déclenchèrent et roulèrent sur mes joues diaphanes comme si je me repentais aux pieds de dieu lui-même. Mais au même moment je me rendis compte qu’il n’attendait qu’une seule et unique chose … une réponse … alors je pris mon courage à deux main et répondis en hoquetant :

- Je …. Je chassais moi aussi … j’ai flairé ton odeur … et … et je me suis dit … je me suis dit que c’était impo… impossible que ce soit toi … t… tu avais disparu … je croyais avoir rêvé ton odeur en… encore.

Mes larmes continuaient de rouler sur mes joues jusqu’à venir se perdre sur mon buste ou au coin de mes lèvres. Je ne savais plus quoi faire. Je voulais me jeter corps et âmes dans ses bras mais je sentais qu’il y avait autre chose. Qu’il y avait quelque chose de beaucoup plus profond, de beaucoup plus douloureux qui l’empêcher lui aussi de venir près de moi, de me prendre contre lui, d’être heureux de me revoir. Je le voyais bien… et cela me fit reculer un peu alors que s’en m’en rendre compte je m’étais approcher de plus près que ce que j’avais décidé avant. Je reculais encore et encore jusqu’à ce que je lui tourne à nouveau le dos pour rejoindre la lisière de la forêt qui m’offrait une échappatoire solide mais je m'arrêtais, droite comme un i car je venais de comprendre. Je savais ce qui le retenais … mon enfant … c’était moi qui le retenait, moi la mère … et je comprenais pourquoi il avait disparu. Pourquoi avais-je été si stupide ? Pourquoi n’avais-je rien compris avant ? Pourquoi avais-je été si aveugle ? J’inspirais doucement tandis que mes épaules s’affaissèrent sous le poids de la révélation que je venais d’avoir. Après tout c’était évident … il m’avait connu enceinte, il savait que Morgan était mon imprégnation et je savais qu’il était blessé … et que sa blessure le ronger… alors je comprenais enfin. Les larmes redoublèrent et je ne pus respirer une nouvelle fois car mes poumons se bloquèrent. Je suffoquais. Mon estomac se tordit et je ne voulus qu’une chose … vomir toute la peine que j’avais. Je pris une grande inspiration et , toujours de dos, je me lançais :

- Il n’est pas de celui que tu crois … Maël n’est pas le fils de Morgan … C’est mon … mon fils à moi. Son père est … est … son père …

Je me retournais vers l’homme que j’aimais le plus et mon regard s’insinua dans le sien et ce que j’y vis me bâillonna durant quelques secondes et tout en fermant les yeux pour ne pas voir sa réaction je lançais :

- Son père est mon bêta … Paul Hayden. Je suis désolée … pardonne le mal que je t’ai fait … pardonne toute l’horreur que je t’ai fait endurer. Je n’interférerais plus dans ta vie, même si mon amour t’es voué, je refuse de te faire plus de mal que … qu … que je ne t’ai déjà fait. Je… je ne voulais pas … à dieu.

Sur ses mots je me tus, reculais une dernière fois, je me retournais et prenais la fuite comme j’avais l’habitude de le faire. Mais la décision que je venais de prendre brisa mon lambeau de cœur en mille et un éclats. Cependant, j’étais convaincue, convaincue que c’était le mieux à faire, convaincue qu’il remonterait la pente, qu’il m’oublierait et qu’il aimerait une autre que moi mais le seul fait de penser que cela pouvait en effet arriver me transperça si profondément que j’avais l’impression que l’on me tuait à coup de dague. J’avançais droit vers la forêt pareille à un fantôme. Après tout, j’avais l’habitude de me sacrifier, j’avais l’habitude de prendre la mauvaise décision, l’habitude de souffrir pour que ceux que j’aime ne souffre plus par ma faute même si parfois ça ne marchait pas… Je n’étais pas égoïste. Bien vite je m’enfonçais entre les broussailles d’un pas lent et mal assuré. J’errais. Où était donc passé ma vitalité ? Où était donc passé toute ma joie de vivre ? Où était donc partie mon âme ? Tout était là-bas, aux pieds de celui que par amour je venais d’abandonner … Arrivant près d’un énorme chêne, je me laissais choir entre les racines noueuses et me laissais aller dans les larmes et la tristesse. C’en était fini de moi, c’en était fini de mon clan… tous étaient partis … tous … seul Paul était resté mais je le perdais lui aussi … je ne pouvais plus rien faire… j’était finie.

Théodore A. Kankowsky
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Le coeur à ses raisons ... [Jude/Théo] EmptyMar 19 Juil - 16:12

Je .... Je chassais moi aussi ... j'ai flairé ton odeur ... et ... et je me suis dit ... je me suis dit que c'était impo... impossible que ce soit toi ... t... tu avais disparu ... je croyais avoir rêvé ton odeur en... encore.

    La douleur qu'engendra ses mots et son ton en moi me laissa totalement muet, mon corps n'était plus qu'une poupée de chiffon qu'on aurait pu torturer sans que je sente quoi que ce sois. J'avais atteint le sommet que pouvait produire la souffrance. J'étais ailleurs, entre la vie et la mort, flottant doucement parmi les arbres, écoutant la pluie comme fasciner par ce silence si lourd. La symphonie si calme rendait l'atmosphère encore plus triste que ce quelle n'était. Seuls les pleurs de Jude troublaient ce silence, mon coeur complètement briser suppliait à mon corps de réagir, de la prendre contre lui, de la consoler, de la rassurer. Lui dire que tout allait s'arranger même si j'en doutais. Cependant, rien. Il ne bougeait pas, figer dans sa neutralité, le regard complètement vide regardant Jude sans émotions aucunes. Je me voyais avec des yeux neufs, mon corps était cruel, ma voix était cruelle.. Tout en moi voulait lui faire croire que j'étais parti sans un regret, que mon choix ne créait aucun mal en moi alors que mon esprit se pliait sous la souffrance, qu'il hurlait son désespoir dans mon être et qu'il se mutilait lui-même sous la culpabilité. Je regrettais tellement d'être parti sans prévenir qui que ce sois, mais cela avait été au-dessus de mes forces. J'avais l'impression d'avoir été trahis, que Morgan m'avait planté un poignard dans le dos et que c'était une demande qu'elle lui avait fait. Qu'elle en avait fini avec moi et qu'elle s'était rendu compte que mon frère était beaucoup mieux. Jude était mon idéale et je ne pouvais m'empêcher de ne pas me trouver assez bien pour sa divine personne. Morgan m'avait tout pris, tout. Il excellait dans tous, me trainant derrière lui comme un boulet. J'aimais mon frère mais, je me sentais tellement minable à coter de lui.

    Il y avait tant de choses que j'aurais voulu leur dire, leur expliquer, à lui comme à elle. Je les aimais tellement tous les deux que je n'arrivais pas vraiment en leur en vouloir, même si j'avais envie de me venger de Morgan, seulement de Morgan. Attaquer Morgan en face à face m'aurait été impossible et puis de toute manière, lui m'aurait tué aussi facilement qu'il aurait cassé une brindille. C'est pour ça que lâchement, je m'en suis pri à lui grâce à Emma. J'avais toujours été proche d'elle, mais juste en amis. Elle faisait une amante désirable et on pouvait se parler librement des reproches qu'on faisait à Morgan. Notre amitié était solide et malgré le fait qu'on risquait tous les deux la mort, on était satisfait de notre vengeance.

    Elle partait, elle s'éloignait comme si j'étais dangereux. J'avais envie de vomir tellement j'étais mal, pourtant mon corps ne réagissait pas encore. Mon enveloppe charnel était vide, j'étais vide. Une simple copie de l'ancien Théodore, le Théodore qui était près de Jude, qui n'avait pas été blessé par le destin si sauvage et barbare. J'avais l'impression d'être un étranger pour elle, que je n'avais été qu'une amourette passagère que toute la passion que j'avais ressentie quand nous étions ensemble n'était que le fruit de mon imagination. Mon corps aurait dû réagir, lui montrer qui cette distance le dérangeait qu'il voulait un contacte corporelle malgré ce qui s'était passé, lui montrer que je l'aimais toujours. Jude me tournait le dos, comme si le "nous" d'avant ne l'intéressait plus, qu'elle connaissait bien mieux avec Morgan et son fils.


Il n'est pas de celui que tu crois ... Maël n'est pas le fils de Morgan ... C'est mon ... mon fils à moi. Son père est ... est ... son père ...

    Je reçue un véritable électrochoc et mon esprit qui vagabondait dans les airs réintégra mon corps en un claquement de doigts. Mon regard vide se remplit d'incompréhension et de douleur tandis que mes yeux s'ancraient dans ceux de Jude. Je revivais, comme si on venait de souffler une lueur d'espoir en moi. Morgan n'avait rien fait et injustement je lui avais fait du mal. J'avais quitté Eclipse pour rien, je m'étais éloigné de mon frère et de la femme de ma vie pour.. rien. Mais de qui était l'enfant dans ce cas ? De moi ? D'un amant de Jude ? La douleur s'était apaisée, comme si elle se reposait. C'était une sensation étrange, elle faisait comme parti de moi maintenant, je m'y étais habitué.



Son père est mon bêta ... Paul Hayden. Je suis désolée ... pardonne le mal que je t'ai fait ... pardonne toute l'horreur que je t'ai fait endurer. Je n'interférerais plus dans ta vie, même si mon amour t'es voué, je refuse de te faire plus de mal que ... qu ... que je ne t'ai déjà fait. Je... je ne voulais pas ...

    Paul ? Paul ? C'est enflure avec toucher à Jude ? A ma Jude ? Un grognement sorti tout seul de ma bouche, un grondement sourd. Le peu d'animaux qui avaient osé s'approcher pendant la période de silence se hâtèrent de repartir. Elle était à moi et ce, tous les membres d'Eclipse et des Seigneurs de la Nuit le savaient. Paul... Une haine coulait en moi, brulant sur son passage le reste de douleur qui sommeillait en moi. Cependant, une question continuait à tourmenter, pourquoi Jude avait-elle... coucher avec Paul ? Pourquoi ?


Adieu

    Comment ça "Adieu " ? Elle ne pouvait pas partir maintenant, pas quand elle éclairait la situation ! Pas quand j'allais lui présenter mes excuse, lui expliquer, lui demander de me pardonner ! Elle ne pouvait pas partir et me laisser seul encore une fois. Mon corps semblait être d'accord avec moi, puisque j'arrivais à courir le vite possible après Jude, m'écorchant la joue à cause d'une branche basse et manquant tomber à cause d'un tronc d'arbre coucher. Maintenant que je savais ce que c'était de vivre sans elle, je ne pouvais pas me permettre de recommencer mes erreurs. Je voulais redevenir le Théodore d'avant, je voulais la rendre heureuse comme elle le méritait. Jude continuait à courir mais, je la sentais proche, j'allais bientôt la rattraper lorsqu'un immense chêne aux racines noueuses et pleines de mousse me stoppa la route. Elle était là, allonger, pleurant. Je m'approchais et la prennais dans mes bras avec le plus de douceur et de tendresse dont j'étais capable.


Jude.. Pourquoi ne sommes-nous pas capable de rester ensemble pour affronter les embûches que le destin pose sur notre vie ? Pourquoi suis-je obliger de mettre toutes mes fautes sur le dos de Morgan ? Jude... Je t'aime et ce plus que ma propre vie.. Tu es ma raison de vivre, sans toi je ne suis plus rien. Je suis tellement idiot de t'avoir laissé seule et pas un jour ne s'est passé sans que j'en pleure Jude. Pas une seconde ne s'est passé pour une je prie le ciel pour qu'on puisse être à nouveau ensemble ! Jamais plus je ne te quitterais Jude, jamais. Même si tu ne veux plus de moi et de ma stupidité. Pourquoi suis-je aussi idiot ! Je ne te mérite pas, mais je t'aime tellement..





Jude Rose
Jude Rose

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× Âge du perso : 21 a

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Le coeur à ses raisons ... [Jude/Théo] EmptyMer 20 Juil - 20:16

" Que ferais-tu oh mon âme soeur si tu te trouvais dans ma position ? Qu'est ce que ton coeur te dirais de faire ? Ô comme je désirerais être libérée de mes démons. Nous ne sommes que passion ... Nous ne somme que douleur ... Nous ne sommes qu'un. "