Je sortais de la douche; putain, qu'est ce que ça fait du bien une bonne douche bien bouillante; et pris la serviette de bain que j'avais chopé dans la commode de la salle de bain juste avant. Je me l'enroula bien serrée autours de mon buste, enserrant ma poitrine, et couvrant ainsi mon corps nu et complétement trempé jusqu'au dessus de mes genoux. Jason se trouvait être de l'autre côté de la porte, et cette idée me faisait sourire. N’empêche, quel choc ça a été, autant pour lui que pour moi, de se retrouver l'un en face de l'autre, ici, à Forks, après un peu plus d'un an sans nouvelles, ni venant de l'un, ni venant de l'autre. Au fond, j'avais de la chance d'être tombée sur lui après l'épisode "Paul", sinon je ne sais pas comment j'aurai fais. Je me sentais seule et complétement paumée ici... Enfin, plus trop maintenant que j'avais retrouvé Jaz'. Je m'approchai du petit miroir au dessus du lavabo, et entrepris vainement d'essuyer la buée qui s'était mise dessus.

Je voyais un reflet trouble au dedans, une reflet pâle et un peu maigre. Faut dire, déjà que j'étais pas bien grosse avant de m'casser de New York, alors passer 3 mois a presque rien bouffer, ça n'm'avait pas réussis. Mes yeux bleu-vert étaient rouge dû à la fatigue du voyage et le manque de sommeil accumulés. Je me faisais peine à voir, sincèrement. Dans un long soupire, je marmonnai un vilain mot tout pas beau, et entrepris de chercher une serviette plus courte pour essorer mes cheveux qui dégoulinaient dans mon dos. Après quelques minutes de recherches, je mis enfin la main sur l'une des rares encore propre; raaah ces hommes célibataires !; et y enveloppa mes long cheveux châtain dedans. Je m'approchai ensuite du bain pour m’assoir a son rebord, et laissai alors mes muscles se détendre. AILLE !!! J'ai été trop vite, voilà que je me paye une de ces crampes carabinée au mollet.

En entendant la porte s’ouvrir, je leva la tête poser mon regard septique sur le jeune homme qui venait d'entrer. Jason me regardait étrangement, avec un de ses regards qui m'étaient réservés depuis notre rencontre, il y a 3 ans d'ici, mêlé d'envie et d’incompréhension. Comme si... Enfin, je devais me faire des idées; encore. Je le regardais toujours lorsque enfin il daigna ouvrir sa bouche.

« Eff'... Tu sais que ça fait 1h30 que t'es là dedans?
- Et? Je te dérange peut être? »

Il me regardai, fronçant un sourcil. Je lui souris et lorsqu'il voulu parler, je mis mon index sur mes lèvres et lui fis un "chuuuut" à peine audible. Étrangement il se tût, et je me leva alors pour faire les quelques pas qui me séparaient de lui. Une fois bien en face, je planta mon regard dans le sien et fini part lui dire presque dans un murmure.

« De toute façon, je ne pense pas te déranger, sinan tu ne m'aurais pas invité a crécher chez toi. »

Je marquais un point, et je le savais... Depuis le temps que je le connais celui là. Lui qui était si détaché des humains... S'il ne voulait pas de moi ici, il ne m'aurai même pas proposé d'venir ici, chez lui.

« Effy, c'est effectivement pas que tu me dérange, mais quand tu... »

Silence complet, et yeux globuleux descendant sur mon corps qui était... Complétement nu. Ma serviette avait glissée. Roh, flute. Je le fixai me reluquer sans gène, mais bon, il devait même pas s'en rendre compte.

« ...Prends plus d'1 heure pour te doucher alors que je dois partir travailler, ça m'agace un peu, ouais !
- En tout cas t'as pas l'air pressé de partir là tout de suite. Bon, t'as pas d'autres vues plus intéressantes que mes niches à l'air?
- Nan j'ai pas... »

Il se tût, et détacha, non sans peine et bien malgré lui apparemment, son regard de ma poitrine nue pour le reposer sur mon visage. J'avais un sourire dessiné sur mes lèvres, et il rougit. Lui? Rougir?! Mon dieu, j'aurai tout vu moi. Il s'empressa de se détourner de la vue de ma nudité, en bredouillant un "excuses" à peine audible. Il voulu partir, mais je m’empressai de le retenir, tendant mon bras pour lui choper le poignet. Il s’arrêta, et je le força alors a se tourner à nouveau vers moi. Je m'abaissai vivement pour ramasser ma serviette et la remettre. Une fois ceci fait, je planta mes yeux das les siens, rapprochant mon visage du sien et lui demanda, un sourire en coin des lèvres.

« Pourquoi t'as rougis, Jaz'? C'est pas comme si une gamine comme moi pouvait te plaire, si ? »

Il restai silencieux, ses yeux toujours fixant les miens, et j’attendrai sa réponse, bien décidée a connaitre le fond du pourquoi du comment, quitte a rester ainsi pendant des heures...

Encore une journée à la con qui s'annonçait, j'étais partis pour aller chercher des pièces en ville pour retaper la voiture de Zack, et comme par hasard sur qui est-ce qu'il faut que je tombe? Stomen. A croire que soit je suis maudit soit à ma naissance les dieux se sont penché au-dessus de mon berceau en m'disant "toi, toi tu vas galérer toi..." J'avais fini par comprendre ce qui clochait avec cette gamine, elle était devenue mon imprégnation, le truc que je m'interdisais d'avoir, il fallait que ça me tombe sur coin de la gueule avec une fille qui a juste quoi..? 9 ans de moins que moi? tsssss... C’était aberrant de voir à quel point ma couche de connerie avait pu devenir importante avec le temps, j’étais déjà pas fin à l’époque, mais alors maintenant je crois que j’avais touché le fond de la bêtise. Surtout qu’une fille de son âge aurait quoi à foutre avec un mec comme moi, à l’âge que j’avais ? J’pouvais être tout sauf « ça ». J’attrapais mon paquet de Philip Morris sur la table basse et en extirpait une cancéreuse, j’avais absolument aucune envie de me prendre la tête avec ça, avoir senti à notre rencontre l’odeur d’un autre enfoiré sur elle me rendait déjà suffisamment dingue comme ça… Je me levais péniblement de mon canapé pour aller chercher dans l’un des creux derrière le meuble mon antidépresseur fétiche, le seul qui ne me laissera jamais tomber quoi qu’il se passe.

De retour dans mon canapé, j’extirpais d’entre le papier d’aluminium une barrette de couleur marron, même presque noire perlée de blanc. Je pris mon canif et le fit chauffer à l’aide d’un briquet avant de couper un morceau de cette dernière. Au bout de quelques minutes je finissais par donner un coup de langue sur une feuille OCB, contenant le tout et par allumer mon « calumet de la paix », complètement avachis dans le sofa, une jambe passer par-dessus le dossier, un bras pendant par-dessus l’accoudoir où reposait ma tête. Il n’y avait rien de tel, je tirais une longue latte dessus me donnant l’impression d’avoir des picotements dans l’arrière du crâne. Je fermais les yeux profitant de cette bouffée d’oxygène pollué qui commençait à embaumer le salon, recrachant un filet de fumée blanche épaisse. Cela commençait à faire plus d’une heure maintenant qu’elle était dans cette salle de bain. Non pas que cela m’agaçait, mais du fait que je l’avais ramené ici je n’avais pas eu le temps d’aller chercher cette foutue pièce, et Zack allait très certainement passer pour savoir où ça en était. Je décidais donc de me lever et d’aller à sa rencontre. La porte s’ouvrit, m’offrant une vue magnifique sur la fille qui hantait chacune de mes pensées depuis le jour de notre rencontre, je pense très sincèrement à voir sa tête qu’à cet instant précis, mes yeux me trahirent, je secouais la tête un bref instant afin de me concentrer sur la raison qui m’avait poussé à entrer ici.

« Eff'... Tu sais que ça fait 1h30 que t'es là-dedans?
- Et? Je te dérange peut être? »

Je la regardais, fronçant un sourcil. Elle fini quand à elle par me sourire et lorsque je voulu en placer une, elle se rapprocha de moi et mis son index sur ses lèvres et me fis un "chuuuut" à peine audible. Étrangement allez savoir pourquoi mais je me suis tue , et elle se leva alors pour faire les quelques pas qui me séparaient d’elle. Une fois bien en face, elle planta son regard dans le mien et fini part me dire presque dans un murmure.

« De toute façon, je ne pense pas te déranger, sinon tu ne m'aurais pas invité a crécher chez toi. »

Elle jouait avec mes nerfs là ou bien.. ? Le pire dans cette histoire c’est qu’elle marquait un point, et je le savais pertinemment, moi qui hais les gens normaux en temps normal, encore plus les pisseuses, je n’aurais jamais accepté, je ne lui aurais même jamais proposer de l’héberger ainsi chez moi. Je me leurrais peut être la face, en lui proposant peut être que j’espérais bêtement la voir se rapprocher de moi ? Non c’était stupide…

« Nan nan tu m’dérange pas nan, mais quand tu... »

Silence complet, et yeux globuleux descendant sur son corps qui était... Complétement nu. Sa serviette avait glissée comme par magie tien… elle me fixait la reluquer sans gêne, là c’était net, elle se jouait de moi et de mes nerfs, autant de coïncidences et surtout aussi grosse que celle-là ne pouvait pas être autrement…

« ...Prends plus d'1 heure pour te doucher alors que je dois partir travailler, ça m'agace un peu, ouais !
- En tout cas t'as pas l'air pressé de partir là tout de suite. Bon, t'as pas d'autres vues plus intéressantes que mes niches à l'air?
- Là ? tout de suite ? Maintenant ? Nan j’ai pas mieux... »

Heu… là franchement je commençais à me demander si j’étais juste con ou si je le faisais exprès , non c’était pas fait exprès j’étais juste très con.. Je redressais la tête détachant mon regard de sa poitrine au profit de son visage, en parlant de ça elle avait un sourire en coin la sale bête, et je sentais que sur ma gueule s’affichait très clairement une bouille de mec complètement gêné… Je bredouillais un « s’cuse moi » à peine audible et détournant le regard de sa personne, je commençais à faire demi tour afin de la laisser seule dans la salle de bain quand je sentis sa main s’emparer de mon poignet dans le but de me retenir. Elle me força à me retourner pour lui faire face, plantant son regard dans le mien, un sourire en coin.

« Pourquoi t'as rougis, Jaz'? C'est pas comme si une gamine comme moi pouvait te plaire, si ?»

Mais siiiiii !! Bordel de merde ! T’es vraiment aveugle ou tu l’fais exprès c’est pas possible autrement ! Elle était là à quelques centimètres de moi et de mon visage, j’avais qu’une seule envie c’était de lui enserrer la tête entre mes mains et de l’embrasser comme je ne l’avais jamais fait avant, voir même plus tellement je la désirais pour le coup. Elle avait beau s’être douché, l’odeur de ce mec s’était imprégnée dans mon cerveau, et me ramena à la dure réalité comme une putain de claque en travers de la gueule, je sentis un grondement à l’intérieure de moi, comme un grognement et l’envie de tuer me prenait tout à coup, je la voulais pour moi et pour moi seul, que personne ne pose la main dessus appart moi, je rêvais de voir la tête de l’autre fumier tomber, peut importer qui il était pour elle, ce qu’il lui avait fait, je me refusais tout simplement de sentir son odeur sur elle une fois de plus. C’était comme une preuve qu’elle, elle s’en moquait de ce que je pouvais bien penser ou ressentir pour elle, cette odeur et cette pensée me dégoutaient l’une comme l’autre. Mon regard complètement perdu et l’air penaud que j’affichais suite à cette déclaration peut loyale de sa part quand on savait ce que je ressentais laissa la place à un regard plus dur dans lequel on pouvait très nettement y lire de la déception ainsi qu’une profonde tristesse.

« Ouai… Une ‘gamine ‘ comme tu dis… »

Je finissais par passer le pas de la porte en me défaisant de ses liens en douceur sans pour autant la brusquer à reculons, je refermais soigneusement la porte derrière moi laissant clairement entendre l’arrière de mon crâne heurter la porte de la salle de bain accompagné d’un douloureux et violent « fait chier ». Je repartais donc me foutre dans ce canapé qui décidément était le seul endroit où je me sentais bien là, maintenant. Je me laissais retomber lourdement dedans, comme à mon habitude, une jambe par-dessus le dossier, la pliure de mon coude enserrant mon front, je tendais le bras à l’aveuglette pour récupérer la moitié de joint incandescente dans le cendrier, que je portais à mes lèvres avant de la rallumer, l’air complètement dépité.

[Comme Jaz ma invité bah je me radine, une scène de ménage cela va être drôle, pour moi en tous cas xD]

Cela faisait maintenant 48h que ma Mercedes SLR était chez Jason pour une révision, allez savoir pourquoi ou plutôt comment mais j’avais réussi à bousiller ma boite de vitesse. Plus moyen de passer un seul rapport cela me faisait gravement chier. Heureusement pour moi mon meilleur pote était un putain de mécano de la mort qui tue et en plus il me coûtait vachement moins cher qu’un autre type.

Bon je dois l’avouer c’était surtout parce que je supportai pas qu’un type qui m’était totalement inconnu touche à MES bijoux, c’était un peu comme une part de moi, comme mes bijoux de famille ont les met pas dans les mains de tout le monde quoi. Je me garais donc dans rue de Jaz avec ma Royce dans lequel je ne me trouvais pas être seul. Je regardais les deux somptueuses blondes avec moi, choppant une bouteille de champagne avant de leurs lancer des plus simplement.

« Bouger pas les filles, je reviens! »

Je laissais donc ses charmantes demoiselle et ma caisse pour aller jusqu’à la porte de l’appartement de Jaz que j’ouvris comme si j’étais chez moi. Chose que je faisais couramment en faite, ce qui n’étonnait plus le propriétaire des lieux. Faisant une entrer fracassante champagne à la main, lunette de soleil sur les yeux je lança tout de go à ma vielle canaille.

« Tatatatintintatintin!!! Rodriguez!!!! »

Je lance un regard dans la salle, regarde le divan, vois une Loque humaine à l‘air dépité, c’est mon pote, je suis donc au bonne endroit. J’enlève mes lunettes de soleil, prend un gorger de champagne et avance vers lui.

« Jaz! Ma caille pourquoi cette tête ? Tu à appris que la pièce de ma marco n’est plus disponible et tu sais pas comment me l’annoncer ? »

Je lui tend la bouteille de champagne, lui pique le joint toute en empêchant celui-ci de répondre.

« Ah moins que tu manque de liquide ? Je parle de pognon pour tes couilles cela doit aller j’espère, parce que j’ai deux putains de bombes dans la Royce elles sont d’un putain de bonne! »

Je tire un latte sur le pétard, avant de recracher la fumé en secouant vigoureusement la tête et le rendre à son fumeur officiel à qui j’avais laisser la bouteille de champ.

« Ah moins que tu manque de liquide ? Je parle de pognon pour tes couilles cela doit aller j’espère, parce que j’ai deux putains de bombes dans la Royce elles sont d’un putain de bonne! »

Je manqua de me torcher la gueule en entendant ça, car oui, j'avais entendu ça. Je venais en faite d'entre ouvrir la porte de la salle de bain pour tenter de parler une fois pour toute avec Jason, mais ce mec allait tout foirer. J'étais encore en essuie de bain, la serviette sur mes cheveux aussi, mais je m'en foutais, a vrai dire, j'avais même oublié ce détail. J'ouvris grand la porte et racla ma gorge. Je regardais d'un air menaçant le nouveau venu, et je jeta un regard noir à Jason, avant de me diriger vers la cuisine.

« Je vois que tu fréquente toujours des gens de bonne éducation, Jaz. Et avec tellement de savoir parler ! »

Ils me fixaient tout les deux, l'air ahuri, et je compris bien vite pourquoi. Bah oui, voir une meuf en essuie d'bain qui risque a chaque fois de se défaire, c'est perturbant. J'ouvris son frigo, et pris quelques secondes à me décider avant de prendre une bouteille de jus d'orange. Je pris ensuite un verre dans l’armoire, et me versa du liquide orange dedans. Je les fixais en buvant à grandes gorgées mon verre de fruit, et souris intérieurement. La scène était plutôt amusante, en faite. Je reposa bruyamment mon verre, celui ci terminé, sur la table du salon en arrivant à leur hauteur, et resta penchée légèrement vers Jaz, les mains poser sur mes hanches. Je lui chopa le winch qu'il avait en main et tira une longue latte, la gardant quelques secondes dans mes poumons, je lui souffla alors la fumée odorante dans le visage, doucement, avant le lui remettre ce qui lui appartenait entres ses lèvres. Mais ce n'est pas à lui que je m'adressais, mais bel et bien à son pote.

« Nan mais faite comme si de rien n'était surtout... Regardez, j'suis déjà plus là. »

Le temps de finir ma putain de phrase, j'avais atteins de nouveau la porte de la salle de bain, et l'avais ouverte en grand. Cependant, avant d'entrer dans la pièce, je me mis face à eux et dis, un sourire en coin des lèvres.

« Au faite, j'appelle Effy. »

Je fis demi tour, et entra à nouveau dans la salle de bain, mais je ne ferma qu'a moitié la porte. Je me posta en face du lavabo, en face du miroir, et me regarda longuement, écoutant les deux hommes dans le salon.

Je repartais donc me foutre dans ce canapé qui décidément était le seul endroit où je me sentais bien là, maintenant. Je me laissais retomber lourdement dedans, comme à mon habitude, une jambe par-dessus le dossier, la pliure de mon coude enserrant mon front, je tendais le bras à l’aveuglette pour récupérer la moitié de joint incandescente dans le cendrier, que je portais à mes lèvres avant de la rallumer, l’air complètement dépité. Il m'avais bien semblé reconnaître le bruit de ce moteur là, mais étant donné que j'avais plus la flemme qu'autre chose de bouger mon cul de ce divan auquel je trouvais des atouts et autres charmes divins dans l'immédiat, que je laissais les choses se faire comme si j'étais complètement sortis du système, que je faisais partis des meubles. J'entendis ma porte s'ouvrir avec élan et Zack apparaître comme magie dans l'ouverture de cette dernière.

« Tatatatintintatintin!!! Rodriguez!!!! »

Putain y a vraiment des fois où j'me demande où je suis aller le pêcher celui là, à moins que ce soit lui qui m'ai pêché... Bref j'en sais rien et on s'en fou, toute façon j'ai pas envie de réfléchir, réfléchir ça fatigue, et là je commençais à être TRÈS fatigué... Zack vint se poser sur le canapé à côté de moi, enfin, là où il le pouvait parce que vu mon état de loque avancé, je ne risquait pas de bouger, trop dure la vie quoi...

« Jaz! Ma caille pourquoi cette tête ? Tu à appris que la pièce de ma marco n’est plus disponible et tu sais pas comment me l’annoncer ? Ah moins que tu manque de liquide ? Je parle de pognon pour tes couilles cela doit aller j’espère, parce que j’ai deux putains de bombes dans la Royce elles sont d’un putain de bonne! »

Je laissais s'afficher un sourire amusé suite à ces paroles, bof, Zack n'était pas un salle type après tout, bon okay on a connu des manières de faire plus sympas avec les demoiselles, mais c'est pas non plus de sa faute s'il tombe fréquemment voir systématiquement sur des filles qui ont pour seules ambitions dans la vie, coucher avec tout ce qui bouge et se voir frétillé par les porte feuille conséquents... De toute manière moi c'est bien simple, en dehors des filles qu'il me fou dans les pattes on peut pas dire que je sois du genre a avoir un tableau de chasse long comme le bras, en faite, aujourd'hui surtout, la seule que je voudrais vraiment, j'peux pas l'avoir. Alors bon, merde quoi...
Tien d'ailleurs en parlant de la demoiselle, elle vient de passer le pas de ma chambre, non elle n'était pas entrain de squatter ma chambre, c'est juste que l'accès à la salle de bain se fait par là... Je sais super pratique dans le genre.

« Je vois que tu fréquente toujours des gens de bonne éducation, Jaz. Et avec tellement de savoir parler !»

Sur le moment je me retins de lui dire qu'elle était franchement mal placée pour oser critiquer mon meilleur ami, surtout en sachant le mec que c'était, avec l'éducation qu'il se payait et... Tout le reste d'ailleurs, ouai le genre de mec que, quand tu l'as en face de toi tu hésites entre deux choses, le frapper, et le frapper.. Non plus sérieusement ce con a toujours eu le dont de me rendre jaloux, dans le genre, il a tout pour lui et moi j'ai rien pour moi on fait pas mieux faut dire. Heu ouai mais attend là... Elle est pas entrain de se trimbaler à poil au milieu de mon salon et devant mon meilleure pote la miss là? Je tournais la tête dans la direction de la cuisine genre, j'ai du halluciner un instant là... Avant de la voir revenir vers nous... Ha bha nan elle était bien à moitié à poil entrain de se balader dans mon salon comme si de rien était. Elle se pencha vers moi pour me soutirer mon bien le plus précieux du moment, comme Zack avant elle... Nan mais merde quoi, on peut plus déprimer tranquille chez soit sans qu'on vienne vous souffler sous le pif votre putain d'anti depresseur ou bien? Elle tira une longue latte dessus avant de venir me le glisser entre les lèvres, me recrachant sa fumée au visage... Nan mais naaaan, fais pas ça pitié! Ca me donne juste envie de te sauter dessus et de te faire comprendre ce que réellement je ressent et pense de toi bordel!...

« Nan mais faite comme si de rien n'était surtout... Regardez, j'suis déjà plus là. Au faite, j'appelle Effy. »

Les gens sont fous... Le monde entier est juste bon à être interné, où alors c'est mes fréquentations qui sont bizarres, ceci étant les gens autour de moi sont juste tous tarés et moi le premier. Je tirais de nouveau une latte sur MON joint, observant Zack qui avait l'air un peut comme qui dirait "choqué" mais au sens large du terme. Il me fit son regard interrogateur, ce dernier accompagné un signe de la main me laissant entendre qu'il me demandait qui c'était, voir même sous entendant la question "c'est ta copine?"

« Non, j'aimerais bien cela dit, mais non c'est pas ma copine, et d'après mes infos personnelles, elle a d'autres projets que moi dans sa vie. Et puis ben c'eeest... C'est Eff' quoi enfin, une amie. Une fille que j'ai connue à N.Y à l'époque, avec qui je m'entendais plutôt bien. On s'est perdu de vue quand mon père est mort et que j'ai du venir sur Forks pour venir gérer ses deux trois affaires ici et... Autre chose d'ailleurs, t'sai le genre de confession de merde qu'on fait sur un lit de mort quoi... »

Alors que ma deuxième père de couille était en mode loque extrême puissance divine, quel ne fut pas ma fucking surprise de voir arrivez devant nous une nana en serviette. Hormis la phrase sur mon éducation qui aurait pu ne pas me plaire. Ce qui entre nous n’était pas le cas. Elle était quand mèche vachement mignonne la petite. Je lance un regard à Jaz qui lui à bug vue qu’il regarde vers sa cuisine.

Je n’ai d’ailleurs pas le temps d’ouvrir la bouche qu’elle revient et nous précise de faire comme si de rien n’était. Cela n’allait pas être simple, j’aurai plutôt envie de faire comme d’habitude, mais je préfère me tempérer un peu. Enfin juste un peut faut pas déconner, j’adore Jason mais pas à ce point la.

Elle ce présente Effy, c’est jolie sa Effy, je la salue d’un geste de la main, avec un grand sourire prenant soin de laissez mon regard partir du bas vers le haut et détaillant bien tout cela au passage. Un peu jeune mais franchement pas moche.

« Enchanté Effy! Moi c’est Zack! »

Elle reparti vers la salle de bain, je regarde Jason est pointe la direction de la porte de ma façon habituel qui signifie: c’est ta copine ? Ce à quoi il me répond que non mais qu’il aimerait bien. Je le regarde dans les yeux, avant de pousser un soupir à ses explications.

« Jaz, Jaz, Jaz! Tu peu pas laissez une beauté pareille te passer devant sans sauter dessus putain… aller je suis un frère je vais t‘aider.. »

Je tourne la tête vers la porte de la chambre, puis lance des plus simplement.

« Hey Effy! Tu peut venir s’il te plait! »

Il allait me haïr, me frapper et il me remercierait, j’attendais sa réponse ou sa venue avant de lancer à la jeune femme des plus simplement comme j’avais l’habitude de faire.

« Dit moi! Jolie demoiselle serait tu intéresser par une soirée dans un endroit branché, ou ce mêlerai alcool, sexe et musique ? Et peut être pas dans cette ordre ? Il faut que ce bon vieux Jaz arrête de broyez du noir et un jolie rayon de soleil comme toi serait un atout que je ne refuserai pas pour m’aider. »