Je m’appelle Blanca, Blanche en espagnol, mais depuis toujours tout le monde Annabeth. Je suis d'origine Espagnol, cependant j'ai toujours vécu en France. Mes parents font partis de la noblesse proche de la famille impériale française et notamment de l’impératrice Eugénie. J'ai donc grandie dans un monde féerique, remplie de fête, de bal et de robe somptueuse. Durant dix sept ans de ma vie, tout ressemblait à la vie en rose avec aucun nuage à l'horizon. J'étais même prédestiné a épouser un charmant jeune homme de la cour impérial, qui avait quelques années de plus que moi. A cette époque j'étais très fière de moi et de mon nom, pour l'honneur de ma famille j'aurai fait n'importe quoi. J'étais le bijou de mon père, chef des armées et la princesse de ma mère grande amie d'enfance d'Eugénie. Nous vivions dans les appartements de la cour, au Louvre. Je passai la plus part de mon temps avec ma mère ou sinon a me balader dans les jardins. Un jour d'été alors que j'effectuai ma balade habituel de l'après-midi, un homme mystérieux veina faire la conversation. C'était ma derrière journée de jeune fille célibataire, ce soir lors du bal l'annonce officiel de mes fiançailles allait être diffuser. J'étais donc d'un naturelle très gaie ce jour ci. Cette personne était fort sympathique, nous avons d'ailleurs passé en fin de compte toute l'après-midi a discuter sur un banc. Puis il se fut tard et je suis rentré pour me préparer. Cet homme ne m'a jamais donné son nom, mais son visage, ses yeux sont sculpté dans mon esprit. Toute ma vie je me souviendrai de cette nuit là. J'étais alors en train de me préparer pour la soirée, seule dans ma suite. Je bataillais avec cette foutue robe en crinoline, enfin plutôt avec le corset qui n'est pas franchement facile a noué seule. La pièce était uniquement éclairé a la bougie, dehors il faisait déjà nuit noir. Je senti dans mon dos du vent glacial pour une soirée d'été. Je me retournai mais il n'y avait rien, la fenêtre s'était ouverte toute seule et j’allai la refermer. Je sentais une présence dans la pièce alors que j'étais seule, c'était assez étrange et je n'allai pas appeler au secours alors qu'il y a rien, les gens m’auraient pris pour une folle. Je ne faisais gère attention a cette sensation étrange, je continuais de me préparer normalement. Puis lorsque je fus habillé je me dirigea vers ma coiffeuse et commença à me pouponner. Je me regardais dans le miroir tout en sentant dans mon coup quelqu'un respiré. Un souffle chaud si réel, cette fois j'en étais sur il y avait quelqu'un dans la pièce alors que j'allais me retourné je fus mordu une première fois et tomba dans les pommes. Tout le reste est très flou, je n'ai que certains flash aucun souvenir concret de ce qu'il s'est passé. Je me souviens de m'être réveillé dans une ruelle sombre, allonger sur le sol a l'agonie. J'étais faible, je ne pouvais bougé. Sur mon coup je sentais le sang coulé, quelque chose m'avais donc bien mordu mais toujours personne a l'horizon. Puis une douleur atroce me surpris comme un éclair, cette sensation que l'on vous arrache le coeur alors que vous êtes vivant. Je ne pouvais me débattre contre ce fantôme, je criai malheureusement en vins. Il n'y avait personne du moins de réel. Au fond de la ruelle il y avait une ombre qui m'observait, me regardait souffrir, me vider de mon sang. La douleur se faisait plus intense et j'avais de plus en plus froid. Cette douleur devena insupportable, je me sentais, je le savais que c'était la fin. Je ne pouvais donc que pleurer en regardant au loin le Louvre illuminé et habillé sur son trente et un. Peu à peu j’arrêtai de me débattre et peu à peu je sombrai dans le noir.
Je me réveilla dans le noir. Où suis-je ? Au paradis ? Bien sombre comme endroit si j'y suis. Tout ce qu'il y avait autour de moi était uniquement de la pierre. Il y avait aucun rayon de soleil a l'horizon, tout était si calme. Je passai ma main dans mon coup, plus de sang juste un semblant de morsure. Ma robe était déchiré, je n'avais plus de soulier. Ma peau était froide, aussi gelé que le marbre. Une ombre s'avança vers moi avec quelque chose dans les bras. Lorsque l'ombre se tenu devant moi je le reconnus, c'est l'homme mystérieux de la dernière fois. Je ne le voyais pas clairement, comme je l'ai déjà dit il y avait aucun rayon de soleil. Il alluma une torche puis quelque chandelier, c'était bien lui. Ses yeux était devenus rouge sang et sa peau plus pâle que jamais. Ce qu'il avait dans ses bras n'était rien d'autre qu'un veille homme a moitié mort. Il me le mit sur une stalle de pierre et revenu vers moi tout en souriant.
« Bonjour Blanca, le réveille n'a pas était trop dure ? » Je ne comprenais pas ce qu'il venait de se passer, je le regarda avec plein de question à la tête.
« Euh ... Je suis morte ? » Il se mit a rire et reprit.
« Non ma jolie ... Je t'ai transformé et grâce à moi tu a la vie éternelle » Tout en me parlant, il se leva et fit la révérence avec toujours le sourire au lèvre. Je ne le croyais pas une seconde, tout ces contes et ses histoires a dormir debout n'existe pas ! Face a aucune réponse de ma part il lâcha l'affaire et me montra le veille homme tout en disant.
« Tu dois avoir faim ... mange le. » Je ne bougea pas et le regardais avec mépris.
« manger ce pauvre homme ? Non merci ... » Il revenu vers moi, son visage s'était figé et ses traits montrait bien que ceci ne lui plaisait pas, il parraisait même furieux.
« Très bien ... tu n'auras que sa à manger, je reviens un peu plus tard en espérant que d'ici là tu auras changé d'avis » . Je le regardais alors s'éloigner dans le noir sans rien dire. Ce jour-ci j'ai passé la plus part de ma journée a chercher où j'étais et également je pensais a ma famille qui devais être inquiète. Je me baladais tout autour de la pièce et du veille homme. Je touchais la pierre gravé des rues de Paris, je n'avais donc pas quitté la ville. Je m’ennuyais a ne rien faire et j'avais faim. Je me tenais debout loin du veille homme que je regardais. Il respirait a peine et saignait, lui aussi avait été mordu part l'homme étrange dont je ne connais toujours pas son nom ? Je m'approcha de lui, la curiosité avait pris le dessus. Lorsque je fus prés du veille homme je sentis une odeur alléchante qui me donnais encore plus faim. Je chercha donc d'où cela venait et découvris que ça venait du sang du vieillard. Non je ne pouvais pas boire son sang, je ne suis pas un monstre, je dois bien pouvoir me nourrir par un autre moyen. Je chercha réponse a mes questions pendant plusieurs heure, puis la faim reprit le dessus et je me jeta comme bête affamé sur le veille homme et le vida de son sang. Lorsque l'homme mystérieux revenus, j'étais assise prés du vieillard la tête baisser honteuse de ce que j'avais fait. J'étais devenus un monstre.
Bien des années ont passé, plus d'un siècle. Depuis j'ai bien changé, je ne vis plus en France mais dans une petite ville nommée Forks aux Etats-Unis. J'ai quitté l'homme mystérieux qui s'appelait George et je ne bois plus de sang humain. J'ai toujours honte de ce que je suis devenus et même avec le temps les souvenirs reste. Je suis devenus une fille discrète qui essayait a tout prix de ce fondre dans la masse, je reste secrète sur mon passé et ne parle jamais de moi. Cependant, ce n'est pas facile d'être invisible aux yeux des autres lorsqu'on s'habille à la mode où avec des vêtements hors de prix, mais peu importe. Je suis plutôt du genre solitaire, je vis seule dans une maison à la sorti de la ville. Je raconte a tout le monde que je vis chez ma tante qui est malade donc elle ne sort jamais, enfin bref j'ai inventé une histoire bateau. Je ne laisse personne m'appeler Blanca, désormais c'est Annabeth, entendre ce nom me fait trop mal ... Pour passer le temps j'ai appris a jouer du piano, je compose quelques mélodie et berceuse puis des fois je rajoute des paroles. J'aime toujours autant me balader, après les cours je vais toujours en forêt. Je cours, je chasse, je mène une petite vie tranquille bien loin de mon passé.