Il était bientôt midi. Dehors le soleil était levé depuis longtemps et dardait ses rayons, enfin le peu de ceux qui filtraient a travers les nuages, sur la bourgade de Forks dont l’activité battait bon train. En effet même si c’était une belle journée d’été Forks n’était jamais totalement lumineuse ce n’était pas une ville éclatante même en période estivale. Une sonnerie familière me tira doucement de mon sommeil. C’était mon réveil il sonnait depuis 5mn. Je mis fin au son qui me cassait les oreilles d’un coup du plat de ma main. La nuit avait encore été longue, j’avais quitter la boite de nuit a 3 heure du matin et le trajet de Seattle jusqu'à Forks prit bien deux heures. Heureusement a mon retour mon oncle ne me posa pas de question (en même temps il dormait comme un loir), je m’étai assoupi aussitôt que je m’étai couché sans avoir posé mes affaires. J’étai pourtant en boxer c’est donc que je les avais posés pendant la nuit. Allez debout. Ail encore un mal de tête…

J’ai pris une douche, manger un bout et j’ai enfilé ma tenue de livreur. Mon oncle m’avait encore donné deux billets de 50 dollars hier soir je n’aimai pas être payer et ne rien donner en retour aussi aujourd’hui j’avais décidé de ne pas aller au lycée une fois de plus préférant aller aider mon oncle a distribuer des colis pour des particuliers qui les commandaient sur internet. Roxy était partis dès le matin effectuer ses livraisons du côté de Port-Angeles mais il m’avait laisser une liste et des petits paquets. Je prit tout ceci avec moi et sortit à l’air libre. Je prenais une grande bouffée d’air fraîche, celle-ci relança ma migraine. Je claquai la porte et la fermai a clé puis sautait sur ma moto après avoir placé les paquets dans la soute. Ma première destination une bonne femme qui vivait a la périphérie de Forks, sur la route de la Push la réserve indienne. La maison de celle-ci était perdue dans la forêt envoisinnante sa demeure. Qu’elle idée d’aller habiter là-bas. Je faisais vrombir le moteur de mon cross et partait comme une flèche. Je n’avais même pas pris le temps de me coiffer mes cheveux étaient encore en bataille. La chemise blanche que j’avais boutonnée quelques instants plus tôt s’ouvrit. Le vent fouetta mon torse et j’accélérai encore.