♣️ Une Volturi se serait éprise d'un hybride lycano-vampire... info ou intox ? ♣️
♣️ Le corps de Fenris aurait été retrouvé sur une plage de Miami... info ou intox ? ♣️
♣️ Il parait que le chef de Dankirk est responsable d'abus sexuels sur ses Dankirkettes... info ou intox ? ♣️
♣️ Le roi des Volturi ferait souvent des virées en solitaire à Forks... info ou intox ? ♣️
♣️ La reine des Volturi aurait ouvert un club, le Croquemitaine... info ou intox ? ♣️
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 Vois plus loin que les apparences [PV Willou]

Twilight RPG :: Remember that day... :: Fin de Partie
Kasey C. London
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Vois plus loin que les apparences [PV Willou] EmptyLun 11 Juil - 22:57

Au milieu de l’après-midi, mon patron avait décidé de s’absenter. Il ne se sentait pas très bien, et je ne pouvais faire autrement que de me rendre compte qu’il était effectivement très pâle et semblait fiévreux. Ca ne faisait pas très longtemps que je travaillais là, mais j’espérai qu’il me faisait assez confiance pour ne pas risquer une pneumonie ou pire de peur que je pique la caisse. Je n’étais pas assez stupide pour faire ça. Ca aurait été plutôt évident que c’était moi, la petite caissière nouvelle arrivée en ville. Merci, mais je ne voulais pas qu’on me prenne pour une voleuse, ça aurait été plutôt mauvais pour mon image, et impossible de retrouver du travail après ça. Je ne voulais pas risquer de foutre en l’air mes efforts pour avoir trouvé un travail que j’aimais plutôt bien. Ce n’était pas aussi bien que les études en littérature que je voulais faire, mais c’était mieux que rien. Ca aurait été ça mon rêve, être à la fac, comme ma sœur et sa maitrise en biologie, sauf que moi, c’était les livres. L’histoire en générale, mais surtout les courants de pensées des différents siècles. J’aurais adoré suivre un cursus en lettres classiques, avec en option histoire de l’art. Ca m’aurait permis d’être un peu plus indépendante. Mais avec ma « maladie » ce n’était pas au programme. Surtout qu’elle était maintenant active, cette maladie. Alors il me fallait un peu de temps, pour m’habituer. Peut être qu’à la rentrée, qui sait, j’arriverai à suivre des cours par correspondance…

En attendant, derrière mon petit guichet de la librairie, j’enchainais les encaissements, répondais au téléphone, aux questions des clients, recevait les livraisons, rangeais les stocks, et une fois le magasin fermé, j’avais même prévu un petit inventaire. Tout, sauf rentrer chez moi. Ma mère était plutôt collante depuis ma première vraie transformation. Elle l’avait toujours été, mais là ça devenait plutôt étouffant. J’avais besoin qu’elle me laisse tranquille, qu’elle me laisse respirer. Et elle, pour me prouver que je restai son bébé, et pas un monstre – parce qu’il fallait bien avouer que d’un certain côté, c’était ce que j’étais – elle me surprotégeait, était trop gentille, trop prévenante, trop… tout. Au point d’en devenir un boulet. Un boulet que j’aimais plus que tout, d’accord, mais un boulet quand même, au point que j’avais envie de rejoindre Alexia à Seattle deux ou trois jours le temps de prendre l’air. Mais elle ne cesserait de m’appeler sur mon portable, et quand elle en aurait marre que je la filtre, passerait à celui de ma jumelle qui finirait par en avoir raz le bol de jouer les intermédiaires et me foutrait dehors. C’est beau la sororité… On peut toujours faire confiance à sa sœur, en temps normal. Elle ne m’en avait pas parlé, mais il parait qu’il existe un lien très fort entre les jumeaux, que quand l’un va mal, l’autre le ressent immédiatement. Alors vu la dose de douleur que j’avais eus, il était évident qu’Alexia avait senti quelque chose. Mais qu’elle ne veuille rien me dire prouvait que ça la mettait mal à l’aise. Vive la famille.

Il était environ vingt deux heures trente quand je fini de ranger le dernier carton. Tous les stocks avaient été comptabilisés, répertoriés, et listés, il ne me restait plus qu’à les rentrer sur l’ordinateur, demain matin. Je commençais à fatiguer, et il fallait encore que je rentre à Forks. Oh joie… j’imaginais encore ma mère m’attendant, s’apprêtant à me faire la morale. J’avais toujours été la petite fille sage, mais là, ça allait rapidement me mettre en colère je crois. A croire que c’était elle qui souffrait le plus de ce qui arrivait. Ce n’était pas comme si c’était elle qui avait eut l’impression de passer sous un rouleau compresseur l’autre nuit. Après avoir au préalable sentit les flammes d’un chalumeau pour ramollir le tout. Il fallait que j’arrête de penser à ça, tout de suite. Et le mieux était de ne plus y penser du tout. J’allais finir par devenir totalement dingue. D’ailleurs, sans en avoir parlé à ma mère, j’envisageais de prendre un appartement à Port Angeles, histoire d’être un peu à l’écart. Mon salaire me le permettait, du moment que je ne voulais pas un duplex avec vue, et le salaire de ma mère couvrait amplement les frais de la maison, ça et l’assurance vie de mon père. Mon père qui me manquait cruellement. Il ne m’avait jamais parlé de ce que j’avais, ce que j’étais, mais sa force tranquille m’aurait fait du bien à cet instant précis. Hélas, il avait fallut qu’il soit sur cet autoroute le soir de l’orage, qu’il fasse un aquaplanning, et finisse dans les piliers soutenant un tunnel.

Je déglutis en y repensant, alors que je fermais la porte du magasin, une fois la recette de la journée enfermée dans le coffre, au fond de la réserve qui servait aussi de bureau et de salle de pause, et retirait ma clef de la serrure. Il faisait un peu frais ce soir, malgré la température estivale, alors je remontais le col de ma veste tout en farfouillant dans mon sac pour trouver la clef de mon coupé bleu. Bien évidement, elle avait disparut tout au fond, entre mon portable et mon agenda, sous mon portefeuille, et les oreillettes de mon iPod s’étaient emmêlées autour. Génial. Après avoir bataillé une bonne minute pour les sortir de mon bazar, je réussis à extraire cette clef avec en porte clef un petit morceau de plastique, dans lequel était glissé toute une série de photos d’Alexia et moi, en miniature, à n’importe quel âge, et parfois avec nos uniformes de l’équipe de cheerleading. Elle me manquait vraiment en ce moment. J’appuyais sur le bouton de la clef, et les phares clignotèrent, alors que je mettais la main sur la poignée de la porte. La rue était déserte. Déserte, et en même temps, j’avais l’impression de ne pas être seule. Soudain nerveuse, je me raidis, regardant autour de moi. Personne, vraiment, alors pourquoi je frissonne comme ça ?
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William J Lancaster
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Vois plus loin que les apparences [PV Willou] EmptyLun 11 Juil - 23:30

Forks, c’était une ville ou j’avais vraiment, mais vraiment beaucoup de travaille à faire. Il y’avait beaucoup d’odeur différente, mais il était trop difficile de repérer les cibles, les créatures nuisible.
Nuisible, trop dangereuse pour que l’ont les laisses ce baladés dans surveillance, je le sais j’en suis une.

J’avais passer une partie de ma journée en forêt, cela faisait peu de temps que j’avais réussi par le fruit du hasard à trouver une odeur. Douce, sucré, une odeur de femme, teinté de cette odeur proche de celle du cousin canin, mais trop sauvage un lupin. Sauf que l’odeur du loup dans une librairie ce n’était juste pas possible. J’avais donc observé, ceux qui y travaillais.

Il y’avait une fille, Kasey jeune, jolie le genre de fille qui plait au garçon de son age. Les jeunes garçons étaient un autre style de prédateur par rapport à moi. Je n’avais pas vraiment le temps d’étudier plus la proie, je savais juste que le nombre de meurtre dans les environs avait cruellement augmenter et j’avais appris que le bal de fin d’année du lycée avait été le théâtre d’une tragédie.

J’en avais pas besoin de plus, elle était jeune, assez pour ce mêlée à la foule et frappé au cœur de celle-ci, par précaution il fallait mieux y mettre fin avant qu’elle ne devienne un danger pour tous.

Je gara mon, GMC 4x4 assez loin pour ne pas être repérer et bougeait personnellement plusieurs fois pour observer l’intérieur de la librairie. Son patron était partie malade apparemment, j’aurai pu entrer lui tirer deux balles d’argents dans le crânes et repartir. Mais niveau discrétion on y repasserai, non il valais mieux qu’elle disparaisse discrètement. J’attendrais la fin de son service.

C’est dans le confort de mon véhicule que j’attendais donc la nuit 22h30 elle faisait des heures supplémentaire ou quoi ? Bon d’un coup cela m’offrait un couvert des plus grand, je n’aurai cas frappé depuis les ténèbres et faire disparaître le corps. Puis arriva le moment ou elle sortit enfin je la laissait s’éloigner du magasin, alors que je descendait de mon 4x4, un rapide tour à l’arrière de celui-ci pour récupéré un sac de sport dans lequel il y’avait tout sauf des affaires de sport et je pris sa suite.

La balade fut courte, elle s’arrêta pas loin de sa voiture ou elle s’arrêta pour chercher ses clé, je profita de ce court moment pour sortir du sac un US Navy's Mk.14 Mod.0 Enchanced Battle rifle, l’arme avait une porter plus qu’acceptable et la modification apporter m’offrait une cadence de tir au cas ou je la louperai, un silencieux couvrirai le son.

J’avais pris position sur un toit, j’avais sa tête dans mon viseur quand soudain elle sembla chercher quelques chose, le vent était devant moi, donc mon odeur ne parvenait pas jusqu’à elle, j’étais à contre lumière pas de risque de reflet dans le viseur. Pourtant elle semblait sur la défensive… tant pis d’ici quelques secondes elle ne le serait plus. J’appuis sur la détente, la balle quitte la chambre de l’arme pour passer par le canon. Une balle en argent dont la tête est encoché en croix, une balle frag cela vous déchirais un bras, contre un lycan elle faisait des dommages aussi, moins gros mais toujours aussi efficace. Sans haine je fais sa pour protéger des familles contre des monstres potentiel, un jour on me collerai une balle que j’aurai mériter et je l’accepterai.
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Vois plus loin que les apparences [PV Willou] EmptyMer 13 Juil - 9:21

La solitude me pesait. Et en même temps, je ne me voyais pas infliger mon « handicape » à d’autre. Il y avait des meutes, certes, mais sans être spécialement quelqu’un qui ne supportait pas l’autorité, devoir obéir, respecter une hiérarchie, je ne me serais peut être pas habituée à ça. Surtout qu’en tant que petite nouvelle, j’aurais été reléguée au dernier rang, et ce n’était pas dans mes préférences. Je préférai être seule encore. Le temps de m’habituer peut être, de faire le point. De me poser et de me faire à cette situation qui n’avait rien pour me plaire. Je voulais revenir dix-sept ans en arrière, le jour où j’avais été mordue, et j’en venais à me demander pourquoi c’était moi qui vivait ça alors qu’Alexia vivait une vie parfaitement normale. C’était injuste. L’injustice était partout, mais à ce point, c’était presque douloureux. Nous étions exactement pareil physiquement et mentalement. Mêmes centres d’intérêts, mêmes niveaux, mêmes goûts. Tout… sauf ça. Elle était à Seattle, entrain de faire la fête et de faire des études qu’elle aimait, et moi je travaillais comme vendeuse dans une librairie, en vivant chez ma mère qui m’étouffait. C’est injuste ! J’avais conscience que ce genre de penser pouvait être apparentée à une crise d’adolescence tardive, mais avec tout ce qui m’arrivait, je n’étais plus vraiment moi-même, et j’avais presque l’impression que mes pouvoirs foutaient mon caractère en vrac. De la gentille fille, j’étais passée à la pile électrique, totalement instable et dont il fallait se méfier.

Mais pas au point de sauter à la gorge de tout le monde. Si j’avais fais parti d’une meute, surement que ce qui allait m’arriver ce soir ne me serait pas arrivé, ou alors je n’aurais pas été seule pour y faire face. Rien ne m’avait préparée à ça. Je n’imaginais pas qu’il puisse y avoir quelque chose de plus dangereux que moi. Du moins pas qui me voudrait du mal intentionnellement. Les vampires, les chasseurs de lycans, tout ça c’était totalement abstrait pour moi. Et j’aurais surement préféré que ça continue à l’être parce que là, la réalité allait me frapper durement. Un peu trop même. Arrivée à ma voiture, je l’avais ouverte. Mais qu’est ce qui m’avait fait tiquer ? Je ne sais pas. La sensation de ne pas être seule, alors que la rue était déserte… Peut être que depuis ma transformation, mes sens s’étaient aiguisés outre mesure, à un point que je ne comprenais pas, dont je n’avais pas conscience… Allez savoir. La porte de la voiture était à peine entre ouverte et mon sac avait glissé de mon épaule à mon coude replié. Le vent était humide, salé, chargé de l’air marin proche. Aucune odeur étrange, inhabituelle ne s’en dégageait. Pas un bruit, le silence total et un calme plat ici. Trop calme. D’habitude, il y avait toujours des mouettes, ou des chats errants. Là, rien du tout. Pas même un corbeau ou un rat dans un rayon d’une cinquantaine de mètre. La soirée était normale, malgré l’heure tardive.

Mais… mais quelque chose clochait. Quelque chose de dangereux… Je n’aurais pas dû rester si tard. Qu’est ce qui me fit bouger ? Je ne le savais pas du tout. Instinct, réflexe, prescience, appelez ça comme vous voulez. Toujours est-il qu’au moment où un éclair lumineux rapide mais silencieux se détacha d’un toit proche, et où le projectile se dirigeait vers moi à la vitesse de la lumière, je bougeais la tête, mes cheveux noirs s’éparpillant autour de mois, pour l’éviter, in extremis. Il allait s’écraser contre le montant du lampadaire, juste à côté de ma voiture. Et à ce moment là, ce fut la panique. Mon cœur s’emballa, alors que je cherchais la provenance du tir. On venait de me tirer dessus ! On avait essayé de me tuer ! Je crus voir un mouvement au dessus d’un des petits immeubles du quartier. Retenant un cri, je laissais tomber mon sac sans m’en rendre compte, avec mes clefs de voiture, la portière toujours entrouverte, et me mit à courir. Assez vite d’ailleurs. Plus vite que je n’avais jamais courus. La récente découverte de mes pouvoirs, associée à la peur qui venait de s’enflammer en moi me rendait deux fois plus rapide qu’à la normale. Il fallait que je me sorte de là avant qu’il ait réarmé son arme. Mais bon Dieu c’est quoi ça ? Pourquoi quelqu’un veut-il me tuer ? Qu’est ce que j’ai fais pour mériter ça ? Les pires histoires de tueurs en séries qu’on voit à la télé me revinrent en tête.

Pas un seul instant je n’imaginais que ça ait un quelconque rapport de près ou de loin avec mes pouvoirs étant donné que personne ne savait. Enfin si, quelques unes, mais comme je leur faisais assez confiance pour ne pas imaginer qu’elles me balancent au premier venue, je ne pouvais même pas imaginer qu’il y ait quelqu’un qui me fasse du mal à cause de ça. C’était avoir trop confiance en la nature humaine. Prise de panique, je ne savais même pas où je courais, m’éloignant de ma voiture à chaque pas, encore et toujours. Ce n’était pas le meilleur plan, cette voiture étant encore le moyen le plus sur pour m’enfuir de là, mais je n’avais pas pris l’option vitre par balle à l’achat, dommage. Je m’enfonçais dans la ruelle la plus proche, mais à mon grand désarroi, il s’agissait d’un cul de sac. J’étais piégée. Pas une seule échelle de secours, et l’escalade de mur lisse n’avait jamais été ma spécialité. Je n’étais pas assez forte pour ne serait-ce qu’imaginer sauter à un balcon à trois mètres du sol. Malgré mes pouvoirs, la danse, et la gym, il ne fallait pas trop en demander. Je serrai les dents, me mordant la lèvre, à part me cacher derrière l’énorme beine à ordure, je n’avais pas trente-six possibilités. Je sentais les larmes me monter aux yeux. C’était la première fois que je voyais les choses comme ça, mais je ne voulais pas mourir… Pas maintenant, malgré le fait que j’étais un monstre totalement impossible à imaginer dans un monde réel.
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William J Lancaster
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Vois plus loin que les apparences [PV Willou] EmptyJeu 14 Juil - 15:22

Respiration calé, battement de cœur rythmé je ne faisais plus qu’un avec mon arme, la pression sur la détente bien réglés de celui-ci fit cracher la première balle. C’était presque surnaturel j’en arrivais pratiquement à suivre la trajectoire de la balle, sentant l’odeur de poudre qui ce dégageait du canon.

La balle continua sa course sur un lampadaire qui au vue du type de balle n’apprécia pas la blague, laissant un trou important dans son armature métallique. Raté merde, elle ce m’était à courir, réflexe normal de l’animal chassé. La pratique du Mk 14 c’était son automatisme, inutile de réarmer.

Elle était rapide je devais bien le reconnaître, je me redressa pour avoir une meilleur vue et surtout pouvoir ciblé cette cible mouvante plus rapidement. Un tir, deux tir presque simultanée qui s’écrasèrent un peu trop loin. Je faisais des erreurs, la première j’aurai jamais du ne tirer qu’une seule fois. Si j’avais fais deux tire comme tout bon soldat entraîner que je suis, elle aurait évité la première balle peut être pas la seconde.

Je bougea de ma position l’arme serré entre mes deux mains, sauta sur une échelle d’incendie avant de me laisser glisser le long de celle-ci. Une fois dans la rue je me mis à courir respirant l’air et la piste que m’offrait la lycan. Elle n’était pas bonne prédatrice c’était vraiment trop simple.
Je l’avais vue s’engouffrer dans une rue qui ce trouvait être un cul sac, parfait elle était acculé j’allais pouvoir en finir assez vite.

Avançant prudement Mk 14 prêt à tirer je m’arrêta à bonne distance d’une benne à ordure, seuls coin de cache potentiel. Je me positionna bien, attendant de voir le moindre bout de poil venir.
Je lança pour attirer la bête d’une fois neutre mais bien audible, me préparait à vidé mon chargeur dès que je verrais ses beaux yeux de monstre.

« Hey! Sort de la c’est fini! Viens me montrer à quel point tes une vilaine bête! »

Je m’attendais vraiment à voir sortir un Lycan en transformer me foncer dessus, après tout depuis que j’avais commencer à chasser je n’avais pas eu beaucoup de mal avec les Lycans isolé, il adore laisser la bête parler, sortant crocs et griffes. Pour du Corps à corps c’était bien, mais face à un type entraîner pour vous plomber le cul à distance, habituer à faire des missions commandos c’était une autre histoire.
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Vois plus loin que les apparences [PV Willou] EmptyJeu 14 Juil - 22:55

Je crois que je n’avais jamais eus aussi peur de toute ma vie. En même temps ce n’était pas très difficile. Jamais je n’avais risqué ma vie comme maintenant. Jamais je n’avais risqué ma vie tout court. C’était simple d’avoir dix-neuf ans à Philadelphie. La fac, les amis, les sorties, le bus, rien de très affolant donc. Et en arrivant dans cette petite ville, tous mes amis me disaient que j’allais mourir d’ennuis, qu’il fallait que j’aille à Seattle avec Alexia, que je bouge – et la ligne de train reliant Seattle à Philadelphie était plutôt rapide, seulement quelques heures – que je m’amuse, que je vive… Oh mais qu’ils ne se fassent pas de soucis, je m’amusais. A en mourir même… tellement fou que je n’étais même pas sure de pouvoir le raconter à qui que ce soit. En même temps qui m’aurait cru ? Personne… C’était vraiment trop pathétique. Je me demandais si, depuis que nous avions déménagés, je ne faisais pas partie d’un vaste complot, ou alors comme ce film où le personnage principale se rend compte que sa vie n’est qu’une vaste comédie, et enregistré par caméra cachée tous les jours, alors qu’il est la star d’un reality show. Mais je doute que quiconque ait les moyens de produire un show avec autant d’effets spéciaux tous plus réalistes les un que les autres. Comme le bruit qu’avait fait la tôle du lampadaire quand la balle lui était rentrée dedans. J’étais entrain de vivre l’apocalypse ou quoi ? Il fallait que je me réveille, maintenant.

Plus jamais je ne ferais d’heures supplémentaires. C’est ce que je n’arrêtais pas de me dire alors que je courais dans la rue. La population, le monde, la foule… Dans n’importe quel bouquin d’espionnage ou de meurtre, on vous le dira, le meilleur endroit où se cacher, c’est un endroit bourré de monde. Et du monde dans les rues de Port Angeles a vingt deux heures trente, il ne fallait pas rêver. A part un ou deux mecs totalement infréquentables, il n’y avait pas l’ombre d’un chat, surtout dans ce quartier qui ne comptait que des boutiques qui fermaient à dix neuf heure trente dernier carrât. Comment j’avais pus rester aussi tard ? En me rappelant que c’était pour éviter ma mère, je me dis que je préférai de loin être collé à elle qu’entrain de vivre une tentative d’assassina plus réelle qu’au cinéma en trois dimensions. Je n’avais aucune chance d’en réchapper maintenant. Il fallait que je réussisse à me sauver, mais vu que mon sac était tombé à côté de ma voiture, je n’avais aucune chance d’aller bien loin. Et si jamais je lui échappais, j’aurais trop peur d’y retourner avant le lendemain matin, où toutes mes affaires auraient surement disparues. Si je m’en sortais, parce que pour le moment, je n’arrivais pas à l’envisager. C’était comme si ma vie était arrivé à son terme. Encore plus douloureux que ma transformation, et je n’exagérai pas. J’avais une trouille bleue et dans ma tête, mon cerveau me hurlait de réagir, que je ne devais pas mourir tout de suite.

Mais, tellement paniquée, je ne m’étais pas rendue compte que je m’étais enfoncée dans un cul de sac, et en ressortir c’était retourner droit dans la ligne de mire du tireur. Piégée comme un rat. Merde ! Et moi qui avait affirmé à Morgan que vu que j’étais un lycan, je ne craignais pas grand-chose. La bonne blague. Je maitrisais très mal – trop mal – mes pouvoirs sous forme humaine, et la transformation à volonté, on verrait ça le siècle prochain. J’étais totalement soumise à la lune et à ses variations. Autant dire que j’aurais mieux fait de rester dans sa ligne de mire, ça aurait surement été moins douloureux. Il fallait que je me tire de là, et vite. J’avais toujours été très mauvaise dans l’urgence. Mon truc à moi, c’est prendre mon temps, poser le pour et le contre, et envisager les meilleures options. L’action, réaction, non merci. Alors au moment où j’entendais le métal de l’échelle de secours couiner et juste après, un bruit de pas calme et posé de celui qui a l’habitude de tuer… Je n’en menais pas large.

-Hey! Sort de la c’est fini! Viens me montrer à quel point t’es une vilaine bête!

La voix, calme et posée, était celle d’un homme qui aurait largement eut l’âge d’être mon père, mais qui savait quel âge il avait en réalité ? Les lycans sont immortels du moment qu’on ne cherche pas à les tuer avec une balle d’argent… Oh mon Dieu… C’était une balle en argent qu’il avait essayée de me loger dans la tête ?! Tremblante dans ma cachette qui ne cachait pas grand-chose, je n’avais pas la force de bouger. Je tremblais comme une feuille. Risquant un coup d’œil, même à contre jour, je voyais très bien qu’il devait faire le double de mon poids au moins, et me dépasser de deux têtes facilement. Je n’avais aucune chance. Et maintenant, c’était clair. C’était à ma condition de loup garou qu’il en voulait. Mais pourquoi ? Je n’ai fais aucun mal à personne ! Jamais ! Retenant les larmes qui coulaient le long de mes joues, je réussis à répondre d’une voix tremblante :

-Je ne suis pas aussi stupide !

Quitte à tenter le tout pour le tout… Je regardais autour de moi. Si tout ce que j’avais lu était vrai, je devrais pouvoir courir plus vite, sauter plus haut, plus loin. Et vu que ma condition physique d’exception d’ex chearleader et gymnaste, ainsi que des années de danse me mettaient déjà au dessus du panier niveau agilité et vitesse, je devrais pouvoir trouver un moyen de m’en sortir… Techniquement, la caisse de bouteilles laissée là ferait un bon premier appui, si j’arrivais à prendre la bordure de la poubelle en métal en second appui pour sauter le plus loin possible, ça ne serait pas une mauvaise idée. Et si j’arrivais à faire un soleil, je pourrais me réceptionner derrière lui… Enfin c’était le plan parfait, et un plan parfait ne se réalise pas toujours. Me redressant à peine je pris un peu d’élan tout en restant à couvert, et puis je me redressais pour courir. Le premier appui me propulsa correctement, et le second aussi. Sauf qu’au moment de quitter mon appui, mon pied glissa sur le côté, orientant ma chute trop près de mon poursuivant, et me fit retomber juste à côté de lui, à moins d’un mètre. C’est pas vrai !
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Vois plus loin que les apparences [PV Willou] EmptyVen 15 Juil - 14:55

J’étais arme au poing en attente de pouvoir avoir une nouvelle descente de lit, je ne savais pas ce qu’elle faisait toujours est il que c’était long par rapport à d’habitude, comment cela ce faisait il que je ne soit pas déjà attaquer par une grosse bête poilu ? C’était une jeunette ? Cela pourrait expliquer pas mal de chose.

Je me rappel d’une chasse au Colorado ou une jeune lycan ce transformait sous l’extase, les prétendants ce retrouvait d’une jolie fille à poil, à une Lycan à poil. Puis elle les bouffait tel une menthe religieuse.
Pour l’abattre il avait mis du sien attendant la transformation pour lui loger deux balles de 357 Magnum en argent ciselés dans le crâne. Comme quoi parfois il fallait donner du sien.

Bon la il espérait qu’il n’était pas tomber sur un cas similaire, genre qu’elle ne ce transforme que dans certain situation sinon il allait devoir l’abattre sous sa forme humaine. Ce qui ne le dérangeait pas vraiment en faite mais en son âme et conscience il préférait les abattes sous leurs formes animales.

Elle répondit d’une voix tremblante qu’elle n’était pas stupide, quelques choses me fit tiqué, quand je tombais sur des créatures tueuses même sous l’effet de la peur du chasseur il avait un ton défiant. Oui parce que le chasseur peut toujours devenir le chasser. Sur le coup sa voix me rappela celle de Shanon que j’avais laisser en vie quelques jours plus tôt. Si je commençais à douté de moi ? Hoo oui de plus en plus.

Puis en un instant elle sortit de ça cachette telle un diable à ressort, sa forme était humaine et elle venait s’aligner de façon étrange alors qu’elle faisait des espèces ce cabriole sur des bouteilles et autres poubelle. Mon arme la pointa elle était la parfaitement dans ma ligne de mire mais.. Mon doigts refusait d’appuyer sur la détente. Ce n’était pas une attaque, elle cherchait à me fuir. Un animal acculé ne fuit pas, il combat. Mon arme suivis sa chute alors qu’elle me tomba au pied.

J’avança de quelques pas pour collé mon canon sur son cou, je lança d’une voix tranquille usant le ton de l’humour noir.

« Si on m’avais dit que des femmes me tomberais au pied comme cela je ne l’aurai pas cru… deux choses gamine, la première sait tu ce que tu est, la deuxième si oui à tu dégagea goûter à la chair humaine, regarde moi dans les yeux en répondant ou tu est mort. »

Je savais quand l’on me mentait, je lui offrais sa chance de survie.
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Vois plus loin que les apparences [PV Willou] EmptyVen 15 Juil - 23:25

Mourir dans une ruelle d’une balle dans la tête, dans le cœur ou où que ce soit n’était absolument pas dans mes plans à court terme. Et si je me laissais avoir ici et maintenant, des plans à court ou long terme, il n’y en aurait plus aucun. Je refusais de mourir comme ça. Etait-ce mon instinct animal qui me poussait à vouloir m’accrocher, à lutter ? Il allait devenir plus fort c’était évident. Mais il m’aurait poussé à lui faire face et à me battre, alors que là, je ne voulais qu’une chose, filer et au plus vite. Je voulais juste rentrer chez moi et faire semblant d’être normale la plus part du temps, tout en souffrant une nuit par moi, et apprendre à contrôler assez mes pouvoirs pour qu’on ne se doute pas de ce que j’étais. D’ici cinq ans, quand la différence entre Alexia et moi serait trop marquée, il faudrait que je parte, assez longtemps pour qu’on m’oublie. Enfin je ne pourrais jamais mettre ces projets à exécution si je ne sortais pas de cette fichue ruelle. Je n’avais rien fais à personne, jamais. Enfin pas encore, et je ne connaissais pas assez de lycans pour avoir un réseau sérieux et être d’une quelconque aide à mon agresseur s’il tenait à en trouver plus. Non, non, non… C’était un cauchemar et j’allais finir par me réveiller, en sueur, dans mon lit, chez moi. J’entendrai le tic tac de l’horloge, et verrai la lumière de mon réveille qui projetait l’heure au plafond. Rien de bien étonnant.

J’allais jusqu’à me pincer pour être certaine que je ne rêvai pas. C’était bien la dure réalité. La réalité de ce qu’était devenue ma vie. Une course poursuite en permanence et une solitude permanente tant que je n’aurais pas trouvé de meute. Solitude qui risquait de toucher à sa fin malgré toutes les précautions que je prenais. Eviter de me lier pour ne faire de mal à personne était plutôt compliqué, mais je faisais mon maximum, maximum qui allait me couter cher. Coincée dans ma ruelle, avec ce type qui ne me laisserait pas filer sans m’avoir trouée la peau, je n’avais pas beaucoup de chance. Décidant de risquer le tout pour le tout, j’avais fais quelque chose d’assez fou, un saut que personne n’aurait pu faire comme ça en temps normal. Je n’étais même pas échauffée. Et le rebord de la benne en métal était plutôt glissant ce qui rendait ma trajectoire aléatoire. Et en même temps, c’était ça ou mourir. J’enchainais mon soleil, pour retomber à terre, accroupie, une jambe repliée sur moi, l’autre tendue sur le côté, mon bras droit par terre et le gauche tendu pour maintenir l’équilibre. Il m’avait suivie du bout de son arme pendant tout mon petit show, alors pourquoi n’avait-il pas tiré ? Ca aurait été facile non ? Il était tireur d’élite s’il avait réussi à me viser d’aussi loin, même s’il ne m’avait pas touchée la première fois, grâce à mes réflexes.

Je lui décochais un regard farouche, celui de l’animal traqué qui ne se laissera pas faire même s’il est mort de peur. Je ne me faisais pas d’illusion, je n’avais aucune chance face à lui. La meilleure défense dans ce cas, c’est la fuite. Pourtant, il pointa son arme sur moi et je sus cette fois que si j’essayais de fuir à nouveau, malgré la fenêtre d’opportunité entre lui et le mur, et le fait que grâce à mon entrainement, et à ma souplesse, et ma rapidité, surtout vu ma corpulence dans cet espace réduit, j’aurais surement eut une chance, mais pas avec ce canon pointé sur ma tête. Lentement, je me redressais, prête à profiter de la moindre ouverture. J’avais assez supporté les équipes de foot américain pour savoir faire ça au moins. Son expression était totalement neutre. Ce n’était pas comme moi, ce que je pensais devait être écrit en rouge sur mon visage. Quelque chose entre la trouille bleue et l’envie de fuir…

- Si on m’avait dit que des femmes me tomberaient aux pieds comme cela je ne l’aurai pas cru… Deux choses gamine, la première sais-tu ce que tu es, la deuxième si oui à tu déjà goûter à la chair humaine, regarde moi dans les yeux en répondant ou tu es mort.

Je lui fis une grimace narquoise à son sarcasme pourri. Si j’avais réussi ma pirouette correctement, il ne m’aurait jamais rattrapée. Jamais. Je déglutis un peu, comprenant le sens de sa question. Est-ce que j’avais fais quoi ??

-Bien sur que je sais ce que je suis ! répliquai-je sèchement, cachant ma peur derrière mon insolence. Le contraire serait étonnant. Mais est ce que j’ai gouté quoi ?

Non mais il se foutait de moi ou quoi ? J’avais la gueule d’une cannibale ? Ma seule transformation avait été effectuée au milieu d’une forêt déserte, et la seule chose que j’avais peut être – on souligne le peut être, on le met en gras en italique, on le surligne et on le stabilote – faite c’était de copuler, on ne pouvait pas parler de faire l’amour, pas sous cette forme, avec un autre lycan, et rien que d’y penser j’en ai mal au cœur. Malgré ma peur, mes yeux s’étaient agrandis sous le coup de la surprise. Je n’avais jamais sus mentir en plus. Alors qu’il ne me croit ou pas, j’avais dis la vérité.
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